Princesse de tess...!

~~~ Chapitre 40 ~~~

Moi: COMPTE JUSQU'A MILLE SI TU VEUX, je ne bougerais pas d'ici.

Baissais je tout à coup d'un ton. Il me dévisageait d'un regard que je connaissais. C'était celui du " je suis plus fort que toi ". A cet instant j'ai vraiment flippé, isac me tenait fermement. Daddy recula d'un pat, il fit signe à quelqu'un dehors. Ensuite je vis entrer deux personnes que j'connaissais depuis mon enfance, il s'agissait des deux gardes de du corps d'mon dar. J'les ai vu se ramener vers moi. J'ai pas assumé, j'me suis agrippé à mon reuf le plus fort possible mais ils étaient plus fort. Ils m'ont ramassé comme du n'importe quoi. Je criais d'colère, je griffais l'un des batard qui m'tenais mais rien, nada, foye, ils m'on amené comme d'la grosse putain d'merde.

Fin du flash back.

On peut dire que Daddy n'y était pas allé d'main morte ce jour. J'ai chassé tout ces mauvais souvenirs puis j'me suis allongée dans mon lit. Je souffrai tellement. Cela faisait trois jours, trois jours que Tyron et moi nous nous sommes pas vus. Il me manquait, il me manquait tellement. J'ai soupiré, mon plus grande souhait à ce moment c'était d'effacer, oui effacer tout ce qui c'était passé.

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J'me réveille subitement vers les environs de 3 heure du mat. Je suais, mes cauchemars me hantais encore une fois. J'ai soupiré en voyant que c'était qu'un rêve puis chui descendue boire de l'eau dans la cuisine. Il faisait noir, je marchais avec crainte puis j'me sui empressé d'me servir un verre une fois arrivé dans la cuisine.

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6 heure passé, je n'arrivais toujours pas à fermer les yeux. J'étais terrorisée , j'avais besoin de parler. Quand cette envie me traversa l'esprit, j'ai pensé à une personne. Une personne qui sen balec de moi depuis quelques temps. Il sagit de ma soit disante meilleure amie, Zeina. J'ai saisi mon portable puis j'ai composé son numéro. Elle a répondue instantanément.

Zeina: hey fatma j'allais t'appeler et tu l'as fait wAllah. Il paraît que tu vas te marier... OH MON DIEU.

Elle me dit avec stupéfaction. Tends elle est sérieuse elle?

Moi: oee c'est ça.

Zeina: wAllah, genre j'avais même composé ton num pui j'ai...

Elle marqua une pause.

Zeina: never mind, tu racontes quoi ?

J'ai eu les nerfs après ça.

Moi: tu sais quoi? Va t'faire enc*ler.

L'insultais je avant de raccrocher. Je n'ai pas l'habitude d'insulter comme as mais elle m'avais vénère. J'me demande comment elle a pu être ma best depuis tout ce temps. J'ai soupiré et tout avant qu'elle ne me rapelle. J'lai ignoré pendant quelques instants puis j'lai mis sur ma liste noire après trois de ses appels. Je devais m'vider la tête, j'avais besoin d'oublier. J'ai ressentis mon portable vibrer, j'ai soupiré en croyant que c'était Zeina mais un sourire c'est tout de suite affiché sur mon visage quand j'ai lu le nom de Tyron. J'ai répondu sans hésiter et j'me suis sentis soulagé dès que j'ai entendu l'son d'sa voix.

Ty: t'vas bien?

Il m'dit avec une voix presque morte.

Moi: pas tellement...je...t'me manque.

Tyron: t'veux que j'vienne?

Moi: non azy Daddy a engagé des gens pour m'surveiller. J'veux pas que t'sois mêler à toute cette merde.

Il soupira.

Tyron: crari il est serieux ton dar ? Je...j'vais pas m'laisser faire ainsi, wAllah sur la vie d'moi.

I me dit avant de raccrocher. Ses paroles m'ont inquiété. Quelle bêtise allait t'il faire cette fois? Me demandais je apeuré. J'ai soupiré quelques séconde après. J'avais plus rien à perdre de toute façon donc pourquoi m'inquiéter?

******
Quelques minutes avaient passé et j'étais toujours coincé dans ma chambre. Le soleil était bien haut et le quartier c'était réveillé. J'comptais la poussière dans l'air quand ma porte c'est brusquement ouverte. J'me suis redressé avant de souffler en voyant que ce n'était que Tyron. Stop...TYRON?

Moi: azy t'fais quoi ici? Je....i vont cafter...t'aurai jamais du v'nir.

Tyron: men balec fatma. I font c'qui veulent. Crari depuis quand c'est interdit d'aimer qui on veut?

Il m'répond calmement.

Moi: tu...je...*soupire* puis merde osef.

Lui dis je avant d'me jeté dans ses bras. Il me serait comme si c'était la dernière fois et j'en avais les larmes aux yeux. La vie voulait nous séparer. Nous avions réussi à tout dépasser mais j'crois que cette fois c'est terminé.

Moi: crois tu qu'on va s'en sortir?

Tyron :*soupire* chai pas fatma, wAllah chai pas.

J'ai fermé mes yeux après ça. J'avais cette douleur, cette douleur qui avait été violemment planté dans mon coeur. Nous étions restés collés durant quelques minutes avant de nous embrasser. C'était peut être la dernière fois. Me disais-je brisé.
On se regardait dans les yeux puis il me ressera contre lui. J'me sui blotti, il me tenait fermement contre sa poitrine. J'me sentais enfin bien avant qu'un élément ne vienne tout gâcher. Cet élément n'était personne d'autre que Daddy. Il avait violemment ouvert l'entrée d'ma chambre avant de venir séparer Tyron et moi, oui il l'avait fait de ses propres mains.

Daddy: ENLEVE TES SALLES MAINS D'MA FILLE. * a moi* QUANT À TOI FATMA...

S'adressait il a moi hors de lui. J'ai commencé à pleurer. Puis Tyron est intervenu.

Ty: pourquoi réagissez-vous ainsi? Vous lui faites du mal, regardez elle souffre la.

Mon père  l'a fixé avec colère.

Daddy: TU ES QUI POUR ME DIRE QUOI FAIRE. ? C'EST MA FILLE PAS LA TIENNE DONC MAINTENANT TU VAS SORTIR DE CHEZ MOI, TOUT DE SUITE.

Ils se regardaient mutuellement. Tyron m'a fait un regard desolé puis c'est dirigé vers la sortie.

Ty: vous la détruisez votre fille au cas où vous ne vous en rendez pas compte.

Rajouta t'il avant qu'on ne le voit disparaître. Mes larmes coulaient à flots et mon nez soufflait d'colère.

Daddy: t'me pousse à bout fatma. Tu ne fais qu'aggraver ton cas. Continue et je te jure que tu vas le regretter.

Me dit il avant de ressortir à son tour. J'allais hurler d'colère quand j'lai vu entrer de nouveau.

Daddy : et j'oubliais, prépare toi tu dois allé passer la journée chez ton futur mari.

Moi: daddy je.....

M'apprêtais je à dire mais il était déjà parti.

La suite dans le prochain chapitre.

MERCI,

                        LAWMICLAVE.