Trapped With Him

.13.

OSANG

QUE FAIT-IL ICI?

Mais cela n'a plus d'importance. J'ai fini par éclaté en sanglots. Je suis en sécurité maintenant. Il m'a sauvée à nouveau.

Il s'est approché de moi mais évitait de regarder mon corps.

Il est resté silencieux alors qu'il me détachait, puis il enleva sa veste et me l'a mise.

Il m'a ensuite portée sur son dos sans dire un mot, et m'a emmenée hors de la chambre d'Henry.

Alors que nous sortions par la porte, nous avons entendu la sirène de la police. De nombreux véhicules se sont arrêtés devant la maison des Husik.

— Merde.

Il m'a aussitôt relâchée et descendue.

— P-pourquoi? Je lui ai demandé, perplexe.

Il s'est essuyé les mains sur son visage.

— Ils sont là pour toi.

— Hein?

— Tu es en sécurité maintenant.

— Hein? Mais c'est toi qui m'as sauvée, où vas-tu ?!

— Je passais simplement.
À ma grande surprise, il s'est soudainement retourné, a grimpé sur le mur et a sauté.

— X!

Mais il était déjà parti !

Les policiers sont entrés par la porte. Ils étaient suivis par des hommes en costume noir, portant des armes. Un des hommes, portant une veste ornée d'un phénix enflammé, s'est arrêté devant moi.

— Es-tu Osang?

Avant que je puisse répondre, il m'a pris dans ses bras et m'a mise dans la première voiture garée.

*

DAMON

— MONMON, es-tu riche ?

Je n'ai pas répondu à la question de Maricel. J'étais furieux.

Mes yeux étaient remplis de larmes. Je me sentais tellement pathétique. C'était mon devoir de protéger Osang, mais je n'ai pas pu le faire. Et si quelque chose de mal lui arrivait, c'était de ma faute.

— Hé, ne te blâme pas. Me dit papa en me faisant une petite tape  dans le dos.

— Et ne te fais pas trop de soucis. Le siège de Phoenixes m'a appelé, ils ont trouvé Osang. Ton amie est en sécurité maintenant.

— Elle n'est pas juste une amie.

— Nous savons ça, fils. Me répond maman.

— Vous êtes presque comme des frères et sœurs à force de rester ensemble.

— J'espère vraiment qu'elle va bien... A ajouté Maricel.

— Ne t'en fais pas, Maricel. Dit maman en se tournant vers Maricel.

— Ton amie est en sécurité. Mon mari m'a dit que nos hommes l'ont récupérée dans la maison des Husik.

— Merci... A répondu Maricel à Maman.

— Osang sera heureuse d'apprendre que Monmon a encore de la famille.

— Je lui dois beaucoup. Pour avoir pris soin de mon fils et l'avoir aimé comme son propre frère.

— Vous avez raison, votre fils est très aimé par mon amie. Elle lui a répondu en me faisant un clin d'œil.

Têtu ? N'importe quoi.