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Salam aleykoum,
comment allez-vous ?

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CHAPITRE PRÉCÉDENT :

Tata Karima : il s'est passé quoi pourquoi y'avait du sang

Ma gorge s'est nouée et je leurs est juste répondu que je voulais pas en parler.
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1h après il restait que Safiatou à l'hôpital je lui est demandé comment elle a sue que j'étais à l'hôpital vue que tata Karima et tata Sabrina ne connaissent pas Safiatou.

Elle m'a dit que je suis là depuis 3jours et que au bout de 2 jours elle trouvait ça bizarre que je ne soit pas rentré et que je ne lui est donner aucune nouvelle donc elle a appelé tout les hôpitaux du 91 ma viie. Je l'aime trooop.

Au final ils lui on dit que j'étais dans cette hôpital et elle est venue.

Ils m'on plonger dans un comma artificiel histoire de voir si ça va mieux, si je ne manque pas trop de sang ou je sais plus quoi.

J'étais entrain de parler avec Safiatou et de lui raconter ce qui c'est passé elle était choquée miskina. Elle m'a dit de porter plainte mais j'ai refuser c'est tout de même mon frère Malik.

Bref  l'infirmière est passée elle m'a expliqué que je pouvais sortir juste si un adulte majeur venait me chercher. Pour les médicaments j'ai dès anti douleur pour l'hématome, et je dois appliqué une pommade sur mon ventre en essayant de pas faire trop d'efforts physique. J'ai une entorse à la jambe donc j'ai des béquilles pendant 2semaines car la blessure n'est pas très grave.

Moi : eh mais chui sensé appeler qui ??

Safiatou : bah t'es shab yen a aucun de majeurs ?

Moi : nan à part black mais jamais je l'appelle

Safiatou : je sais pas purée

Moi : moi auss-

Safiatou : JE SAIS LE FRÈRE A ISSA !

Moi : ah nan jamais ! *rigole*

Safiatou : cets soit ça soit tu déranges tata Karima ou tata Sabrina comme tu veux Rayan ça se voit il fait rien mais bon toi tu veux déranger des mamans comme tu veux

Moi : je te déteste, passe mon bigo je l'appel

Je l'ai appelé et il m'a dit qu'il est sur la route, dans leur famille c'est des amours.

Safiatou ma préparer mes affaires et on y est allez.

Moi : merci encore Rayan

Safiatou : ouais tu gères

Rayan : de rien les girls c'est normal

« réussirons nous a être heureux ? »Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora