Poème #29 (hisarisama)

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Quand j'ai besoin de toi, tu es toujours là

Malgré mon absence, tu ne manges pas de koala

Quand il fait froid, tu m'accueilles à tissu ouvert et en toi je me tortille comme un vers

Quiconque te touche, devra payer le prix fort car ma promesse est plus puissante q'un fort

Plus les jours passent plus tu vieillis

Mais personne ne peut te détruire

Dès la minute où je t'ai accueilli, je t'ai dit que je te protégerai comme un fruit que l'on cueillit

Alors oui, je t'aime mon lit. 

Le Cercle des Poètes (Wattpadiens) DisparusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant