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Je mangeais tranquillement mes céréales lion devant ma série favorite, Empire. Mais comme je ne peux jamais passer un moment tranquille, mon téléphone sais mis à sonner.

— Allô ?

— Jemima t'attend quoi pour descendre ? Ça fait déjà 5 minutes que je t'envoi des messages.

— Écoute, Laurent. Je suis occuper là donc reviens après.

— Jemi, descends s'il te plait.

— Orh.. Bon ok!

Qu'est qu'il peut m'énerver ce mec, il est vraiment chiant.Dire que j'étais tranquillement assise sur mon canapé mais monsieur trouve le besoin de venir me déranger, tchip sa grosse tête sécher la. J'ai pris mes pantoufles et mon gilet rouge bordeaux et je suis descendu.

— Ah! Te voilà ma belle.

— Oui, qu'est que tu veux ?

— Même pas tu veux de moi ?

— Arrête Laurent. Dis-moi pourquoi tu voulais que je vienne?

— Fais moi un bisous d'abord bébé.

Il c'est comment me faire craquer décidément, je l'embrasse fougueusement avec amour. Puis je me détache de sa bouche, il me regarde avec un sourire en coin.. Je connais cette expression, il veut me dire quelque chose je le sens.

— Faut, que je te dise quelque chose.

— Quoi? Tu veux me dire quoi ?

— y'a un pote à moi qui va venir et comme tu es africaine comme lui je voudrais bien que tu vienne chez moi de temps en temps pour faire des plats de vôtres pays. Genre le singe et tout.


Mon expression du visage à changer directement il est malade votre pote, je lui es mise une grosse gifle. La chose que je déteste le plus c'est qu'on me manque de respect, sa phrase était vraiment raciste ça m'a vexée.

— Laurent, que ce sois la dernière fois que tu fais des propos raciste d'accord ? C'est pas parce qu'on est africains qu'ont mange forcément du singe, imbécile ! Toi par exemple c'est pas parce que tu es blanc que tu mange des anchois où je sais pas quoi encore.

— Ferme ta gueule, sale sauvage!

— D'accord, tu c'est quoi ? Je vais partir sinon je risque de te faire du mal bêtement, pauvre con.

J'allais partir mais monsieur n'était pas du même avis que moi et ma retenue la main.

— Jemi...

— JemimA, merci !

— Je suis désolé. Bref vient on va chez moi.

— Mais.. Bon d'accord.

Il me fait un sourire que je lui rend et on monte dans la voiture. Durant le trajet, on parlait de tout et de rien son téléphone sais mise à sonner et j'ai vu que c'était marquer le nom d'une fille nommée Marie.. Je fronça les sourcils et j'attendais qu'il réponde mais monsieur ne l'a pas fait, donc j'allais le faire met il a été trop rapide il a raccrocher.

— C'est qui cette Marie?

— Une pote.

— Ok.

Je regardais simplement la route pour lui montrer que je m'en fou mais enfaite sa me mettais juste hors de moi, j'espère pas qu'il me trompe celui la hein sinon il aura à faire à moi. Je suis grave pas du genre à courir vers une personne j'ai tellement trop de fierté que je lâché l'affaire rapidement.

On n'étais arriver chez lui, c'était toujours aussi beau et propre comme j'aime. Je suis directement partir me servir du Oasis. Quand j'entendis les serrures.

— LAURENT, PUTAIN PRÉVIENT MOI QUAND TU VEUX PARTIR IMB..

Je fut coupée pars la beauté qui venait d'entrer mon coeur a fait boum, un beau black bien habiller. Nannnnnn, je suis devenue timide. Laurent arrive et le tshek et puis il se tourne vers moi il me regarde 2 sec puis il me fait la bise, j'étais devenue baba les gens. Il m'avait trop perturbé.

— Je te présente, ma femme Jemima. Jemima je te présente mon meilleur ami Chris.

Pourquoi il a dit que j'étais sa femme ? Tchip, nan mais ce mec il est trop beau.

— Rectification on n'est pas marié merci et enchanté Chris.

— D'même.

Il avait une voix grave et casser putain mais il pète du lourd ce mec !

— va me faire à graille! Me demanda Chris.

L'enfant à l'audace dis donc, moi je suis devenue la femme de ménage ? Tchiiiiiip! Je vais lui montrer qui je suis.

— Nan, mais il est fou lui. Jamais je te ferais à manger niama!

Il me lança un regard noir, ce qui me donna une grosse vague de frisson.

— Mddddr LAURENT ? C'est sa ta meuf ? Une incapable mon frère, elle sait même pas faire à manger!

— Je t'emmerde salop !

Le pire dans tous c'est que Laurent rigolais face à son insulte, il m'a même pas défendu j'ai pris mon portable, mes clefs de chez moi et là clefs de sa voiture je suis partie en claquant la porte.. Je l'entendais crier mon nom mais je n'y prête pas attention parce qu'ils m'ont vraiment soûler.

Je suis montée dans sa voiture et direction chez moi, arriver j'ai enlever mon gilet et mes pantoufles. Et je me suis assise sur le canapé je regarde mon portable j'avais eu pleins d'apelles manqué de l'autre bouffon. J'ai même pas fais attention!

Je me suis endormie.


[...]

La porte sonnait à fond, je suis parti ouvrir j'étais prête à crier sur la personne mais dès que j'ai vu son beau visage j'ai craquée.

— Passe moi les clefs, ton gars il est pas montée parce qu'il allait t'enculer sale.

Je rigole!

— Mddddddrrrr ton vieux pote la ? Il va rien me faire son corps de crevette là pardon.

— T'es une gamine wallah!

— Bon, tiens les clefs bouffon.

Il me tiens le bras mais fort, il m'a tordu carrément le bras. Je criais de fou mais il s'en foutais.

— ARRE..ARRÊTEEEEEEEE !

Il m'a lâcher.

— C'est la dernière fois que tu m'insulte salope.

Il m'arrache les clefs des mains et pars je referme la porte et tchip de toutes mes forces. Je les détestes tout les deux!

BOLINGO Où les histoires vivent. Découvrez maintenant