Je n'avais encore jamais été aussi proche d'elle, je me perds dans son regard et constate à quel point elle à de  beaux yeux, et son teint est juste magnifique. Elle est tout le contraire de moi,  je n'aurais jamais cru dire ça un jour, mais c'est justement ça, qui m'attire chez elle.

Amina: tu...tu m'écrase Alaric

Je me relève aussitôt m'étant perdu dans sa contemplation .

Moi: je..je suis désolé, est-ce que ça va, tu ne t'ai pas fait mal

Je la relève du sol et la regarde inquiet qu'elle se soit cogner la tête, mais elle secoue négativement la tête.

Moi: dans ce cas suis moi

Elle acquiesce et je m'avance vers la maison, je sais que c'est difficile pour une fille  qui pense que l'ont ne se marie pas seulement avec un homme, mais on épouse aussi sa famille, de vivre dans une maison où elle n'est pas apprécier par sa belle mère. Mais il le faut, ma mère ne va jamais accepter Amina, et moi je refuse de la laisser tomber.

Papa: chérie mais tout ce que je te demande c'est d'apprendre à la connaître, et on verra après, elle m'a l'air d'une fille bien.

Maman : j'ai déjà pris ma  décision, cette fille ne restera pas dans ma maison, un point c'est tout

Moi: dans ce cas moi non plus je ne resterais pas dans cette maison maman

Ils se retournent et me regardent alors que je suis arrêté à la porte, et ayant tout entendu de leur  discutions. Je m'approche d'eux et m'arrête en face d'elle.

Maman: ne soit pas ridicule mon chéri, tu veux vraiment nous quitter pour cette villageoise, non mais ça va pas la tête. Jusqu'à présent j'ai toléré tous tes caprices, mais là, s'en est trop, tu dépasses les bornes, reprends  tout de suite tes esprits ou sinon....

Moi : sinon quoi maman, qu'est-ce que tu vas faire, demander à papa de me déshériter, mais vas-y, de toute façons je suis pas  Gibril, qui fait tout ce que tu le demande comme un petit chien bien docile

Gibril: attention au mots qui sort de ta bouche petit frère, je ne me suis pas mêler de ton mariage, je suis rester silencieux tout le long, alors je ne veux pas que tu me manques de respect, en plus, je suis ton aînée je te rappel. Plus jamais tu me traite ainsi.

Crie mon frère en étant arrêter à coter de ma soeur Alma, qui est la plus calme de nous tous. Je voulais m'approcher de lui avant d'entendre....

Papa: arrêtez donc de vous discutez, je..je

Il termine pas sa phrase qu'il plis son front de douleur

Moi: papa, papa qu'est-ce qu'il y'a, papa

Je cours vers lui alors qu'il tient son coeur et laisse sa canne tomber, je le rattrape avant qu'il ne tombe par terre, et il s'évanouit dans mes Bras. Tout le reste de ma famille accourt vers nous inquiet.

Alma:  papa, papa ouvre les yeux, s'il te plaît ne nous quitte pas

Ma soeur Alma commence à pleurer à chaude larme inquiète pour l'état de notre père qui est devenu très fragile. je suis également inquiet, mais je me contrôle et le soulève. Je cours et l'amène vers la sortie, je regarde à peine Amina qui regardait la scène en étant à la porte, avant de continuer mon chemin jusqu'à ma voiture, enfin de le transporter à l'hôpital.

Point de vu d'Aminata

Je voulais suivre Alaric qui est sorti avec son père, et qui a l'air d'aller très  mal, mais quelqu'un m'attrape le bras. La personne me la serre avant de me pousser en arrière, je regarde avec surprise la mère d'Alaric qui me broye presque le poignets.

La vie d'Aminata Where stories live. Discover now