Speak to me (lestappen)

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TW : phobie sociale
-je vous préviens, c'est pas une chapitre remplie de roses mais il y a une good ending !

Lorsqu'un bébé ne connaît pas quelqu'un, généralement il pleure. Il a peur de qui peut bien être cette personne, de ce qu'elle lui veux et surtout de si sa maman le connaît.

Lorsque le visage de quelqu'un ne revient pas au bébé, rebelote, il pleure. Il a également peur.

Pour conclusion, quand un bébé ne connaît pas, II panique et pleure dans un cas plus oser.

Pour Max, c'est pareille. Il n'aime pas la présence des gens, il déteste ça même. Être dans la rue est un calvaire pour lui, même quand il doit faire un petit coucou à ses fan, son cœur s'emballe, ses mains trembles des fois et ses entrailles ce tordent entre elles. Il n'aime pas les gens qu'il ne connaît pas, il les détestes, impossible pour lui de rester avec plus de quelque minutes.

Il préfère rester seul, dans son coin ou avec ses collègues ou amis pour certains. Mais il n'y en a qu'un seul qui a réussit à sortir du lot. Un seul qui a réussit a comprendre que non, ce n'est pas qu'il n'aime pas les gens qui l'entoure. C'est la présence de certaines qui le dérange. C'est le seul qui a réussit à faire tombé le masque du petit néerlandophone aigris et tendu en permanence pour faire révélé celui du petit garçon qu'il est fond et de l'amour dont il peut faire preuve.

Il a réussit à le faire changer en un regard.

Lui qui le détestait autrefois, il a suffit qu'il le regarde comme il l'a regarder ce jour là que son cœur s'emballe pour lui. Que dans son regard, un voile de désir et d'amour soit tendu. Il n'y a plus que sa dans ses yeux, de l'amour et du désir pour la personne qu'il aime.

Alors même si au départ la peur était de la partie, elle a rapidement disparu. Elle s'en est allée le jour où celui qu'il aime lui a avoué l'aimer en retour, ce jour là Max avait été tellement heureux qu'il a réussit à parler à tout le monde.

Il n'a pas eu les mains qui trembles, le cœur qui ce faisait noyer de peur ou quoi que ce soit d'autre et c'est toujours comme ça lorsque Charles est prêt de lui. Il ce sent capable de tout, tout faire, tout dire, tout.

Il n'a plus peur en sa présence, mais lorsqu'il s'en va. C'est une autre histoire, une histoire que Max ne veux pas lire. Il ne veux plus l'entendre.

Car généralement, lorsqu'il s'en va, c'est pour la piste. Car oui, les deux hommes habitent ensembles, donc jamais ils n'ont été réellement séparés. Sauf durant les races week-ends.

Et ça, Max ne le supporte plus. Lorsque Charles prend la piste, il a peur que quoi que ce soit arrive. Alors il est déconcentré, il fait des temps pitoyables et il est encore plus terrifié à cause de son paternel.
Mais trop de stresse est mauvais, il engendre beaucoup de chose négative. Max lui, ce n'est pas psychologiquement ou physiquement que quelque chose ne va pas, car c'est song corps qui réagit mal à tout ce stresse.

Il est de plus en plus souvent malade et il perd de plus en plus de poids, pourtant il mange bien. Mais si avant cela ne se voyait pas, maintenant oui. Il est souvent palot et ses membres trembles à cause du poids de son propre corps. Mais il ne lâche pas, sinon il serait encore plus dans la merde.

Sauf qu'il ne parle pas non plus.

Il n'a jamais parlé de ses problèmes à qui que ce soit d'autre que Charles, mais ont ne lui a jamais vraiment expliquer comment faire. Il n'a jamais pu ce confier avant, même à ses propres parents. Il n'a jamais fait recours à une psychologue sinon ses parents ce serait doutés de quelque chose, donc il subit.

Il subit son couple, son père, ses craintes, ses exploits et ses peines. Mais Charles n'est pas dupe, il voit très bien que son petit-ami ne va pas très bien, voir même pas bien du tout. Il a déjà essayé de lui en parler mais l'essaie n'a pas été concluant, Max a simplement nier les faits.

Mais cette fois si, Charles n'en peux plus. Max est encore plus mal qu'avant.

Pour cette course au Losail, Max n'a pas mangé. Le stresse lui tordait les entrailles, il en avait tellement mal au ventre qu'il était allongé au sol après avoir avalé quelque boucher de sa salade. La douleur était insoutenable, Max c'est même demandé si ce n'était pas ce que les femmes ressentaient chaque mois. Puis, avec la chaleur, il c'est retrouvé à avoir la tête qui tourne et ses mains qui trembles mais la FIA l'a déclaré apte à courir.

Charles n'avait plus que ça en tête, Max.

Mais ses pensées ce sont apaisées..

Juste après la course, le Verstappen est arrivé en courant sautant dans les bras du Monégasque. Ils n'avaient encore jamais fait ça, ils restaient discret même avec leur amis, bien qu'ils soient tous au courant. Max avait déjà dit qu'il n'était pas prêt a révéler leur relation, alors pourquoi ce montrait-t'il aussi proche ?

C'est alors qu'il chuchota quelque chose à l'oreille du brun, ces quelques mots qui ont fait réchauffer le cœur de celui-ci.

-Je t'expliquerais tout à la maison. Furent les mots du néerlandais, minime n'est-ce pas ? Oui, mais pour Charles c'est un grand pas dans leur relation et un encore plus grand pour Max. Il a enfin réussit à s'ouvrir à lui.

-Je suis tellement fier de toi. Répondit aussi rapidement que la voiture redbull du plus vieux.

En un sourire échangé, ils ont compris. C'était l'heure d'assumer. Charles s'est rapidement approché des lèvres de Max, il n'attendait que sa depuis le début de la journée, pour ensuite enfin déposer des lèvres sur les siennes.

Leurs lèvres ce mouvaient ensemble dans un plaisir partagé. Dès qu'elles se décollaient s'étaient pour mieux ce retrouver.

Bien sur, les photographes n'en manquaient pas une miette et les fans du lestappen encore moins, ils hurlaient.

Fin

Je crois que c'est mon pire chapitre, je l'aime pas du tout mais à la fois je le l'aime en peu. Je suis vraiment dubitative sur ce coup là, j'ai besoins d'aide..

~Formule 1 recueille one shot~ Where stories live. Discover now