narry | mpreg

cause, never forget us... ✩

Harry rencontra Niall par hasard à l'aéroport de Paris. Niall avait que 22 ans à l'époque, et revenait d'un voyage d'affaire, tandis que lui, n'était qu'un petit étudiant de 19 ans, vivant en France pour étudier la langue. Ce jour là, Harry s'en souvenait comme si c'était hier, il se souvenait quel parfum Niall portait, ainsi que les vêtements qu'il portait sur lui, le visage d'ange et les yeux bleu sur lui, qui lui avait tant bouleversé l'esprit.

Harry tourna le visage sur le côté et remarque la présence de l'homme en chemise blanche, cravate en désordre autour du cou, les cheveux en pagaille, ramassant sa valise qui avait finit par craquer et s'éparpiller au sol au grand malheur du propriétaire.

« Putain de merde! Calme toi Niall... Calme toi! Ce n'est pas le moment de t'énerver! » souffla dans un murmure l'homme à la cravate.

Harry était assit sur les chaises en attendant son ami Liam, les écouteurs dans ses oreilles, il écoutait un de ces groupes favoris, Kodaline. Plus vraiment concentré par la musique de son iPod, Harry regardait le visage de cet homme au milieu de nombreux voyageur en vas et viens. Il rigolait derrière ses moustaches en observant ce dernier accroupit à la recherche de ses affaires. Niall avait mit cinq bonne minutes pour refermer sa valise. Sous les yeux de l'adolescent moqueur. Dans une émotion de colère et de précipitation, Niall se dépêcha de rejoindre son allé, il allait finir par être très en retard. Il émit un grognement, tandis que son portefeuille tomba de sa poche. Harry plissa ses yeux, et se releva rapidement pour l'interpeller, mais le jeune homme avait déjà filé à l'intérieur de la foule.

L'adolescent se permit d'ouvrir le portefeuille de l'inconnu aux yeux bleu et trouva quelque renseignements.

Il s'appelait Niall Horan.
Manager.
22 ans.
Irlandais.
Sans portefeuille.

Harry commença la course pour retrouver le jeune Manager, très malchanceux.

Lorsque la malchance devient la chance.

Au bout d'une heure, Harry aperçu Niall au milieu de nul part, il m'interpela puis par son prénom.
Harry s'arrêta, la main sur son organe vitale, essoufflé.

« Vous avez laissez ça par-terre! »
Harry lâcha entre deux souffle.

Niall reconnu son porte-monnaie et lâcha un soupire de soulagement tout en enlaçant Harry dans ces bras pour le remercier. L'étudiant, surprit de ce geste spontané, passa ses bras autour de l'homme et renifla discrètement son parfum. À partir de ce moment, cela avait été le coup de foudre assuré pour le jeune étudiant, mais cet amour avait bien naturellement été réciproque sinon, six ans plus tard, Niall ne finissait pas par faire sa demande en mariage, un week-end d'hiver, entre deux chocolat chaud, un sapin de Noël, et des cadeaux autour d'eux.

« Tu voudrais... Enfin, tu aimerais bien porter mon nom ? »

Harry sécha une de ces larmes qui roula sur ces joues, tout en admirant sa bague de fiançailles avec lequel il jouait depuis son arrivé. Le temps se faisait long, assit sur les chaises de l'hôpital à attendre des nouvelles de son mari. Il ferma les yeux quelques instant, le temps de s'évader, prendre le large et penser à des moments plus joyeux. Seulement la réalité refit face, lorsque Harry repensa à ces deux mois en arrière, le jour où sa vie, ses nuits, ses jours entiers se sont écroulées.

Harry attendait devant la salle d'échographie de l'hôpital, attendant patiemment Niall qui n'en finissait pas d'arriver. Le bouclé prit sur lui, et soupira pour la énième fois de l'heure. C'était sa première échographie, leur premier rendez-vous avec leur bébé, comment Niall pouvait oser ? Comment pouvait-il être absent ? Harry avait noté sur le petit pense-bête , accroché au frigo "échographie bébé aujourd'hui". Et ce n'était pas normal, ni dans les habitudes de Niall. Il en parlait presque tout les jours du bébé, depuis que son fiancé le lui avait annoncé. Harry sentit quelque chose de mauvais, comme un mauvais pressentiment envahir son espace personnel. Son cœur se serrât, il posa une main sur son ventre et reprit une énorme bouffée d'oxygène. Niall n'allait pas tarder. Depuis 16h, la porte s'ouvrait sans la présence familière du blondinet à ses côtés. Soudain, le téléphone sonna, Harry décrocha et répondit derechef.