Cauchemar en réalité.

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Les isolus m'ont appris une seule chose depuis que je l'es connais. Tous ce qui est réel peut ne pas l'être.

Je regarde la clef usb . C'est ça. C'est sûr.

Retrouver le colonne Morris ce n'est pas pour moi. C'est pour ceux qui m'on plongée dans ce précipice étrange. Tous m'a tellement paru vrai dès mon arrivée. Je revoyais mon appartement dans le même état que je l'avais quitté. Avec une personne étant capable de chasser mes cauchemars. Mais j'étais déboussolé à l'idée de quitter le docteur alors j'ai paniquer. Mais si c'était simplement un piège ? Et si il fallait simplement que je me réveille pour tous arrêter.

Je ferme les yeux je me concentre. Je l'entend enfin. Il m'appelle. Je l'entend. Il ne m'a pas laissé seule.

- Abigail ! Réveil toi.

J'arrive docteur.

Seulement ce n'est pas la seule chose que j'entends je peux sentir la cadence démesurée du la bobine de file des vielles cassettes. J'ai enfin compris qui m'avait fait ça. Mais ça ne me dit pas comment l'arrêter.  A par si..

Non ça ne peut pas être aussi simple?

La France. La seine. Le pontes art. Comment les rue proche dh pont des arts peuvent être vide? Comment j'ai put ne pas le comprendre plus tôt ? Comme si il attendait précisément que je trouve quelque chose à Paris. Parce sue de toute les choses que nif possède il a fallu qu'elle ne me conduise ici. À Paris. Je n'y suis jamais allé. A par peut être avec le docteur, une fois, pendant qu'il bécoter Madame de Pompadour. Mais je ne sais pas vraiment si ça compte comme un séjour en France.

Par contre je sais une chose. C'est à Paris que les parents se sont rencontrés. Ma mère est londonienne d'origine et mon père c'est un peu flou mais il était tous les deux de voyage à Paris quand il se sont rencontré. Devant une colonne Morris. Au pied du pont des arts. Qui que se soit qu'il leur en in parler il veulent quelque chose ici. Une chose que seule un proche est sensé connaître.

J'approche des bordures de la seine, nif me suis.

- tous va bien Aby? Je sais que tu n'étais pas prête à rentrer mais c'est pour le mieux non?  Tu va retrouver ta famille. T'es amis.

Quel ami? Qui a bien out programmé cette nif ? Elle sais que je n'en ai pas un seule à l'université

- et puis tu vas revoir ta cousine

Ma cousine ? Je ne lui ai jamais parlé de ma cousine je n'en avais pas l'utilité.

Elle se pose devant moi pour que j'évite l'eau de la seine et j'ai visiblement l'impression que c'est la meilleure de mes idées.

- tu te rappelle de notre première rencontre ? C'est dans un fleuve comme celui-ci que tu m'a jeté à l'eau

- à Londres ? Ça commence à faire un moment tu sais bien.

- oh pour moi ça fait in ans mais pas toi n'est-ce pas ? Tok qui retourne quand tu veux et où tu veux.

- la vie n'est pas toujours aussi simple.

- et pourtant. Il est l'heure pour moi de prendre une revanche bien mérité

Je l'a poussa dans l'eau et avant de je ne le réalise tous autour de moi ressemblait lumineusement à une guirlande de sapin avec un de ses mode lumineux qui me casse les yeux.

- allons-y !

Je passe par dessus les bords de rive et saute dans l'eau

Après une petite décharge électrique je sens enfin que ce n'était pas la pire idée de la vie.

Point de vue omniscient :

Le docteur avait assisté à la scène à peine avait-il eut fini sa conversation avec rose. Discussion à distance qui a coupé à l'instant même où il allait lui avouer ses sincères sentiments.. qu'il entendit Aby hurler. Il arriva devant l'espace de la jeune fille et en dehors des fringues et déguisements mis au sol dans la chambre de la jeune femme . Il y avait ce cauchemar ambulant. Le monstre qui hante les pensées de la rousse depuis toujours.

Il attrapa son tournevis et l'allumanassez longtemps pour que la fréquence obtenue ne l'es face fuir

Le docteur relâcha le tournevis et s'approcha d'Aby pour s'assurer qu'elle allait bien. Son cœur battait la chamade. Elle était en pleure mais n'ouvrait pas les yeux .

- Aby, je suis là, reste avec moi, reviens parmi nous.

Il ne devait pas paniquer, c'est la première chose qu'il se dit. Et c'est surtout la première chose que Aby l'empêcherai de faire si elle était consciente. Ne pas s'emballer. Cette partie de sa personnalité causée par la régénération n'aider pas tous le temps à la concentration. Je t rose n'était plus là pour l'aider elle aussi.

- ne pars pas à ton tour.

Première chose à faire. La stabiliser. Un cœur humain qui bat aussi vite c'est dangereux. La seule chose qu'il peut faire c'est entrer à nouveau dans sa tête

Il posa ses mains sur ses tempes et ferma les yeux pour voir Paris en pleine nuit  et un isolus volé autour d'elle.

- Aby.

Aby fermait les yeux. Elle était concentrée sur quelque chose  et puis lorsqu'elle rouvrit les yeux la jeune fille se dirigea de manière calme et douce vers la fleuve et attendit que la personne en face d'elle , On aurait dit nif mais le docteur n'en était pas sûr de dos, la suivit sans attendre et se mit entre elle et le fleuve. Sans attendre Aby poussa la femme dans l'eau et le docteur vit alors la dénommée nif se changer en l'une de ses créatures de cauchemar avant qu'il ne soit complètement plongé dans l'eau

- Abigail. Écoute moi ! Il faut que tu te réveil maintenant.

Mais avant que quoi que se soit ne se passe quelque chose bloqua la vue du docteur. Un objet massif qui n'était pas là au par avant. Une colonne de publicités française. Cette objet étrange où une fissure semblait être installé entre dé affichage pour un spectacle d'un quelconque humoriste.

Des inscriptions étaient écrite dans une langue que le docteur se surpris à ne pas comprendre.  Mais il s'en détourna et regarda son ami qui était à présent en équilibre au bord du vide

- Abigail !

Avant que le docteur ne puisse la rattraper elle avait sauté

Il lâcha la connections psychique et la sentit se réveiller. Il se mit alors derrière elle. Accueillant sa tête  songez lui pour la serrer dans ses bras tandis qu'elle émerger

- docteur? Dit elle avec surprise

- tu vas bien ?

- qu'est-ce qu'il c'est passé ?

- mais rien voyon. On a dit adieu à rose.. et on c'est mis ici pour se reposer un peu. Rien de plus.

- rose.. je suis désolé docteur..

- ça va aller. Tu veux qu'ont aille où cette fois ? Je crois que c'est Noël sur terre tu aime bien noël non?

Elle souria et se releva un instant.

- j'adore Noël.

Ils se levèrent alors. Le docteur regarda alors les mains de son compagnon de voyage.  Elle resplendissait de la même lueur que lorsque lorsque rose, ou plutôt bad wolf, avait pris le temps de la tenir contre elle et de lui insuffler cette énergie.

- tous va bien docteur ?

La lueur disparu et le docteur se contenta de sourire

- pourquoi ça n'irait pas ?

- et bien.. je sais que ..

- au commande !

Il partit voir les commande du tardis mais quand il arrivèrent dans la salle ils virent une femme, une rousse également. En robe de mariée.

- où est-ce que je suis

- quoi? QUOI?!

Pas à sa place: le temps d'un rêve Where stories live. Discover now