Plomo y rosa. (en correction)

Chapitre 9.

En début d'après midi elle alla jeter un coup d'œil à la cave, pas surprise de la retrouver vide, elle se disait qu'il allait enfin faire équipe seul est c'était la bonne nouvelle de la semaine,
sinon en dehors de leurs affaires à sa pause elle alla acheter de nouveaux vêtements à Luìs dans des boutiques de la ville.

Sa devait faire deux jours qu'elle se sentait assez espionner comme maintenant ou elle était dehors elle y prêtait pas attention car c'était sûrement Luke qui devait la suivre, mais elle resta sur ses garde.

Dans le chemin du retour, la tête river sur son téléphone, son patron de Los Angoles lui demanda si le travail se passait bien s'ils avaient de nouvelles pistes, elle lui répondit qu'ils avançaient doucement mais sûrement, sans aller trop dans les détails de leurs catastrophique séjour.

Elle leva rapidement la tête pour voir où elle mettait les pieds sauf que la seconde d'après quelqu'un la tira vers une ruelle en lui mettant la main à la bouche tout en la dirigeant sur cette ruelle, la personne la cogna violemment contre le mur, prise de panique elle allait se défendre comme elle la toujours fait par une attaque de derrière, sauf que cette personne maîtrisa rapidement tout son corps.

Le coter gauche de sa tête cogna brutalement contre le mur elle gémissait de douleur alors que la personne prit fermement ses bras en les collant derrière son dos, elle avait cru une seconde qu'ils s'agissait de Luke mais rien à voir elle ressentit bien la différence et que c'était absolument pas la même force ni la même carrure.

_ Qui vous êtes !?? Lâchez moi immédiatement !! Tenta t'elle de crier avec douleur.

Aucune réponse, elle essaya de crier en entendant un peu de monde passer vers là mais il lui mit la main sur la bouche en la tenant bien fermement, elle essaya encore et encore de se débattre mais en vain jusqu'à ce qu'elle ne sente sa tête s'approcher d'elle,

_ C'est donc bien toi celle qui m'a prit mon hermano... Chuchota la personne calmement à son oreille.

Ses yeux s'ouvrirent en grand, sa voix froide et dangereuse lui donna un long frisson glaçant tout le long de son dos, elle comprit rapidement que la personne la tenant sous ses filets était la personne qu'absolument tout le monde recherchait.

Elle tenta de se défaire de sa prise en lâchant un rire nerveux, sauf qu'il l'a bloqua encore plus en mettant plus de pression a son corps contre le mur.

Il attendit qu'elle ne se débatte plus, pour venir la retourner violemment de face en la bloquant à nouveau.

Et cette fois elle fit face à ce mystérieux personnage qu'elle avait imaginée tant de fois dans sa tête, et le contraste qu'elle c'était imaginer de lui était tout le contraire car il n'avait même pas prit la peine de sa cacher le visage avec une quelconque cagoule.

Dans d'autre circonstances elle l'aurait tellement admirée par tant de beauté, des yeux perçant d'un bleu profond, une carrure tellement imposante, une barbe noir sévèrement fournis qui collait carrément bien avec ses trait durement dessinée et des sourcils également noir et froncée tant la colère qu'il ressentait à se moment là.

Il la fixait dans les blanc des yeux également tout en analysant sa réaction face à lui, au fond d'elle c'était la perfection mais à l'extérieur elle réussit à ne rien montrer de ses émotions.
lui était plutôt satisfait car il remarqua qu'elle éprouva de la peur, même si elle cachait ses émotions il l'avait vue.

_ Tu sais quoi tu vas venir avec moi dacuerdo, Dit-il froidement.

Elle essaya de se débattre du mieux qu'elle le put mais elle n'avait pas du tout la même force pour lui faire face, et de maudit à l'intérieur d'elle d'être autant faible, il réussit à la menotté et bander ses yeux en un claquement de doigt sous ses injures.

Il l'embarqua sans pitié en la jetant dans le coffre de sa voiture qui était à l'impasse de cette ruelle.

Maintenant dans le noir elle avait plus que son ouïe pour se repérer dans le noir, elle l'entendit entrer dans sa voiture et démarrer en trombe, le trajet fut long et pendant tout ce temps elle s'imaginer comment elle allait terminer, elle se passa en tête toute les scènes probable d'arriver.

Luna ce n'est qu'un petit criminel...
Respectée et redouter dans tout le Mexique -rire nerveux-...

Après un bon moment où elle ne sentait  plus ses jambes et son dos, elle sentit la voiture s'arrêter, oui ils étaient enfin arriver, elle sentis le mafieux sortir de la voiture et s'en aller sans daigner ouvrir le coffre.

Son coeur battit à toute vitesse, elle redoutée au plus profond de son âme ce qu'elle allait subir par la suite, elle entendit au loin des hommes s'approcher tout en parlant en espagnol, elle avait reconnue sa voix menaçante donner des ordres et s'éloigner et quelques minutes plus tard le coffre s'ouvra.

(Dialogue en Espagnol)
_ La vache je me la taperait bien elle, Lança un homme.
_ Grave j'ai tellement envie de lui faire du sale, Ria l'autre.

Elle ne savait absolument pas se qu'ils se disaient et ne voyait pas même leurs visages, mais fallait être stupide et bête pour ne pas savoir à quoi ils pensaient, l'intonation de leurs voix parler pour elle, l'un lui menotta les pieds et la bouche et l'autre la prit sur son épaule tel un sac à patate, elle gigota dans tout les sens.

_ Oh ne fait pas la fille facile, détend toi vite

Donc ils parlaient français aussi...
Quelques minutes plus tard il la lâchèrent comme une vulgaire chose sans valeur et son genou vint s'écraser contre le sol de leurs gravier humide, ils lui enlevèrent le bandeau qu'elle avait aux yeux sans lui enlever celui de sa bouche, elle vit enfin leurs visages qui n'inspiraient pas confiance du tout.

Elle jetta un coup d'œil également où elle avait atterris, il s'agissait d'une espèce de cave puante et sombre comme les films de gang Américain, au sol il y avait du sang sécher et au mur des chaînes toute rouillée.

Ils s'approchèrent d'elle et par réflexe elle recula, fièrement ils commencèrent à lui donner des coups qu'elle tentait d'encaisser un à un, elle avait appris une chose c'était de ne surtout pas montrer ses faiblesses à l'ennemi.

Elle essaya de cracher le sang qu'elle avait dans la bouche qui avait un goût de métal, elle arriva à peine à recracher que sa respiration se fit saccadée, par la suite il tentèrent de lui retirer son t shirt en la touchant un peu de partout, elle essaya de crier à la mort, c'était horrible pour elle de devoir se faire toucher ainsi et ne pas pouvoir crier à plein poumon , les larmes au yeux elle priait pour un miracle.

Un bruit assourdissant retentit de la porte de cette cave, tous tournèrent la tête elle le fit difficilement pour voir qui fessait tout se vacarme qui résonna dans ses oreilles et son crâne, la personne arriva elle vit de peu les deux personnes prendre peur et baisser la tête, elle tourna la tête difficilement et aperçu la silhouette dangereuse du mafieux, il était noir de colère fixant ses deux hommes comme s'il avaient commis l'interdit.