Chapitre 6

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Ce quelqu'un ouvre la porte et nous regarde rouge de colère.

-Dépêchez-vous nous sommes à table. Dit-elle avant de refermer la porte.

La fille en question? Euh...Hum.... Je sais pas. Je la connais pas.

-Qui-es-ce? Demandais-je à Klaus.

-La femme de mon frère David Cobb. Elle s'appelle Kelly Cobb. Elle est aussi amoureuse de moi mais... ces sentiments ne sont pas partager. Me répondit-il.

-Et à ce "dîner", m'exclamais-je, qui est convier?

-Mes arrière-grand-parents, mes grands-parents, mes parents, mes sœurs, mes frères, mes cousins, mes cousines, mes tantes et oncles, des amis proche de la famille et un médecin pour humain. Pourquoi? Demande-t-il naturellement.

-Parce que d'une il y a trop de monde et de deux je ne verrais aucun médecin! Criais-je.

-Tu le verra et c'est tout! Hurle-t-il avant de se transformer devant mes yeux.

Un cris strident se fait alors entendre... c'est le mien, il ne m'a pourtant rien fais, il ne m'a même pas toucher. Je me plie en en deux et mes pleur retentisse, quelque chose me fait horriblement mal.

Un homme en blouse blanche s'approche de moi, je le dévisage et recule. Il essaye de me prendre dans ses bras. Je m'accroche à ce que je peux. Klaus, le regard perdu s'est retransformer et essaye de me prendre dans ses bras à son tour, je me laisse faire. Il me pose sur le lit et je garde sa main dans la mienne.

Le médecin me fait quelques testes.

Le diagnostique tombe. Je suis malade... une maladie incurable à 99%... Je vais mourir. Une seul chose peut me sauver mais je m'y refuserais. Klaus n'ose pas me regarder. Il a moins d'une semaine pour me faire changer d'avis d'après le docteur. Je ne veux pas mourir mais je ne veux pas non plus faire ceci. Je n'ai de toutes façon aucune raison de vivre.

Klaus doit maintenant arriver à lire dans mes pensée comme je n'arrive pas à garder mes barrières de pensée mental levées. Je suis bien trop faible pour cela. Comment-le-vois-je? Tout simplement car il me regarde avec ce regard résigné, cet horrible regard. Celui qui est partagé entre la colère, la pitié, la tristesse et le désespoirs de n'avoir aucun pouvoir sur ce qu'il m'arrive. Je ne sais pas pourquoi il est ainsi. Pourtant les âmes-sœurs, ce genre de trucs, ça n'existe pas.

Il me reste un moi... avant de mourir mais je veux mourir avant.

-Je sais, dit alors Klaus d'une voix plus roque que d'habitude. Et je veux te proposer un marcher.

-Quel est-il donc? Demandais-je.

La dernière humaineWhere stories live. Discover now