Loves me as I hate you (crossover of Sinder) : Tome 1

Chapitre 17 - Danaé

Alors c'est ça l'effet que ça fait de se sentir super mega conne après avoir fait sa première fois avec un mec que l'on connait à peine et de regretter ? Putain qu'est ce ce que ça fait mal. J'ai vraiment était la dernière des idiotes, comme ci le passé ne m'avais pas donner assez de leçon comme ça.

C'est vraiment un beau salopard, et c'est rien de le dire. Moi je me suis servie de lui ? Quelle blague ! Il à coucher avec moi sachant que c'était ma première fois. Il à embrasser cette fille devant moi. Il à tout gâcher. Je me sens tellement conne d'avoir penser que peut être il aurait pu avoir plus entre lui et moi.

Je relis la conversation et je n'y croit toujours pas. J'arrive pas à croire qu'il met toute la faute sur moi. Coucher avec lui pour ne plus être vierge ? Ce garçon a vraiment un problème. Où est ce qu'il est parti chercher des idées pareilles. Et pourquoi je suis rentrer dans son jeu ? J'aurai pas dû lui répondre que j'aurais pu trouver mieux. Qu'est ce qu'il m'est passer par la tête bon sang. Sur le feux de l'action, son message m'avait tellement mis en colère et blesser que ma seule réponse qui je sais à toucher sa fierté était celle là.

J'aurai dû effacer son numéro il y a bien longtemps maintenant. Ça fait cinq jour que nous nous sommes disputés. Je suis tellement mal que j'ai décidé de rester ici, alors que mon père est à New York. Les samedi ensoleillé me manque, depuis la semaine dernière il ne cesse de pleuvoir et en plus il commence à faire mega froid.

Je relis une énième fois la dispute que j'ai eu avec Boby et je n'arrive pas à comprendre. Ce salop me fait passer pour une salope. J'ai envie de le gifler et de lui balancer mille et une horreur en pleine face mais, au plus profond de moi même j'ai besoin de m'expliquer avec lui. J'ai besoin de savoir si notre "relation" est vraiment fini, car je n'en ai pas envie. Cet homme me donne l'impression d'être en sécurité. Il faut que je lui parle et maintenant.

Ça fait dix minutes que je suis sur le porche de sa maison. J'hésite. Je sonne ou je m'en vais ? Et si ces parents étaient là ? Et si c'était sa mère qui m'ouvrait la porte ? C'est pas grave, ressaisie toi Dana ! Maintenant que tu est ici, tu doit le faire. Je tend ma main vers la sonnette et je n'appuie pas sur le bouton. Mon bras retombe le long de mon corp et à ce moment je me sens vraiment pitoyable. Je suis habillée comme si j'allais faire les courses un samedi matin. J'ai un vieux pull trop serrer et un vieux leggings délaver. Mes bottines en cuir sont sale et mes cheveux tout mouillé sentent la pluie.
J'ai beau me dire qu'il fait froid et que si je ne sonne pas, je vais congeler sur porche et je vais encore tomber malade mais rien ne se produit. Aucune réaction de ma part. Je n'arrive pas à presser ce foutue bouton. C'est pourtant pas si compliqué.

J'abandonne au bout d'une vingtaines de minutes et lorsque je me retourne, il est planté là, derrière moi, sous cette averse qui semble se calmer. Il est en tenue de sport. Quel idée d'aller faire du sport sous la pluie. Il d'avance vers moi, me dépasse, ouvre sa porte d'entrée et la laisse ouverte. C'est une invitation à entrée ? Bien sûr que s'en est une.

Je ferme la porte derrière moi et m'avance vers son salon. La dernière fois que j'étais venu ici c'était lors d'une fête. Je faisait un tour pour decouvrir le voisinage puisque je venais d'emménager et je voyais tout ces jeunes, ainsi que plein de voitures se diriger dans la même direction. J'avais alors suivie le mouvement, curieuse et j'avais atterrie dans son salon. Bien évidemment après avoir jeté un coup d'oeil par ci et par là, je suis rentrée chez moi, aider par des jeunes assez sobre pour m'indiquer le chemin.

La maison à l'air vide. Elle à l'air beaucoup plus grande lorsqu'elle n'est pas remplie d'adolescents bourrer. Ses parents doivent être de sortis. J'entend Boby descendre les escaliers. Je le rejoins dans le couloir et il me balance une serviette au visage. Je l'a place sur le haut de mon crâne et frotte pour sécher mes cheveux. Je le suis dans sa cuisine et l'observe se faire à manger.
Pourquoi m'a t-il laisser entrer ? Il ne m'en veux plus ? Attend attend m'en vouloir ? C'est moi qui lui en veux. Je n'ai rien fait de mal.
- Qu'est ce que tu fait ici ?
J'observe son visage. Ses trait sont tirés et tendu.
- Je peux savoir pourquoi tu l'a embrasser ?
- Et pourquoi pas ? Demande t-il si spontanément que j'arrive pas à trouver une repartie idéal pour ce genre de réponse.
Il croque dans son sandwich et me regarde en attente d'une réponse.
- T'as pas le droit de prendre la virginité d'une fille, de lui laisser des traces sur le corp comme pour crier au monde entier qu'elle t'appartient, puis de l'embrasser comme ci vous échangiez votre dernier baisser et ensuite d'en embrasser une autre, dit je la voix tremblante.
Il croque une nouvelle fois dans son sandwich.
- Je ne sais pas où tu es aller trouver cette idée stupide comme quoi je t'ai utiliser pour me déviergé, mais ce n'est pas vrai. Le truc tu vois c'est que dans cette histoire c'est toi qui à merdé Boby, c'est moi qui vient pour avoir des explications mais c'est moi qui doit m'expliquer. Est ce que tu trouve ça logique ?
Il ne me répond pas et fini son sandwich toujours en me fixant droit dans les yeux.
- Dit quelque chose putain ! Je hurle.
Il ne sourcille pas et avale son verre d'eau. Il bouge enfin de sa place et s'approche enfin de moi. Pour je ne sais qu'elle raison je recule et je heurte un mur. Il est en face de moi, son corp est tout près et nos front sont l'un contre l'autres.
- Tu veux que je te dise quoi ? Que le faîte que tu m'évites au lycée m'a rendu dingue et m'a pousser à embrasser cette fille ? Que lorsque j'ai reçu ton message, j'ai eu l'impression que mon coeur aller s'arrêter ? Ou tu veux peut-être que je te dise que tu m'as manqué à en crever. Que je n'ai fait que penser à toi, alors que je voulais t'exclure de ma vie définitivement. Et que je suis désoler d'avoir embrasser cette fille devant toi.