No more dream [tome1] | kth

Chapitre 12.

On est samedi. Et donc, une fois habillé, nous sommes sorti. Taehyung m'a parlé d'un endroit qu'il voulait absolument me montrer.

Nous avons donc pris le bus. Le trajet à duré 20 bonnes minutes. Lui et moi avons discuté de tout et rien, c'étais agréable. Malheureusement, quelques fans on dérangé ce bien être en lui demandé des autographes et des selcas. J'avais presque oublié qu'il était connu dans le monde entier.

Nous sommes descendu à un arrêt assez éloigner de la ville. N'ayant pas vraiment fais attention au paysage durant la route, je ne sais absolument pas où nous sommes.

C'est plutôt jolie, en face de l'arrêt de bus, il a une immense forêt. Alors que derrière, il n'y a qu'un gigantesque champ. J'avais l'impression d'être nul part, c'étais jolie mais en même temps pas très rassurant.

Taehyung m'a pris la main, et nous nous sommes enfoncés dans l'épaisse forêt.

Moi: Où est ce qu'on va, Tae ?

Taehyung: Tu verras.

Il regardait droit devant lui avec un sourire fier collé au visage. Cette vision me fit sourire, moi aussi. Nous avons marché au moins 5 bonnes minutes.

Tae s'arrêta net devant moi, et murmura «C'est là». Il se retourna et me fit face. Il sortit un bandeau de sa poche, et l'enroula autour de ma tête, afin de cacher mes yeux. Il s'approcha de mon oreille, et y chuchota quelques mots.

Taehyung: Je préfère conservé le suspens, contente toi de me faire confiance.

Sur ces mots, il repris ma main dans la sienne, et marcha en me tirant avec lui. Nous avons légèrement grimpé, et je sentais le vent pénétrer dans mes cheveux. On devait sûrement se trouver un peu plus en hauteur. J'étais debout, je restais sans bouger. Il se plaça derrière moi, et défit le noeud du bandeau. J'avais laissé mes yeux fermés, et il me demanda de les réouvrir en passant ses bras autour de ma taille. J'ouvris lentement mes yeux, étant aveuglé par le soleil.

Le lieu était magnifique. Nous étions sur le toit d'un petit bâtiment. En dessous de nous, il y avait un énorme fossé rectangulaire, comme un bassin abandonner. La peinture bleu, déteinte, laissait apparaître la mousse jaune qui s'était formé au fil des années. Des tags avaient été fait sur les murs, et des mauvaise herbes avaient poussé sur le sol. Au milieu de ce gigantesque bassin, se trouvait un matelas assez piteux. Non loin de celui-ci, avait été déposé un canapé en tout aussi mauvais état.