La soirée continua, comme une soirée quelconque, dans une taverne quelconque.
La fatigue tombais sur les membre du groupe un par un, les faisant rejoindre petit à petit la chambre qui leurs étaient réservé. Une chambre assez grande pour une auberge de ce genre, dans laquelle était placer 6 lit et quelques armoires et meubles.
La nuit était bien entamé, mais loin d'être terminer. La bonne ambiance de l'auberge avait laisser place au silence du sommeil.
Même les gardes, censé protéger les lieu avaient fini par s'endormir debout sur leurs piques.
Un hurlement retentit à travers l'auberge. Réveillant chaque âme endormie et plongeant les différents aventurier dans une certaine mauvaise humeur -probablement du à ce réveil quelque peu brutal- les menant tous vers la chambre ou à été pousser le cri.
Un Ent et trois humain en panique fouillaient la chambre, sous les lit , dans les armoires, sous les armoires.
Juudal s'avança.
"Que ce passe-t-il?"
L'un des humain s'approcha et dit :
"Nos coffre ont été vidés, nos sacs aussi! Il ne reste plus rien ! On retrouvera celui qui a fait ça !"
Juudal se retourna vers son groupe et les observe quelque instants. Tous s'étaient levé, mais certain paraissaient désintéressé de la situation.
Un signe de tête suffit a la communication du groupe qui se retira dans sa chambre.
Halfurion parla :
"Le voleur est peut être encore sur place."
"Personne ne voleras mon or!" Cette phrase était sortit de la bouche de Rafark et du cœur de tout les nains a la fois.
Octave s'assit sur sa couche et soupira :
"Personne ne volera notre or, on a juste a s'en aller"
Le groupe se tourna vers lui, surpris, sauf le nain, qui était toujours inquiet pour son or.
Thorin, comme par un éclair de génie vérifia ses affaires, ses bourses et se leva, l'air inquiet.
"Personne ne voleras notre or car nous n'en avons plus, toutes mes affaires précieuse ont disparu"
Suite a cette déclaration le silence s'installa et tous se retournèrent vers leurs affaires, chacun s'apercevant de la disparition de leurs possessions de valeur.
Ce silence fut interrompu quelque secondes plus tard par un fracas venant de la chambre d'à coter.
Encore une fois, tous se dirigeaient vers l'origine de ce bruit. Encore un groupe d'aventurier désemparer par la disparition de leurs affaires.
L'aubergiste, finalement réveillé par ce vacarme, rejoint accompagné de quelques garde, cette cohue d'aventurier plus énerver et suspicieux les un que les autres.
Ou était passés leurs richesses? ? Qui les avais volés ?
"Que ce passe-t-il?" Demanda l'aubergiste de la manière la plus diplomatique possible, même entourer de gardes il semblait craindre pour sa vie et son auberge -des aventuriers en colère n'ont que peu de considération pour la vie d'un aubergiste et de l'état de son auberge-
Un grand guerrier chauve sortit de la chambre d'où provenait le bruit sourd qui avait retentit plus tôt. Il était rouge de rage et tenais un pied de table dans la main droite et le reste de la table dans la main gauche.
Il hurla:
"Qu'ont nous rende nos bien! Ou l'auberge brûlera !"
Un cri d'approbation résonna dans l'étage.
L'aubergiste tendis un bras pour indiquer aux garde, prêt a aplatir l'aventurier , de ne pas bouger.
Il repris calmement mais on pouvais, si on y prêtait attention, distinguer de la peur et de l'inquiétude dans sa voix :
"Brûler mon auberge ne résoudra en aucun cas votre problème, bien au contraire, cela pourrait créé une distraction, et permettre au voleur de s'échapper."
Cette phrase, ayant pour but d'apaiser les esprit, ne fit qu'enragée le guerrier chauve, qui éclata la table contre le mur avant d'être maîtrisé par ses camarades, qui avaient,eux, pleinement conscience de ce que leurs coûterais la destruction de l'auberge par leurs groupe.
Juudal s'avanca, suivit par le reste du groupe, de l'aubergiste et la cohue d'aventurier.
"Nous devons nous organiser pour fouiller la taverne. Se diviser en plus petits groupe pour fouiller l'auberge"
La majorité des aventurier présent acquiescèrent, d'autre encore partirent fouiller l'endroit, tandis que quelque brutes comme le guerrier chauve continuait dans leurs frénésie contre-productive.
L'aubergiste, comme pour donner son approbation a Juudal, dit simplement : "Nous devons fouiller le bâtiment. Que les gardes s'occupe des entrées, laissons aux aventurier le loisir de trouver ce voleurs."
A la vu de la réaction positive du troupeau présent dans le couloir, Ulquiora se racla la gorge et parla ainsi : "Je peut essayer, si tout le monde se calme, de capter son énergie et orienter nos recherche"
L'intensité sonore a rapidement baisser après cette déclaration. Alors Ulquiora ferma les yeux un instant sous le regard curieux de tout ceux qui n'était pas partit précipitamment dès l'annonce d'une fouille de l'établissement. Une ou deux secondes avaient passé quand Ulquiora ré-ouvris ses yeux, et la, un calme absolut régnais dans l'auberge, l'espace d'un instant on aurait pu croire que le temps c'était arrêté. Une énergie sombre parcouru l'endroit en un instant, pénétrant chaque esprit, chaque corps.
Peu a peu les aventurier reprirent leurs esprit. L'énergie avait disparu comme elle était venu.
Voyant qu'une majorité avait regagner leurs moyen, le démonomorphe repris : "J'ai sentit une faible présence dans la chambre la bas deuxième chambre." Il pointa un couloir a sa droite et commença a marcher dans cette direction, les aventurier qui aurais du lui entravé le passage, on réussit a le lui céder, rejoignant le reste du groupe qui suivais leurs berger. Quand il approcha la porte, il vit tout les autres faire quelque pas en arrière. Alors il mit sa main a la poignée, la tourna et poussa la porte.
Personne.
Il laissa passer les fanatiques qui allais maintenant fouiller la chambre de fond en comble, et partit, les poings serré. Il rejoins sa chambre, suivit cette fois uniquement par son propre groupe.
Quand ils eurent atteint la chambre, Ulquiora demanda a fermer la porte, quand ce fut fait, il ouvris la main, et en sortit un morceau de parchemin.
"Bonsoir Ulquiora, et les autres. J'ai avec moi tout ce qui a été volé, je suis dispose a vous les rendre, si vous me retrouvé a l'arrière de la taverne à 04h20, pour discuter des possibilité. Si d'autre viennent avec vous, je disparaîtrais avec l'intégralité du butin"
