𝐄𝐀𝐍 [Tonowari x Oc]

Chapitre 10

E A N
Elea x Tonowari — Amour désiré

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— L'idée de quitter la tribu t'effraie ? Tu ne le souhaites pas. Je suis prêt à partir avec toi.

L'idée de partir avec Tonowari m'a étreinte d'un espoir intense, éveillant une lueur d'émotion dans mes yeux. Mes mots étaient presque retenus par les larmes, et devant lui, je ressentais un amour profond, effaçant tout doute et crainte. Dans ce moment, cette offre représentait une promesse de surmonter tous les obstacles, de partager nos vies. Les larmes de joie coulaient, témoins de nos rêves les plus fous.

— Partons ensemble, demain , a murmuré Tonowari, un sourire vibrant d'amour aux lèvres, avant de m'embrasser.

Je priais pour que tout cela ne soit pas un rêve. Tonowari se tenait devant moi, un large sourire illuminant son visage, me transmettant son amour avant de m'embrasser.

C'était comme une promesse pour un avenir radieux. Je ne pouvais que hocher la tête, laissant la certitude de cet amour s'ancrer dans mon cœur.

— Tonowari, je ne veux pas que tu le regrettes. Je t'aime tellement que je suis prête à tout pour vivre ce bonheur, lui avouai-je.

— Je t'aime, Elea. Si nous devons nous séparer, je le ferai sans hésiter.

— Pourquoi refuser, bon sang ?

— Quoi ?

— Je pensais à autre chose. Je vais préparer mes affaires. Partons.

Tonowari hocha simplement la tête avant de déposer un baiser sur ma main. Ses yeux d'un bleu magnifique aux reflets dorés croisèrent à nouveau les miens, ravivant mon amour pour lui. Ces yeux, dénués de contraintes et de peine, semblaient témoigner d'un amour pur et indéfectible. Ce regard m'avait tant manqué.

— Tonowari..., l'appelai-je avant de l'embrasser. Je ne veux plus te quitter.

Entre deux baisers, Tonowari répondit :

— Nous ne nous sommes jamais séparés, murmura-t-il.

Sentant un pincement au cœur, je fermai les yeux avant de lui répondre :

— Tu as raison. Nous ne nous sommes jamais séparés.

J'avais peur qu'il ne s'évanouisse comme tant de rêves. Tout semblait si réel, je ne voulais pas croire que c'était un songe.