Fatima vs Zara (1-0)

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Ndiouga sourit se disant que cette femme n’a aucune vergogne. 

Zara: Loy ree ? A quoi penses-tu ?

Ndiouga : Aida ne te mérite pas. Et toi tu ne mérites rien de bon. 

Zara : mais plus rien ne peut être fait. Diour nako ba nopi. Wala danga si meun dara ?  ( je suis déjà sa mère ou tu te crois capable de changer cela? )

Ndiouga : malheureusement non . Mais je ferai en sorte que jamais elle ne te ressemble. 

Zara: commence par passer plus de temps avec elle. 

Ndiouga : tout le temps je dois te supplier de me laisser ma fille. Tu n’acceptes qu’ après m’avoir fait du chantage. Sinon c’est ta sorcière de mère qui s’en mêle à simuler des crises cardiaques dès que je pose le sujet sur la table. Mais kharal bama parei rek souma diougué si linga nei doto dalati Dara sa Life. ( je te réglerai ton compte une fois le moment venu). Ton petit jeu est bientôt fini. 

Zara commençait à sortir ses propos de son contexte pour en faire quelque chose de sexuel. 

Zara: je peux te croire. a chaque fois que t’en finissais avec moi j’en perdais la tête. Tu sais si bien m’emmener hors de ce monde. Elle se mordait la lèvre inférieure et ouvrait le zip de sa mini robe. 

Ndiouga : so beuguei ma trokhal la rek continuel sa yeufi domrm yi. ( si tu veux recevoir l’humiliation de ta vie continues ce que tu fais ). 

Elle s’arrête net. Elle le connait et sait quand il faut arrêter de jouer avec le feu. Elle s’asseoit sur l’un des canapés très à l’aise. 

Zara: façon khamnga ma. Je ne t’aime pas. Ndiouga je ne t’ai jamais aimé. J’avais besoin que de sexe et d’argent. Et au lit sakh je peux dire que parfois je m’efforçais tellement tu me dégoûtais. Bb Aida c’était un accident. Et maintenant que j’y pense c’est une bonne chose. C’est mon gagne-pain. Si elle n’était pas là t’imagine ndiouga je n’aurai pu recevoir un seul sou de toi. Way bb Aida mi beugeunako dih (je l'adore cette petite). Laayy ndekei nek yaayou doomou Ndiouga rek ndamm la ( être la maman de la fille de Ndiouga est une grande victoire ). 

Elle riait aux éclats alors que Ndiouga la dévisageait. 

Zara: ton regard menaçant ne me fait pas peur ndakh fi la yam (c'esttout ce que tu sais faire). tu ne peux pas me frapper. Tu n’en as pas le courage et tu as toujours des sentiments pour moi. Fimala teyei la mane mala meun bayi meuno ma bayi. 

Ndiouga en riait. Puis répond. 

Ndiouga : aux dernières nouvelles on est divorcés. 

Elle se lève pour lui faire face. 

Zara: mais regarde toi. Tu es là seul avec moi dans cette belle pièce avec de grands canapés à m’écouter. Tout peut arriver. 

Il se rapproche au plus près d’elle. Leurs visages arriveraient à se toucher. Zara en salivait. 

Ndiouga : justement et tu sais ce qui va arriver là dans les secondes qui viennent. 

Zara:  ma petite idée mais j’ai envie de te l’entendre dire. Dit-elle sur une voix sexy. 

Ndiouga : tu vas dégager tranquillement avant que je ne foute dehors de la pire des manières. Lui dit-elle tout bas. 

Au même moment entre Fatima elle tombe sur la scène et croit comprendre que les deux étaient dans leur intimité. Surprise, elle s’excuse et s’apprête à repartir quand Zara l’interpelle. Ndiouga était gêné de la situation.

Fatima : La Femme Du BossWhere stories live. Discover now