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Chapitre 67

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Bien sûre vous avez devinez; Amir se tenait derrière moi avec le plateau repas. Genre choqué.
C'est bon moi je saute dans l'eau j'me noie khlass.

Je raccroche directement avec les filles.

Moi : Ah... Euh t'es allé chercher le repas ?

Amir : Eh ben ouais j'avais faim tout de suite.

Moi : Ah ok... Ont leurs dira de passer plus tôt..

Il s'est assit et ont à mangés dans le calme. J'étais grave gênée je voulais pas le regarder 👀

Amir : Euh j'ai pris des papiers pour visiter là. Ont ira cette aprem ?

J'me suis contenté d'hoché la tête et je me suis cachée derrière mon bol de lait.
Le déjeuné s'est passé dans le plus grand des calmes.

Moi, j'avais vraiment honte, même si je me répète hein mehlich.

Une fois finie, Amir est partit se baigner, moi j'ai pas osé et je me suis préparée à sortir et j'ai fais le ménage un peu même si ont nous le fais.

J'savais tellement pas quoi faire du coup j'ai trouvée que ça.

je regardais mon mari de loin.
MashAllah c'est une bombe, aucun ne lui est égale.

L'amour vient après le mariage.
Je pense que le simple fait d'avoir un anneau au doigt qui m'unie à lui me fait ressentir quelque chose. de fort.

Mais je comprends pas pourquoi wAllah, c'est arrivé d'un coup.
Je ne sais pas si c'est réciproque.
D'un côté, il a ce caractère possessif et jaloux, mais je ne sais pas si c'est par amour ou par fierté.
Et de l'autre, il joue la carte du bon copain.

Je ne sais pas trop où j'en suis. C'est trop rapide pour moi.
Je l'avais oubliée Amir, quand Youness est arrivé dans ma vie.
Je pensais que nous deux c'était définitivement finie.

Mais les jours ont passés et j'ai ressentis cet espèce d'attachement envers lui, envers sa fille.
J'ai essayée de me voiler la face mais... c'était évident. J'avais besoin de cette présence masculine à mes côtés. De mon mari, d'Amir.

Amir : Ayna ? T'as rangée où mon...

Je me suis retourné et ma tête s'est écrasée sur son torse mdrrr
Vu qu'il était mouillé ben, j'le suis aussi maintenant.

Amir : mon jean que j'avais quant ont est arrivés ?

Moi : Euhm, va voir dans l'armoire de la salle de bain.

Amir : Saha.

Et puis c'est quoi son petit manège depuis hier. Zehma il me fait la gueule.
Est-ce ma faute ? Ai-je demandé à attirer l'attention de ce boloss ?
Non mais de toute façon Amir il est trop zarbi. Lunatique et bipolaire.

Amir : C'est bon ont peux y aller !

Moi : Hein ? Mais jsuis même pas prête?

Ayna - Tout recommencer, de la ville au quartierWo Geschichten leben. Entdecke jetzt