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Et voilà qu'il m'avais voler mon tout première baiser c'était un petit smack de rien du tout mais pour moi c'était beaucoup.

Je sentais qu'il voulais aller beaucoup plus loin qu'un smack mais je l'ai repoussé gentillement et je me suis re assise correctement sur mon siège avant de baisser la tête.

Je sais pas ce qu'il nous a pris mais je pense que nous deux on en avait envie, j'étais tellement timide que j'osais plus lever le regard de mes pieds et lui sa l'amusais parce que je l'ai entendu rire.

Kaysân: t'es timide toi, dit-il en rigolant et en m'attrapant le bras.

Moi: pff laisse moi tranquille, dis-je en le poussant légèrement.

Puis il m'a forcer à lui faire un câlin, il m'a serrer dans ses bras et petit à petit j'ai commencer a me détendre et à le serrer aussi j'avais ma tête posé au creux de son cou et je sentais toute son odeur j'avais envie de le manger.

Moi: tu me serre trop j'arrive plus à respirer, dis-je en rigolant.

Kaysân: j'men fou, dit-il en me serrant encore plus.

Il me serrais tellement fort que je respirais même plus on est resté comme sa quelque seconde avant de se lâcher.

Moi: qu'est-ce t'a aujourd'hui t'es bizarre tes en manque d'affection ou quoi.

Kaysân: cherche moi continue ta raison, dit-il avec le sourire en coin.

Moi: bah d'habitude tu m'insulte ou tu veux m'arracher la tête.

Kaysân: parce que quand je te vois avec ta petite là j'ai envie de te frapper, dit-il en rigolant.

Moi: eh mais elle a quoi ma tête.

Kaysân: même quand tu me regarde tu vois ce regard que tu me fais la bah j'ai envie de humm bref vas-y laisse tombé.

Moi: mon regard ? Dis-je en le regardant.

Kaysân: dégage, dit-il en mettant sa main sur mon visage et en me la poussant.

Au même moment son téléphone se met à sonner, il répond et ne me quitte pas du regard

Kaysân: quoi ?

- : ...

Kaysân: comment sa il a pas pu livrer ?

- : ...

Kaysân: putain vous me cassez les couilles j'arrive là.

- : ...

Kaysân: j'tes dis que j'arrive vas-y raccroche avant que je te démarre.

il a décroché et son regard fini par se poser sur moi et ses sourcils se défronce instinctivement.

Kaysân: je vais bouger moi et toi rentre.

Moi: tu va allez où ?

Kaysân: rentre emira et traîne pas, dit-il en esquivant ma question.

Moi: oui je vais rentré directe t'inquiète pas.

Kaysân: ta intérêt à pas traîner.

Moi: oui tu veux je fasse quoi à cette heure si sérieux.

Kaysân: on sais jamais.

Moi: bon allez ciao, dis-je en sortant de la voiture.

Il a attendu que je sorte du parking pour démarrer et partir.

J'ai quitter le parking puis je suis rentré directement à la maison.

Et dire que quand je le croisais je fuyais son regard car il me fessais flipper que à chaque fois qu'on se voyais on s'embrouiller et là y'a 10 minute on s'est smacker c'est trop chelou.

« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira Où les histoires vivent. Découvrez maintenant