Chapitre 19: Ascenseur...

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- Désolez c'est parti tout seul. Dis-je paniquée en le voyant se rapprocher de moi.

Il me pousse sur le fond de l'ascenseur et se met devant moi. Il me dépasse bien de 3 voir quatre têtes et le surplombe. J'ai peur mais en même tant je sent une pointe d'excitation en moi. Que m'arrive t'il ?

- Toi petite chose tu oses me gifler ? Me demande t'il à la foi énervé et joueur.
- P... Pardon, je suis désolée. Dis-je une foi de plus, confuse.
- Comme ça tu es désolé mais il est trop tard ma belle, faut réfléchir avant d'agir. Me dis-il en plantant ses yeux dans les miens.

Il me fait peur mais en même tant il est tellement sexy comme ça devant moi.

- Me regarde pas comme ça, tu me fais peur. Lui dis-je dans un soupçon de murmure.
- Moi je te fais peur. Me dit-il en s'approchant un peut plus de moi.

Mon corps tout entier est en ébullition, je ne sais pas ce qui m'arrive. Je le déteste mais ça présence quand il est auprès de moi me fait perdre mon bon sens.

- Pousse toi. Dis-je une foi de plus pas très sure de moi.
- On est pas bien comme ça tout les deux. Me questionne t'il rieur.
- Non. Répond dis-je d'un son à peine audible.

Il se rapproche encore plus de moi et je peux sentir son corps appuyé contre le miens. Je ne peux plus bouger, je suis comme pétrifiée sur place.

- On ne veut plus me gifler à ce que je vois ? Me questionne t'il.
- Pousse toi s'il te plaît. Réussi-je à articuler.
- Pourquoi ça te gêne ?
- Arrête de jouer à ça Noé ! Dis-je plus sérieusement.
- Je ne joue à rien moi. Rigole t'il.

Je rêve où il se colle de nouveau un peu plus moi.

- Noé je ne rigole plus.
- Bein moi non plus mon choux.

Je le pousse violemment et heureusement les portes de l'ascenseur s'ouvre. Ouf sauvée.

- Attend moi mon choux. Me dit-il en criant car j'ai pris un peu d'avance sur lui. Il m'énerve.
- Tu sais même pas où aller. Rigole t'il.

Je finie par m'arrêter car malheureuse il a raison je ne sais pas où on va.

- Enfin on m'écoute mon choux.
- Stop Noé ça suffit tu es agaçant.
- Je sais, je sais.

Il se fou de moi en plus qu'elle arrogance, je vais finir par le gifler de nouveau si cela continue. Et aussi pour le ressentir encore près de moi. Mais qu'est-ce que je dis moi...

Il passe devant moi et me dit de le suivre et c'est ce que je fais.

Nous arrivons sur une plate forme à ciel ouvert. Je m'approche un peu plus du bord et je remarque que tout compte fait nous sommes sur le toit d'un immeuble.

- Que fessons nous ici ? Lui dis-je étonnée.
- Je te fais découvrir Paris de haut.
- Déjà que je n'aime pas cette ville au il fait toujours gris. Je ne vais pas l'aimer de haut car j'ai le vertige. Je dis tout cela en retrouvant vers l'arrière car je n'aime vraiment pas voir le vide se profiler devant moi.
- Approche toi, tu ne risque rien. Moi j'adore cet endroit ça me permet de réfléchir.
- Très bien mais moi en tout cas je déteste.

Il se retourne vers la vue dressée devant nous et ne rajoute pas un mot. Je l'ai peut être vexé, c'est vraie que des fois je ne suis pas très diplomate.

- Je suis désolée, si tu aimes ce lieu c'est ton droit.
- Faut que tu apprennes à vivre et arrête de juger ce qui est différent de toi ou de ton point de vu.

Tiens ça me fais penser à quelqu'un mon frère me disait cela il y a peine quelques jours.

- Pourquoi tu le dis cela ? Lui dis-je sur la défensive.
- Tu es trop stricte envers toi même.
- Ma vie me convient très bien merci !
- Tu vois de suite sur la défensive.
- Toi aussi tu me juges comprend moi.
- Je ne te juge pas je te donne des conseils.
- Grade toi les pour toi dans ce cas.
- Très bien reste coincée comme tu es alors.

Non mais quel toupet ma parole, je ne le juge pas moi alors que j'aurai pas mal de chose à lui dire. Quel con !

- Très bien et ma vie me convient comme ça.
- C'est bon j'ai compris. Me dit-il agacé.

Pourquoi ma t'il amené à cet endroit ? Finalement je ne le sais même pas.

- Pourquoi sommes-nous ici ?
- J'avais envie.

Sa réponse m'éclaire tellement. Je ne cherche pas à en savoir plus et fini par m'assoir prêt de la porte où nous sommes entrée précédemment. Je suis épuisé, oui ce mec m'épuise.  Il finit pas se retourner.

- Tu fous quoi par terre ?
- Je suis fatiguée.
- Ok.

Et il se retourne de nouveau ne fessant pas cas de moi. Quelques minutes plus tard le voila assis à mes côtés.

- Tu comptes faire quoi dans la vie ?
- Devenir une très grande avocat.

Je ne vous avez pas dit: je rêve de devenir une grande avocate renommée comme ma mère qui est un exemple pour moi.

- Quelle ambition. Rigole t'il.
- Moi au moins j'aurais un travail. Lui répond dis-je agressivement.
- Oui mais ce travail te plait t'il vraiment ?
- Oui et je sais que mes parents seront très fier de moi.
- C'est bien ce que je pensais, tu ne vie pas ta vie pour toi mes pour les autres et en fonction d'eux. 
- Arrête c'est mon rêve depuis enfant.
- Tu as était conditionnée pour cela.
- Ne dit pas n'importe quoi, je décide de mes choix, je ne suis pas une machine à qui on indique une ligne de conduite.
- Sèche les cours avec moi toute la semaine et je te fais découvrir découvrir le sens de la vraie vie.
- Tu es complément malade jamais de la vie en plus de cela mes parents seraient fou de rage.
- Nous y revoilà, t'es parent.
- Quoi mes parents, ils sacrifient notre vie et la leur pour nous en nous offrant de belle étude et tous le confort que nous souhaitons.
- Tu trouves ça bien ?
- Oui.
- Ne préfèrerais-tu pas qu'ils travaillent moins et soit auprès de toi tous les jours.

Merde il a touchait mon point sensible.

- Si mais c'est pour notre bien et je le sais.
- Très bien si cette vie te va, tu seras également pareille toi même.

Heureusement qu'il ne renchérie pas sur le sujet car c'est un sujet sensible. Et non je ne serais pas comme ça plus tard, je serais plus disponible pour mes enfants j'en suis persuadée.

- Dis moi toi alors comment vois tu ta vie ? Lui dis-je à mon tour.
- Une vie simple faut pas se prendre le tête. Faut tout simplement vivre et pouvoir faire ce que l'on aime. Surtout que personne ne nous dicte nos choix, faut rester maitre de sa vie chérie met toi bien ça dans la tête.
- Et vivre d'amour et d'eau fraîche aussi tant que tu y es.
- Pourquoi pas même si l'amour n'est pas mon but principal dans la vie.
- Je l'avais bien compris en même temps tu as raison personne ne pourras te supporter.
- T'inquiète pas pour une nuit elle ms me supportent toutes et je n'est besoin que de ça.
- Sale porc.
- C'est ça ma belle profiter de la vie.
- Faire l'amour avec tout le monde, beau résumer de la vie. Dis-je rouge de honte.
- Pas faire l'amour, baiser ma belle oui c'est ce qu'il y de mieux dans la vie quand tu y auras goûter tu ne pourras plus t'arrêter.
- Mais veux-tu te taire. Lui dis-je une foi de plus rouge de honte.
- Tu vois trop coincée.
- Et toi trop chaud du cul.
- Je préfère être dans mon cas alors.
- Et moi le miens.

Que va t'il se passer entre ces deux là ? Vont-ils réussir à s'entendre ? Noé va t'il changer Eloise ou peut être le contraire ?

Voila un petit chapitre que j'ai eu enfin le temps de vous écrire après tout ce temps. En ce moment c'est la course et j'ai le temps de rien faire. J'espère qu'il va tout de même vous plaire. Laissez moi vos avis et vos commentaires. Je vous embrasse bien fort. Je vous aime. 😘💖 Mathilde

Quand Une Sainte-Nitouche Rencontre Un Coureur De Jupons !!!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant