Un Millénaire Pour Te Trouver

Chapitre 5

Cette fin de soirée est forte sympathique. Nous finissons à un espèce d'enterrement pour Alaric. Il a été transformé mais ne voulant pas finir la mutation il va donc mourir. Matt a ces bras encerclé autour de mes hanches et son menton poser sur le haut de mon crânes. Alaric sort nous faire un dernier sourire avant de rentrer dans la cage. Je me retourne et pleure sur le torse de Matt. Une fois sortie de la forêt je prend Éléna dans mes bras.

Elena : C'est de me faute tout sa. Si tout notre famille est morte.

Tp : Non c'est faux. C'est de la faute...

Je regarde les Salvatore et choisis de changer de phrase.

Tp : Ce n'est en aucun cas ta faute. On va s'en sortir tant qu'on reste nous trois.

Je regarde Jérémy et ouvre mes bras. Il vient se rajouter au câlin.

Matt : Il est temps d'y aller Tp.

Je lui souris faiblement et embrasse la joue de Jérémy. Je marche vers Matt qui me ramène en voiture. Une fois sous le porche de ma maison il me regarde tristement.

Matt : Ça va ?

Il me carresse le bras en me souriant. Je secoue doucement la tête.

Tp : Non.. non ça va pas.. pas du tout.

Je me met à pleurer. Matt entre dans la maison et me sert fort dans ces bras. Il met sa main sur ma tête et l'autre sur mon dos. Je me sens en sécurité, avec lui je me sens apaiser.

Tp : Tu peux rester ce soir ?..

Matt : Évidemment, pas besoin de me le demander Tp.

Matt s'allonge avec moi dans mon lit. Au bout de trois heures j'ai enfin réussi à m'endormir pour au final me réveiller encore. Je descend les escaliers et ouvre un tiroir et en sort une boîte de médicaments. Je la renverse presqu'entièrement dans ma main. Je tremblais, rapprochait ma main de ma bouche mais tout se renverse par terre.

Klaus : T'es complètement malade hein !

Je souffle et me tourne. Je met mes mains sur ma tête. Je relève la tête et regarde Klaus qui étais passer devant moi.

Tp : C'est pas toi qui va nettoyer.

Klaus : Si c'est le seul problème.

En moins d'une seconde il avait tout ramasser et tout remis dans la boîte.

Tp : Qu'est-ce que tu fais là ?

Klaus : J'ai appris mon ton.. oncle ? Prof ? Ami ?

Tp : C'était comme mon oncle..

Klaus : Je suis venue pour voir comment tu allais et apparement c'est pas fort.

Je lève les yeux au ciel. Je recule et baisse la tête. Pour cacher les larmes qui coulent sur mes joues. Sérieusement ? Je pleure encore devant lui ? Il s'approche de moi doucement et m'essuie les joues. Je le regarde, c'est drôle, la tout de suite j'ai l'impression qu'il est gentil. Il garde sa main sur ma joue et pose l'autre sur ma hanche. Il se rapproche de moi et m'embrasse.

Tp : Qu'est-ce-

Klaus : Chuttt.. tais toi mon cœur.

Il me porte délicatement et me pose doucement sur le canapé. Il enleva son tee-shirt ainsi que le mien. Puis...

**

Je me réveille sur le canapé et me lève. Matt étais en face de moi une tête choqué. Oh non ! Ouf.. je suis habillé.

Matt : On dirait une folle avec tes cheveux en pétard.

Tp : Très drôle j'ai eu peur !

Matt : Peur de quoi ?

Tp : Heu.. et bien..

Je me retourne et regarde le canapé. Personne..

Tp : J'ai eu peur d'avoir des cernes !

Il rigole.

Matt : Je t'ai fais des pancakes.

Tp : C'est gentil mais j'ai pas fin.

Un blanc s'installe pendant de longueeee secondes qui semble des minutes.

Tp : Oh hé désolé j'arrivais pas à dormir.. pour pas te réveiller je suis descendu.

Matt : Pas de problème.

**

Kol : Oh Tp, je suis-

Elijah : Navrée pour Alaric.

Kol : Oui voilà.

Tp : Merci.

Rebekah : T'es encore ici ? T'en a du cran.

Tp : Je viens pour-

Elijah : Nous savons pour qui tu viens.

Rebekah : Dans sa chambre comme d'habitude.

Je monte les escaliers et toque doucement à la porte.

Klaus : Que veux tu ?

Tp : Heu.. et bas.. je voulais parler de cette nuit.

Klaus : Et bien. Il n'y a rien à dire.

Tp : Heu.. quoi ?

Klaus : Écoute. T'étais triste, j'avais personne hier. C'était le compromis parfait.

Tp : Alors sa ne voulait rien dire ?

Klaus : Non ma douce, ça ne voulait dire dire.

J'ouvre la bouche mais aucun bruit n'en sort. Je recule jusqu'à heurté le mur.

Klaus : Parce que toi tu ressent quelque chose ?

Tp : Tu n'es qu'un monstre..

Klaus : Oui, je suppose qu'un hybride est un monstre.

Tp : Va brûler en enfer !

J'allais partir mais il mis sa main sur la porte. Je me retourne et me retrouve face à lui. Ses lèvres sont à quelques centimètres des miennes. Il me chuchote :

Klaus : Jamais je n'aimerais une humaine comme toi.

Il sourie et recule, se laissant tomber sur le lit. Sa fait un mois et je déteste toujours autant cette famille, pas un plus gentil que les autres. Comment j'ai ous croire que Klaus Mikaelson pouvait avoir des sentiments. Et puis pourquoi j'ai ce genre de pensser ? Surtout par rapport à lui ! Ahhrg !