Chapitre7

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-Si je ne parvient pas à te faire changer d'avis avant le jour de la Louna, dit-il devant toutes l'assemblée qui s'est attroupée dans notre chambre, tu auras le droit de mourir prématurément comme tu le souhaite, mais si... tu change d'avis c'est moi qui choisirais qui te guérira. Compris? Marché conclus?

-J'ai compris, marché conclus, dis-je lasse et fatiguée.

-J'ai oublier de te préciser que si tu essaye de mourir avant le jour indiqué et que tu te loupe en plus, prépare toi à recevoir une bonne leçon de ma part. Conclut-il.

Je hocha la tête, ma mère me regarda en larmes. Je vis qu'elle ne pouvais plus se retenir de garder notre lourd secret. Je soutint son regard et lui fis un signe de courage pour qu'elle ne dévoile pas notre secret. Notre si lourd secret. Elle ne m'écouta pas, mima un "non"et se remis à pleurer de plus belle. Son mari se mis à essayer de la consoler tout en la faisant sortir de la salle on aurait dit qu'il était perdu. Je le remercia mentalement.

-Non! Cria-t-elle tout en courant à moi elle se mis avec moi et Klaus dans le lit et se mis à m'enlacer. Mon bébé, comment-ai-je pus te laisser seul ainsi?

-Shut mamange, lui chuchotais-je à l'oreille en larmes à mon tours, je ne veux pas t'attirer d'ennuis. Vas avec papa.

Mince! J'ai oublier que les loups ont l'ouïs fine. Toutes la salle nous regarde choquée et ou bouches-bée, même mon père.

-Je suis une solitaire, une warrior comme tu me le disais si souvent. Je t'aime ça va aller. Ajoutais-je.

Ces deux filles qui s'approchent et que je suppose être mes sœurs me regarde surprises, Isabella et Juliette sont là à me contemplées comme si j'étais une chose étrange.

-Alors c'est pas Cameron mais Kirsten? Je préfère, c'est un jolie prénom déclara Klaus pour essayer de dissiper la gènes et les commérages.

-Ouais, dis-je en me tournant vers lui pour essayer de ne pas montrer ma gène, mais pour toi ça restera Cameron ou Cam si tu préfère.

Puis je me mis à rire puis ce fut ma mère, mon père et mes sœurs qui se mirent à rire à la grimace que fis Klaus. Bientôt ce fus toutes l'assemblée.

L'assemblée partie, Klaus avec. Ma famille resta un peut, plus tard Klaus nous rejoins, ils me firent beaucoup rire. On s'est expliquer, il y a eu des pleurs de joies comme de tristesse. Malgré tout ma famille restait optimiste et me confirent entre les mains de Klaus qui les rassura. Pendant la soirée, j'avais demander à Klaus de faire en sorte que je ne les revois pas avant la fin de notre pacte. Nous savions ce que cela signifiais, je risquais de ne plus jamais les revoir mais je ne voulais pas qu'il me voient mourir à petit feu.Mes parents nous quitta. Le soir même le médecin m'expliqua les effets de la maladie, dans quelques heures je pâlirais à tel points que l'on verra mes veines, après cela d'autres effets néfastes viendrons à leurs tours je ne pourrais plus marcher, après je ne pourrais plus respirer de moi même des machines spécial devrons m'aider à cela ensuite je cracherais mon propre sang, un jour mes veines ne tiendrons plus et je mourrais d'une hémorragie et ainsi de suite. Plusieurs scénarios sont envisageable.

Ce soir là, je le passa à dormir aux cotés de Klaus qui me veilla plus attendris qu'avant la maladie. Je compris aussi une chose, cela allais être dur de résister à la tentation de survivre ou de mettre vite fins à ses jours pour qu'il n'y est aucun pleur.

La dernière humaineWhere stories live. Discover now