Relaxation

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-Pardon?

-Votre mère était bien ici mademoiselle.

-Mais que voulait-t'elle?

-Elle a juste démandé apres votre père,quand on lui a dit quand faite qu'il était abscent,elle s'en alla immédiatement.

-Ah!Elle a juste demandé apres papa....

-Oui mademoiselle.

Je ne lui manquais dont pas?hum,c'etait bien ma mère ca,apres tout mon père était son chéquier sur pattes et moi j'étais juste une simple erreur que si elle pouvait,elle s'empresserait de corriger immédiatement.

-Merci Candy.

-Vous avez de moi pour autre chose?

-Non ca va merci.

Puis elle disposa.Que voulait t'elle à mon père?Le menacer?Se réconcilier?C'était surement ca,si c'était le cas,j'imagine que mon père lui imposera des conditions comme par exemple me respecter et elle repondra que"oui"biensûr,elle ne pouvait pas se permettre de perdre un gros poisson comme mon père voyons!

Je préferai me détendre dans ma chambre que de penser aux choses qui n'en valaient pas la peine,oui,ma mère ne valait vraiment pas la peine qu'on puisse lui accorder la moindre importance sinon elle se sentirait trop puissante,elle est bien consciente du pouvoir qu'elle exerce sur mon père c'est pourquoi elle se permet toutes ces libertés.

Arrivée dans ma chambre je comencais enfin à me détendre et je décidai d'aller regarder par ma fenêtre pour observer les passants comme j'avais pour habitude de le faire et là encore j'aperçu le fameux ami de monsieur Léonard,Andrew Roberts si ne m'abuse.Depuis quand le connaissait t'il au fait?Je l'avais jamais vu,apres tout je ne connaisssait pas tous les amis de monsieur Léonard,pourquoi m'inquieter.Je me dirigeais vers mon bon vieux lecteur platine que mon père m'avait offert pour mon 15e anniversaire,lui seul savait à quel point la musique était une passion pour moi,je mis le volume à percer les timpons et je commencais à danser sur du Little Walter,j'adorais ce chanteur,il a fait vibrer des foules pendant des années,ca passait de Little Walter à du Elvis presley,là je me déchainais completement sur blue suede shoes,ce titre à fait un carton en nouvelle orleans,tandisque je dansais dessus,Candy venait m'annoncer quelque chose mais je refusai de l'ecouter par contre je la tirais pour qu'elle danse avec moi,on se lachait....

-mademoiselle arrêtez...:D

-non non

-Quelqu'un vous demande

-Je ne veux voir personne.

-C'est mademoiselle videline.

-Tu lui as dit que ma mère n'etait pas là?

-Oui mais...

-Alors?

-Elle veut vous voir vous.

J'arrêtais alors de danser.Que me voulait -t'elle encore cette snobinarde?Me vanter ses mérites au nez?

-Ok on n'y.

-J'ai la tête qui tourne.

-C'est ca l'effet"Elvis Presley"

Nous eclatons de rire ensemble.

Quelques instants apres j'aperçu des escaliers,cette chère Videline Lawrens.Je décidai alors de ne pas me laisser marcher sur les pieds cette fois-ci,moi aussi j'allais jouer à la bourgeoise,j'emprunta même un accent anglais,ce genre de chose l'impressionait telement...

-Mais c'est cette chère Videline,comment vous portez-vous très chère.

-Bien merci.

-Non je vous en prit,restez assise,ce n'est pas la peine.

-Oh merci.

Elle avait vraiment l'air tres impressionné,ca m'amusait telement.

-Vous a t'on donné une petite collation?

-Non merci,j'ai prit quelque chose avant de venir.

Elle me regardait avec des gros yeux comme pour si elle se demandait si j'avais bu la possion magique de la bourgeoiserie.

-Et ce voyage?

-Ma-gni-fique...

Et....c'est partit...

-J'ai adoré les caraïbes,c'est telement relaxant,les palmiers,la mer,les gens....

Les gens?

-Un peu sals mais bon...ca va,tres hospitaliers.

Ah!Ca c'est elle,ca m'aurait étonné qu'elle dise du bien de quelqu'un.

-Oh mon Dieu!

-C'est peu dire tres chère,je te conseille d'y aller pour des vacances,c'est fantastique.

-Entre nous je prefererais aller aux Sky.

-Aux sky?Ne trouvez-vous pas que vous êtes assez pâle tres chère?

Elle a ouvert les hostilités,elle veut commencer à me dénigrer,ca va barder pour elle.Je sourit jaune.

-Et vous vous êtes aller aux caraïbes tres chère mais vous êtes encore plus pâle que moi.

Elle a le visage figé,en plein dans le mil.

-Je dois y aller,j'étais au départ venue voir votre mère mais bon comme elle n'est pas là,je vais y aller,ravie d'avoir conversé avec vous.

-Mais revenez quand vous voulez.

Elle me sourit mais son regard me lancait des éclairs.

C'etait pas trop tôt,elle s'en va enfin,je commencais à en avoir assez de cette comédie,je crois que j'ai clo à présent le chapitre videline et ce chapitre là aussi.

Passion et TrahisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant