mot de la fin.

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ça m'émeut un peu d'avoir mis fin à cette trilogie - qui, si on l'assemble, pourrait sembler bancale. c'est un peu de travail,  beaucoup d'apprentissage. 

quand j'ai écrit ça, je n'y connaissais rien à l'amour. aujourd'hui,  je n'y connais pas grand chose.

mais ça m'émeut de voir mes personnages grandir avec moi.  de les transformer de petits minets lycéens un peu paumés à jeunes adultes toujours paumés.  de continuer à faire vivre ces petites parts de moi. que ces petites facettes se reflètent sur vous, dans les gros projets, sur les petits comme celui-ci.  

l'histoire de constance a été écrite il y a cinq ans ; j'ai mis cinq ans à trouver le courage, l'inspiration, la confiance de vous le montrer - la peur de ne pas avoir les mots justes,  puis le fait de se dire que ce n'était pas si grave. (et puis j'ai un peu oublié son existence, à cette nouvelle)

alors voilà, c'était une petite note un peu bancale pour vous rappeler que le temps fait ses preuves.  que le temps fait oublier, ou fait vivre avec. qu'on finit par trouver le courage et l'envie, qu'il ne faut pas abandonner. des fois il faut y donner un peu, beaucoup, du sien.


p.s : ma touche espace déconne un peu, si j'ai deux espaces ou des points aléatoires dans le texte, c'est pour ça ptdr.

bisous.

En toute circonstance.Where stories live. Discover now