Au secours Maman !!

La pierre

Hey ! Moi c'est Matthieu Lenez ,oui, Lenez comme vous pouvez le constater j'ai pas un nom de famille stylé mais bon je fais avec. J'ai 15 ans et je vis seul avec ma mère. Je ne  pas me passer d'elle. On à pas beaucoup d'argent mais on s'en fiche c'est pas sa l'essentiel.

8h30, je me prépare pour aller à l'école. J'essaie de choisir des vêtements mais rien à faire je suis pas doué pour la mode.

-Maman ! Tu peux venir m'aider à choisir des vêtements. criai-je

-J'arrive ! me répondit ma mère

Ma mère entra dans ma chambre, et regarda même pas mon placard et choisi des vêtement au hasard (comme d'habitude).

-Comment tu vas faire le jour où je ne serai plus là ? dit ma mère

Comme d'habitude, je ne répondais jamais à cette question. J 'y avais réfléchit et j'avais prit ma décision. Quand elle partira je partirai moi aussi et puis basta. Je descendis prendre mon petit déjeuner que ma mère m'avais préparer. Un fois celui-ci terminer, je pris mon sac que m'a mère avait fait la veille et je partis à l'école. A l'école je n'avait pas d'amis, mais je m'en fiche. Assis sur un banc je réfléchit. Les grandes aventures sa arrive qu'au personne les plus malheureuses style Harry Potter ou encore Percy Jackson. Moi je suis normal donc aucune chance. La cloche sonne et je part me rendre dans ma salle de cour. Je suis toujours au fond de la classe. Comme sa personne ne me dérange. Bon le désavantage c'est que je m'expose au professeur surtout à mon professeur de math. La sur ma table, je rêve, je rêve de faire un truc qui sort de ma routine, pas une chose extraordinaire mais juste un petit truc. La voit de mon professeur me ramena à la réalité

-Mr Lenez ? Veillez répondre à ma question.

Je me redresse et je regarde autour de moi, tous le monde me regarde et je déteste ça.

-Heu....

-A ce que je vois vous n'avez pas écouter Mr Lenez

-Non monsieur, j'ai écouté mais j'ai pas compris.

Toute la classe éclata de rire même Sandra. Sandra c'est la fille dont je suis  amoureux depuis la sixième mais chut c'est un secret ! La cloche sonna, la fin du cauchemar. Il était 16h30. Comme un petit enfant, je vais chez le boulanger acheter mon pain au chocolat, mon péché-mignon. Je traverse la rue et une boutique attire mon attention. Je n'est pas le souvenir de son existence. Je décide d'acheter mon pain  au chocolat puis d'y aller faire un tour. Je suis devant la boutique. Il y un panneau avec le nom de la boutique. VENTE GRATUITE D'OBJET EN TOUS GENRE . De la vent gratuite ? Encor un concept que je n'ai pas compris. Je rentre dans la boutique tous en entamant mon pain au chocolat.

-Il y a quelque ? criai-je.

Pas de réponse. Je décide d'avancer dans la boutique. Les étagère sot plein d'objet. D'objet bizarre, que je n'avait jamais vu au avent.

-Tu cherche quelque chose mon garçon.

Je me retourne et voit un veille homme. Il s'approche de moi et me sourit.

-Hum je voit, dit ce veille homme, tun e sais pas quoi acheter est bien promène toi dans ma boutique mais sache une chose, ici ce n'est pas toi qui choisi les objets, ce sont eux qui te choisissent.

-Comment me choisissent-ils ,répond-je inconsciemment.

-Laisse toi guidé par ton instinct. me répond le vielle homme

J'aime bien se vielle homme. J'aime bien se type de personne. Tandis que je me baladais dans la boutique tous en mangean mon pain au chocolat, je repensais à la phrase du vielle homme. Ce n'est pas toi qui choisi les objets, ce son eux qui te choisissent... Soudain, mon attention fut attirer par une pierre. Je sus par instinct que c'était cette objet.

-Je le prends. dis-je au vielle homme

Il regarda la pierre puis, il eu un sourire malicieux et dit :

-Dans ce cas prend se socle qui va avec. Tu mets la pierre sur le socle et tu appuis sur la pierre et voilà.

-A quoi sert cette objet ? dis-je tous curieux.

-Au tu verra...

Je rentre chez moi fatiguée. Je file dans ma chambre et je pose le socle et la pierre sur mon bureau. Je suis pressé, j'ai fais un sprint de la boutique jusqu'à chez moi. La patience n'est pas mon point fort. Je mets la pierre sur le socle, j'appuie et...