Michael Clifford ➳ Imagines

Votre enfant vous dérange pendant ...

« Ça ne fait pas peur », insiste Michael, mettant le DVD et s'asseyant à tes cotés sur le canapé.

« Bien », tu soupire, regardant nerveusement votre fils, Noah.

« Laisse-moi regarder maman ! Je suis courageux ! », supplie l'enfant. Tu soupire, mais abandonne, autorisant Michael a lancer le film.

Dix minutes après que celui-ci ai commencé, tu sens la main de Michael glisser vers le haut de tes cuisses.

« Michael, non », tu avertis.

« Noah est endormi », souligne-il avec un sourire malicieux. Tu soupires, roulant des yeux à son attention.

« Ça fait des années », gémit-il alors que sa main monte de plus en plus haut.

« Laisse-moi juste mettre Noah au lit et- »

« Il est bien ici », insiste Michael. « Allez », dit-il en attrapant ta main et t'entraînant vers la chambre a coucher.

Il ferme la porte, la verrouillant derrière lui avant de te pousser contre le lit. Il te place sur ses genoux, tes jambes de chaque cotés des siennes, et tu t'abandonnes, l'embrassant avidement. Il ricane sur ce baiser avant de bouger ses lèvres contre ton cou, mordillant la fine peau.

Ses doigts jouent avec l'ourlet de ton tee-shirt, le descendant lentement.

Un coup a la porte vous fait vous geler sur place.

Soupirant, tu remet ton tee-shirt et descends du lit, faisant quelque pas jusqu'à la porte.

« Qu'est-ce qui ne vas pas babe ? », dis-tu, t'agenouillant devant Noah.

« J'ai fait un cauchemar, » marmonne-il, se frottant les yeux, « a cause du film. »

« Oh non », tu dis, le câlinant doucement tout en regardant Michael.

« Viens, je vais te border », tu proposes, prenant sa main.

« Est-ce-que je peux dormir avec papa et toi ? », demande-il avec des yeux de chiot.

« Bien-sur », tu dis, lui permettant l'accès à la chambre.

« Vous restez avec moi ? », il demande alors qu'il monte dans le lit.

« J'en serait contente », tu réponds, tirant les couvertures pour border Noah.

Michael soupire et tu lui lance un regard réprobateur.

« Tu est celui qui a dit que le film ne faisait pas peur », tu souligne alors que tu te met dans le lit. « Maintenant tu devra attendre jusqu'à demain soir », dis-tu avec un haussement d'épaules.

Michael gémit, se laissant tomber de l'autre coté du lit.

« Attendre pour quoi ? », demande confusément Noah.

« Pour rien chéri », tu dis, embrassant son front. « Endors-toi. »