𝑁𝑒𝑗𝑚𝑎 : 𝐶𝑢𝑝𝑖𝑑𝑜𝑛 𝑛'𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑠 ?

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𝑴𝒐𝒊: qui ?
FᎪᏒᎪᎻ : je ne sais pas, je ne connais pas son nom
𝑴𝒐𝒊: en tout cas
ძȷᥱᥒᥲᑲᥱ: c'est sûr,, c'est Ezima cette traite
𝑴𝒐𝒊: tu penses ?
ძȷᥱᥒᥲᑲᥱ: ba oui
𝑴𝒐𝒊: je ne pense pas, même si elle est toxique, elle aime trop Amra pour aller la salir dans son dos
ძȷᥱᥒᥲᑲᥱ: on ne connaît pas les gens hein

Je vous passe deux semaines...

Aujourd'hui, je ne fais rien. Pour ne pas changer.

Khady m'envoie faire les courses pour elle.

Du coup je me lève de mon lit, je m'habille. J'enfile une paire de chaussures et je vais au magasin.

...

J'arrive à la caisse après avoir pris un bon petit temps à avoir tourné dans les magasins.
Je pose mes affaires sur les tapis de caisse et j'attends mon passage en caisse.
Déjà je vois le papy devant moi, il a fait ses courses du mois. Je sens que ca va être long.

Je tourne la tête, sentant le regard curieux de quelqu'un sur moi.

Je regarde sur ma gauche la personne qui me fixe... devinez, je vois qui ?

La mère de Tarek.

Elle me dévisage et haut en bas, le regard bien mauvais, puis quand elle remarque que je la fixe elle me lance un sourire.

Mdr. Pourquoi je la croise-t-elle ? Ici ?

Elle est accompagnée d'une femme qui lui ressemble, qui doit être sa sœur, je suppose.
La mère de Tarek me fait un sourire. Que je ne lui rends pas, bien évidemment :

La mère de Tarek : bonjour, vous allez bien ?
𝑴𝒐𝒊: bonjour

Sa sœur me lance un regard mauvais et ne me dit pas bonjour :

𝑴𝒐𝒊: je vais bien, al hamdou lli-llah , et vous ?
Elle : cava merci

Un sourire forcé se dessine sur son visage... je reste là à la fixer. Elle me dégoûte. Je n'ai même pas envie de lui parler. Rien que le regard qu'elle m'a lancé au début m'a énervé.

Donc on se fixe sans rien se dire :

Elle: ça fait longtemps que tu n'es pas passé à la maison
𝑴𝒐𝒊: oui , après je ne suis pas venue plus que ça
Elle: bien sûr, et c'est bien pour ça que tu devrais venir plus souvent

Ouais ba ouais. Dans quel monde ?
La femme à côté d'elle lui tape l'épaule et lui dis quelque mot en arabe.

Je souffle. Flemme.

Je fixe le client en face de moi, ses deux chariot remplis à rat bord , flemme lui aussi.
Comme par hasard j'ai un client sous course du mois devant moi. Cava être long papi:

Elle: sinon, tu a des nouvelles de Tarek ?

Pourquoi elle force la discussion comme ça ?. Je re tourne ma tête vers elle:

𝑴𝒐𝒊: oui, il m'appelle souvent

Les deux me fixe avec un regard .... Je ne sais pas trop comment l'expliquer mais c'était pas pour mon bien. Après si tu veux pas de réponse tu pose pas de question :

Elle: ah oui ? C'est bien, nous, il ne nous appel pas beaucoup

T'as l'air bien chiante. Tu m'étonnes qu'il ne t'appelle pas :