S&S- Fleur d'amour

CHAPITRE 15

- Sofian, paniqué: chepa il arrete pas de pleurer

Je prend Ali, et lui demande se qu'il a.

- Ali: ze pipi

- ta fais pipi ?

- Ali: oui

Je regarde Sofian, il était déjà partie en courant, traître.

Je monte changer Ali et le redonne à sa maman. Faut vraiment que je sache s'qui s'passe. J'appelle Younes, il est partie avec lui donc normalement il devrais savoir.

- Lui: KOI

Toujours aussi violent.

- salut Younes c'est Sûria

- Lui: je sais que c'est toi, tu veux quoi

Sympas.

- qu'est s'qui s'passe, Saphîr était grave bizarre quand il m'a apeler mais il a rien voulue me dire

- Lui: J'SAIS RIEN DU TOUT MOI JSUIS LA FEMME DE MÉNAGE JSUIS INNOCENTE

- Younes, tu m'dis tout s'que tu sais et maintenant

- Lui: Putain t'es relou

- s'il te plaît

- Lui: j'peux rien te dire Sûria j'suis désolé

- mais Younes...

- Lui, en me coupant: azi ciao j'ai du travaille, prend soins d'toi

Il raccroche juste après c'est mots. Merde, j'compter sur lui. Bref, j'vais arrêter de penser à sa. Il m'a dit de ne pas m'inquiéter donc j'vais pas m'inquiéter.

Le reste de la soirée c'est super bien passé. Y'a Sila et Soraya qui se sont incruster a un moment.

Lendemain,19h

J'ai rien fais de la journée, je suis encore en pyjamas d'ailleurs. J'ai parlée un peu avec Saphîr mais il n'a toujours rien voulue me dire.

- Naïma: Sûria hbiba tu veux bien aller acheter du pain

- y'en à plus ?

- Naïma: nan, sa te dérange pas ?

Je me lève du canapé, j'lui fais un gros bisous sur le front.

- bien sûr que non

J'l'entend rire, j'en parle pas beaucoup mais cette femme compte énormément à mes yeux. Sans elle je serais sûrement à la rue en ce moment.

La boulangerie est à dix minutes donc j'vais pas m'habiller pour rien. J'met juste une veste et mes chaussures.

Arrivée à la boulangerie, j'achète le pain et sors. Quand je me fais violemment bousculé. Sa me rappelle quelque chose sa dis donc. Je lève les yeux, mais vraiment haut. J'aperçois un homme, la vingtaine, très grand. Ses bras font la taille de mes cuisses, il fait super peur.

- Lui: hm il a bien choisis se fils de pute

- pardon ?

En moins de deux secondes il était plus là. Je comprend pas de quoi il voulait parler. Sa ma fais froid dans le dos, vraiment.

Dans la peau de Saphîr

On est posé avec Younes et mes gars. D'la beuh, d'la piave, des putes, mes gars. Quoi de mieux ?

J'suis faya wallah j'commence a voir flou. Et cette p'tite pute qui arrête pas d'me chauffer. Ah frérot si le boa s'reveille j'pourrai pas le contrôler, faudra qu'elle assume.

Elle viens sur mes genoux et commence à m'faire des bisous mouillés dans l'cou. Putain, j'croit ya mon pote le boa qui viens d'finir son someil.

- Younes: oh frère t'oublie pas quelqu'un là ?

Je sais de qui il parle. Oue j'passe peut être pour un batard mais c'est la seul façon pour pas que j'la viole. Et même j'ai des comptes à rendre à degun. J'vais aller démonter cette p'tite brune et j'vais me régaler tiens.