Chapitre 1 : Le commencement de ce cauchemar.

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Vous savez cette partie de votre vie que vous appelez naissance, et les premières années de votre petite vie misérable. Vous ne vous en rappelez pas, mais moi si. Je ne suis pas atteinte par l'amnésie infantile qui fait que vous ne vous rappelez pas cette partie de votre vie.

Je suis née dans une famille de noble que je n'aime pas car ils profitent du manque d'argent des pauvres pour les exploiter. Je suis née en plein centre de la capitale de cette Empire de merde : Chikara. Ah oui, et à ma naissance mes parents ont eu la "brillante" idée de m'appeler Yume, qui signifie rêve. Car je suis trop merveilleuse pour être réelle. COMMENT CA !!! Nan mais s'ils veulent que je les fasse chier jusqu'à les pousser au suicide, failler le dire plus tôt ! Bon en gros, depuis que je suis toute petite j'essaye de quitter le "Grand Empire", nan mais plus sérieusement, ils ne se sont pas foulés sur le nom !

Toc toc toc

Dora : Mademoiselle, il est l'heure du diner.

Moi : Dis à mère que j'arrive s'il te plait Dora.

Dora : Bien sûr mademoiselle.

Dora est une des dix domestiques qui vivent avec nous dans la demeure familiale. Je descends pour aller manger, et à table il y a ma mère, mon père, et mon grand frère. Mon frère est une des rare personnes que j'aime dans ma famille. Dans ma famille j'aime que mon cousin Yukio, mes cousines Aiko et Kyoko, et bien sûr mon frère Kaito.

Kaito : Yume, ça va ? Tu as l'air un peu ailleurs !

Moi : A bon ?!

C'est vrai que c'est dernier temps je ne suis pas dans mon assiette. Quand je suis parti en ville avec père, j'ai pu voire tout l'étendu du system de sécurité. Et j'avoue que c'est un peu démoralisant pour moi qui nourris le rêve de pouvoir m'échapper d'ici, et de goûter un temps sois peu à la liberté. Mais la réalité me fait mal au cœur, cette réalité. Cette réalité qui te brûle les ailes à peine sorties du nid. Je rêve de cette liberté à laquelle on le doit les gens de dehors, cette liberté à laquelle nous aspirons mes cousines, mon cousin, mon frère, et moi. Oh douce et cruelle réalité ! Malheureusement, la réalité est toute autre, car aujourd'hui je viens d'avoir 3 ans, et demain je rentre à l'académie. Une académie qui t'enseigne à tuer ton ennemie sans aucune pitié, même si c'est ton frère ton ami ou autre. Une académie qui forme de vraie petite machine à tuer.

Mère : Alors ma chérie, tu es prête à rentrer à l'académie demain ?!

Père : De tout manière elle n'a pas le choix !

Avoir le choix, quelque chose que me semble trop beau pour exister dans ce triste monde. J'avais envie de hurler, de crier mon désaccord, mais à la place, j'ai serré les dents et est répondu par l'affirmatif.

Moi : Oui... père.

De la volonté, la force de me révolter ? Oh Dieu que je rêve d'en avoir ! Mais d'un simple regard, mon père me rappelle à l'ordre et me fait rentrer dans le rang.

Une fois le diner fini, je monte dans ma chambre et demande à Stéphanie, une autre de nos domestiques, de ne pas être déranger sauf par mon frère comme d'habitude.

Toc toc toc

Moi : Entrer.

Je vois mon frère entrer dans ma chambre avec un air grave sur le visage.

Moi : Qu'est-ce qu'il y a ?

Kaito : Pourquoi tu ne dis pas que tu ne veux pas aller à l'académie ?!

Moi : Comme si ça changerait quelque chose.

Kaito : Mais père t'écoutera probablement !

Moi : Ose me regarder dans les yeux et me dire que père prendrait en considération mon ressentis !

La pièce était plongée dans un silence, un silence de mort. Aucun de nous deux n'osait parler. Kaito a deux ans et demi de plus que moi, dans six mois, il aura six ans. Etant surnommé "prodige" je vais passer directement dans la classe de mon frère, donc en quatrième année, car mon frère est rentré à l'académie à deux ans et demi car il est né en Septembre et la rentrer c'est le premier Avril.

Moi : Et après tout ce n'est pas si grave, en plus on sera dans la même classe.

Kaito : Dire que l'on est censé y passer dix ans, toi tu en passeras que sept.

Moi : Je vais quand même essayer de raccourcir le plus possible le période de notre vie que l'on appelle "scolarité" !

Kaito : *rit* T'es pas croyable !

Moi : Oui, je suis incroyable !

Kaito : J'crois pas nan.

Moi : *choquède*

Le lendemain

Dame : Bonjour chère parents, bienvenu à la 70 -ème rentrer qu'effectue notre établissement.

On a l'impression que ce sont les parents qui font leurs rentrer et pas nous.

Dame : Je pris les enfants de bien vouloir se ranger en ligne devant leur professeur à l'appelle de leur nom...

Elle appelle les enfants un par un, et ils se range devant leur instituteur.

Dame : Kizoku Aiko, neuvième année.

Je vois ma cousine aller se ranger avec sa classe.

Dame : Kizoku Kaito, quatrième année.

Je regarde où mon frère va se ranger pour aller au même endroit.

Dame : Kizoku Kyoko, deuxième année.

Kyoko me fait coucou de la main avent d'aller se ranger.

Dame : Kizoku Yukio, sixième année.

Mon cousin passe devant moi et me chuchote un courage, avent d'aller se ranger avec les sixièmes années.

Dame : Kizoku Yume, quatrième année.

Je pars vers le rang dans le quelle est rangé mon frère. Il est juste devant moi et m'offre son plus beau sourire, un sourire que je lui rends bien sûr ! La dame finie l'appelle, et se retourne vers nous avec un grand sourire plaqué sur le visage, que je reconnaît être juste là pour rassurer les premières années.

Dame : Maintenant chère enfants, vous allez suivre votre professeur dans le calme et le silence, on se voit à la fin de la journée.

Puis elle fit un autre sourire qui me parcourus l'échine, et qui eus le don de me faire pâlir en un instant.

Tous les élèves affichent un visage grave sauf les premières années

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Tous les élèves affichent un visage grave sauf les premières années. J'ai un mauvais près sentiment !  Une fois arrivé en classe, je commence à comprendre pourquoi Kaito était déterminé à ne pas me faire rentrer à l'académie, et le bonne chance de Yukio. 

Le Grand Empire     ~Sasuke x oc~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant