Excuse Me! [RÉÉCRITURE]

Chapitre 14

Comme prévu je reculai un peu et avant qu'il puisse avançait je cours de toute mes forces, il commençait à me rattraper mais en même temps ce n'est pas pratique de courir avec un enfant dans les bras. Par justesse, on arriva à l'énorme immeuble illuminait, le mec n'a pas froid aux yeux ! Il entre aussi, je pose Lola à terre la donne à la sécurité... Pourquoi il ne l'arrête pas ? Et bien parce qu'il les a échappés, J'attachai mes cheveux, il avait un sourire pourris aux lèvres, il prit un couteau qui été dans sa poche et sourit.

... : mais pourquoi... tu veux mourir -en riant-

Moi : tu ne trouve pas que se n'ai pas égale un mec avec un couteau et moi, une fille qui va me battre à main nue ?

... : Salope, je ne vais pas te faire mal, je veux juste te baiser -en s'approchant-

Je ne bougeait pas, il n'était pas très loin de moi, je l'inspectai un peu avant de me battre, j'appliquai se que mes parrains mon appris, sa était plutôt facile même si il m'a touchait avec son couteau sur ma lèvre inférieur mais se n'était qu'une petit coupure et sa va disparaitre. Il était K.O,étalé par terre avant qu'il puisse se relever, je cours vers un mec de la sécurité qui regardais la scène bouche B, je lui arracha les menottes puis me dirige vers l'autre con et le menotte en lui laissant un petit mot « je ne suis pas une Salope, ni une pute... va crevé en prison » et le soulève par les cheveux se qui provoque un gémissement.je le passe à un homme et il l'emporta. J'étais essouffler, sa fait longtemps que je me suis pas battu aussi difficilement, j'étais assise par terre en train de reprendre mon souffle, Lola court vers moi et me prend dans ses petit bras.

Lola : bravo -en souriant-

Moi : merci ma grande

Tous le monde me regardais et murmurait un truc du gens « elle est encore jeune ! », « elle l'a battu.. », « elle s'est bien défendu.. » et autre truc, en reprenant mon souffle j'entendis des pas inquiet vers moi... à votre avis qui c'est ? MES parrains, ils arrivèrent et me prennent dans leur bras.

Marguerite : tu va bien ma grande -en prenant mon visage dans ses mains-

Moi : -d'un ton ironique- deux ans d'apprentissage avec mes parrains, et vous croyais qu'un minable comme lui me battra ?!

Killy : bien sur que non ! -en riant- c'est bien moi qui t'a appris à te battre

Charles : n'importe quoi !? C'est moi !

Moi : vous avez tous mis du votre donc vous y êtes tous d'une manière ou d'une autre... -en souriant et me levant-

Joe : jeune fille ! Tu ne devrais pas être à l'hôpital en se moment-en me grondant-

Ah ouais j'ai totalement oublie qu'il croyait que j'étais à l'hôpital, Joe ne va plus me lâcher avec ses questions, OH DIEU ! GRAND DIEU SI TU M'ENTENDS FAIS-LES CHANGERS DE SUJET

Laurine : pas aujourd'hui Joe ! Justement faut qu'on lui parle -en le regardant d'un air « rappelle-toi ! »-

MERCI GRAND DIEU !

Moi : me dire quoi ?-en les regardant tous en se dirigeant vers l'ascenseur-

Emily : on t'expliquera dans notre bureau-en cliquant sur la touche 8-

On attendit quelque minute et les portes s'ouvrent, je sors de l'ascenseur regarde à gauche et à droite, rien n'a changer, tous les visage me sourissent, j'ai passée toute mon enfance avec ses gens, dommage...ils étaient occuper avec le boulots, la pièce n'a pas n'en plus changer un bleu clair des table gris des gens avec des uniformes différents se qui sont avec des uniformes (costard, cravate) d'autre avec des uniformes(pantalon noir, haut noir, lunette noir, et gilets par balle) et bien d'autres... chacun à son rôle, ceux qui ont des gilet par balle sont du terrain,ceux avec des cravates sont soient des recrues qui travaille à ramener le café, sinon se sont les gens qui sont seulement sur leur ordinateur toute la journée et puis il y a ceux comme mes parrains, ils sont sur leurs bureau et le terrain...Revenant à se que nous fessions, nous étions en train de nous diriger vers le bureau de mes parrains quand je retournais mon visage à la droite et voix un mec assis dans la salle d'interrogation, je ne regardais pas totalement son visage mais sa carrure, me dit un truc... je le connais... j'en suis sur... il tourna enfin sa tête vers moi... et... oh putain... je n'arriva pas... à le croire... dites-moi que... je rêve... mais il fait quoi là lui ? Il me regarda de travers puis regarde l'homme qui l'interroger. Je continue à marcher derrière mes parrains, arrivé, Don prend Lola de mes bras et là donne à une femme inconnue à mes yeux.