𝒶 𝒷𝒾𝓉 ℴ𝒻 𝒸𝓁𝓊𝓂𝓈𝒾𝓃ℯ𝓈𝓈,

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     c'était une belle et chaude journée d'été.

     comme souvent, tu portais une robe blanche à fleurs dont le bort virevoltait doucement autour de tes cuisses nues, tes longs cheveux blonds coulaient sur tes épaules seulement recouvertes de fine bretelle — en outre, tu avais porté un soin tout particulier à ta tenue aujourd'hui et la raison de cette soudaine coquetterie était des plus simples.

     depuis aussi loin que tu t'en souviennes, tu avais toujours aimé te promener autour du quai, seulement, depuis peu, tes journées se résumer à faire tourner ton petit business et à aller sur ce fichu quai.

     tu t'obstinais à croire que tu étais seulement intéressé par l'avancer des rénovations, rien de plus, alors, comme souvent, tu t'avanças vers le bort du quai pour enjamber la coque du bateau. malheureusement, celui-ci tanguait et tu te maudis d'avoir mis des talons un peu trop grands.

     résigner, tu te dis que tu laisserais le panier sur le quai; ils le trouveront forcement et seront ravis d'avoir quelque chose à avoir sous la dent même si tu n'es pas là, car oui c'est cela le nouveau prétexte de tes venue, tu « ramenais le goûter ».

     c'est alors que quelqu'un — qui n'était nul autre que la véritable raison de tes allées et venu — te remarqua. en même temps, il fallait dire que tu détonnais dans cet environnement rempli d'homme grand et large en carrure alors que toi, tu étais petite et plutôt frêle.

     il déposa ses outils et mit sa main de chair dans ton champ de vision, t'offrant une aide silencieuse.

     il semblait à l'homme, que ce soit la première fois que son cœur se mit à battre quand tes yeux de biche croisèrent les siens. ton regard était doux et profond; cela le rendait faible bien qu'il ne l'admettrait pas.

     tu glissas doucement ta main dans la sienne, elles étaient douces bien que calleuse à cause du labeur.

     en bon gentleman, il t'aida à traverser, avec précaution comme si, à tout moment, il pouvait t'arriver malheur.

     malencontreusement, c'est ce qui se produisit; ta cheville flancha à cause de ses maudits talons — pourtant il ne sont que de 2 petits et minuscules centimètres de plus que ceux que tu portais habituellement, mais ils te firent violemment flancher et il fallait avouer que ta maladresse légendaire n'aidait en rien.

     ses bras t'enserrèrent, te plaquant contre son torse puissant. il fallait dire que cette situation commençait à te plaire ... contrairement à ton frère qui, au loin, fulminait en voyant votre rapprochement.

     ⏤ tout vas bien, poupée ? d'une main, il saisit ton petit sac, de l'autre, il te tint fermement par la taille, te maintenant contre lui. tu peux marcher ?

     il regarda la sangle de tes chaussures maintenant fermement ta cheville. devant ses yeux d'un bleu pur, tu bredouillas nerveusement :

     ⏤ tout vais bien, je suis juste un peu maladroite ...

     ⏤ Bien ... 

     il regarda discrètement derrière son épaule avant de se rapprocher de toi pour que les mots qu'il prononça tombe directement dans ton oreille. cela allait devenir une habitude à force ... 

     ⏤ ça te dit une balade ? ton frère commence à nous fixer depuis un moment maintenant et ça commence à me mettre mal à l'aise.







     ⏤ je rêve !

     la voix de sam parti dans les aiguë alors qu'il faisait de grands gestes consternés devant les yeux exaspérer de sarah. alors qu'elle était seulement venue pour piqué quelque douceur faite par sa frangine, voilà qu'elle se retrouver à écouter son frère pété un câble et en prime, pas de gâteau.

     ⏤ qu'est ce qu'il n'y a pas de clair dans « ne touche pas à ma sœur » ? marmonna-t-il dans sa barbe.

     ⏤ je crois que tu es le seul à ne pas le voir...

     ⏤ voir quoi ?

     sarah lui lança un regard plein de sous-entendu alors qu'elle partit, lasser de voir son grand frère être aussi aveugle, derrière elle, cass et aj jouait calmement avec d'autres enfants.

     sam se rapprocha du petit groupe, se demandant si eux « voyaient » ce que lui ne voyait pas. naïvement, ils répondirent, tout naturellement que, toi et le grand monsieur avec le bras super cool, étaient amoureux.

     il se retourna vers vous, comme pris d'une illumination; tu étais à moitié dans les bras de bucky — un petit sourire barra ton visage, un comme il n'en avait encore jamais vu sur tes lèvres.

     tu étais heureuse, et cela lui allait parfaitement, même si le fait d'avoir bucky comme possible beau frère ne lui plaisait pas à 100%.






𓆝 𓆟 𓆝 𓆟 𓆞 𓆝 𓆟

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𝐘𝐎𝐔 𝐓𝐀𝐒𝐓𝐄 𝐋𝐈𝐊𝐄 𝐓𝐇𝐄 𝐒𝐔𝐍 ⸻ b.barnesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant