Première rencontre

150 4 0
                                    

L'orage été tombé plus vite que la nuit ce jour là , le village fut vite trempé , la terre sèche de l'été ne pouvant boire toute cette eau . Les lumière été allumées dans toute les maisons. Cela donnait à ce pauvre village un air fantomatique . Un homme tout encapuchonné arriva alors dans la rue principale ,maintenant déserte. Il portait un masque , l'eau coulait abondamment de ses grands vêtements noirs imperméables , le tous enrôlé dans une cape tout aussi sombre. Un vieillard sous son porche buvait pour oublier la vieillesse qui le consummait. Il ne vit presque pas l'ombre sous la pluie .Quand une bourrasque dont il se souviendra pour le reste de sa courte vie , fit tremblé les maison de bois de ce village , le vieillard fut renversé . Il se releva trempé et boueux , il eu juste le temps de le voir rentré dans un bâtiment avant d'être pris d'un frisson qui le fit perdre son courage naissant grâce à l'alcool .Son sang se glaça jusqu'à ces os et sans doute seulement à cause du froid soudain qui été arrivé avec cette orage . Dans l'entrée sombre de cette maison , l'individu se fit remarquer de deux hommes surpris de cette intrusion . Ils étaient assez grands, armés l'un d'une épée l'autre d'un glaive .Sans sommation ,ni aucun regard , l'étranger enleva d'un geste ample et calme, sa cape mouillée , la lança vers les hommes qui venaient vers lui avec une attitude clairement menaçante. Ils furent surprit de ce stratagème et reculèrent d'un pas . Avant que la cape retombe et malgré leur attention particulière pour cette affrontement, l'un eu le souffle coupé lors ce qu'une épée lui rentra dans son thorax et fit giclé sont sang dans son système respiratoire . L'autre surprit chargea , cependant d'une autre main adroite, L'étranger, lança un couteau qui ce planta dans sa gorge . Les deux hommes tombèrent dans la mare de leur sang respectif .L'échange bien que succinct fit assez de bruit pour attirer l'attention des personnes présentes à l'étage . La maison manifestement occupé par des hommes sans lois été à l'abandon et le vent sifflait au travers de ces pièces vides. L'étranger entendit les personnes s'agitées à l'étage .Maintenant que ça cape été retirée , l'on pouvait voir le double fourreau dorsal ou se logeait une épée, l'autre se trouvant dans sa main droite . Une veste cachait une quantité importante de matériel . En dessous de tous cela on peu deviné de nombreuses bandes et morceaux de tissus entrelacées qui forment un vêtement serré et cachent de manière efficaçe la moindre parcelle de peau . Soudé au masque blanc, des systèmes ingénieux de lentilles données un regard robotique à cette homme . Il dégaina sa deuxième épée et se dirigea et l'escalier. De trois bonds prodigieux arriva au millieu de trois hommes sur le palier du 1er étage . Les lames hurlèrent en s'entrechoquant. Après qu'un homme doit tombé dans l'escalier en te tenant son ventre ensanglanté , ce fut un combat d'un contre deux dans un étroit couloir . Ce qui donna étrangement un mince aventage au hommes armés de rapière .À ce moment là , l'étranger fit deux pas en arrière et rangea son épée droite . Gardant la main gauche prise. Il reprit le combat avec une seul arme . Pris en même temps un couteau dans l'autre , dévia une des rapière de manière à immobiliser ces deux adversaires ( rapière à sa droite dévié vers sa gauche ). Ce reprocha rapidement en plantant son couteau dans le cou d'un des homme . L'autre vu son sort aussi vite expédié . L'étranger rangea toute ces armes avant de rentrer dans la pièce ou il y avait le but de sa venu . Dans la pièce 8 hommes armés se tiennent prêt, un neuvième est assis derrière un bureau fabriqué en bois riche .Il sais que sa sécurité n'ai pas assuré . Mais qui avait put le retrouvé ici , il etait venu ce caché ici , au bord extrême de l'Empire après la chute de son entreprise malhonnête. Il se demande si c'est les agent de l'Empire ou les mercenaire de ces ennemi ou associé qui on coulé avec cette incident.
Quoi qu'il en soit le trafic d'humain était fleurissant a l'époque ,même si tout ce terminé aujourd'hui , il est près , lui Bartasis partira sans regret. La seul porte de la maison qui avait été changé et qui donc n'était pas en train de pourrir s'ouvrit lentement. L'étranger rentra calmement dans la pièce spacieuse . Bartasis le reconnu aussitôt et fut pris par la peur . Malgres cela il su rapidement articulé ces mots :
"Tu n'a aucune chance Punisseur , te voilà encerclé par mes meilleures homme , repart d'où tu viens . Et je te promet d'oublier cette soirée. "
La légende voulait que ces assassin soit formé dans une cité secrète entre le désert et les terre désolé. Chacun avait des pratiques différente , et celle du Punisseur était à l'image de sont nom. Quelque seconde s'écoulèrent , puis le Punisseur avança vers Bartasis . D'un seul coup tout les homme armé ce ruèrent vers lui. Bartasis vit alors le Punisseur dégainé a deux main l'une de ces épée . Il de retourna juste à temps pour pourvoir paré une lame sans attendre que les autres lui arrive le dessus , il se baissa sur ces jambes, sauta en faisant une pirouette sanglante il réatterrit sur le sang de trois homme près de l'entrée de la pièce , sans même une demi seconde de pause il enchaîna le combat chargant les malfrat désorganiser , pour pas qu'il puissent l'encerclés efficassement . En une minute le sang des huit homme commencé à coulé à travers le planché . Et a éclaboussé les deux cadavre en bat. Bartasis pris un couteau et tenta de ce tranché la gorge , le Punisseur d'un geste sur, lui trancha trois doigts , rendant cette tentative de fuite impossible . Le Punisseur pris Bartasis par le col et le traina dehors . Il vit les cadavre de tous ces hommes , et ce résigna , la pluit battait encore mais le vent avait cessé . Le Punisseur le fit tomber sur le dos à milieu de la rue principale . Il se mit à califourchon sur lui et sortit un hachoir de boucher . Bartasis d'une peur aussi de incontrôlable que surréaliste été paralysé . Le hachoir s'abattit d'abord sur les épaule cassant les deux clavicules et coupant les muscles associé. Puis il fit de même pour les coudes puis les genous . Heureusement pour les enfants du village la pluit intense absorbé les cris de ce qui ressemble maintenant à un pantin désarticulé . Une fois tous cela fait . Il se repositionna au dessus de lui et frappa sont ventre d'une multitude de coup . Les viscères de Bartasis ce mélangèrent au sang et à la pluit sur le sol . L'eau de la pluit gonflait les organes encore en place , battant sur eux comme de milliers de coup. Le Punisseur ne toucha ni au poumons ni au coeur , malgres cela après quelque minute de supplice , les cris cessèrent . Alors le Punisseur repris ça route laissant le sang sur lui ce faire lavé par la pluit . Une fois qu'il eu quitté la région la pluit cessa et la lune vint éclairé le massacre encore humide .

Le PunisseurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant