Chapitre 1

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     Je suis encore sur ce toit à regarder se coucher de soleil,à cet endroit,pour la dernière fois. La mer est calme comme si elle me disait au revoir et qu'elle était triste. Elle va me manquer, mais il me faut du changement. Trop de mauvais souvenirs me reviennent en restant ici.
  Je ferme les yeux pour apprécier cette aire marin dans le qu'elle je vie depuis toute petite. Le bruit des vagues qui me rappelle toute ces heures au bord de la mer. Les après midi a faire des châteaux de sable, a creusé des trous au point de pouvoir salonger de dans. Les acrobaties avec ma "meilleure amie" du moins ce que je pensais être ma meilleure amie.
   "-Melyne!! Descend de là tout de suite combien de fois je t'ai dit que c'était dangereux.
   -Maman je n'ai plus trois ans arrêtes de paniquer pour rien.
   -De toute façon on mange, aller plus vite!!"
   J'aime ma mère, mais depuis l'accident elle est devenue trop protectrice. Elle a peur de tout, elle me surprotége. Je sais qu'elle veut que mon bien, mais c'est fatiguant.
   Je descend en faisant attention à pas tomber de la maison ou me faire mal. On l'a nommait "la maison au volet vert", il ne sont pas forcément beaux mais ils vont me manquer.
   Mes pied s'enfoncent dans le sable encore chaud, pour rejoindre ma famille sur la plage. Les serviettes de plage sont de sortie je m'assois sur la mienne.
    Et ma mère commence à me dire ce qu'elle m'a dit des centaines de fois depuis que j'ai pris ma décision. Elle me rerereredemande si je suis sure de ce que je fais, que ça peut être dangereux. Que ma décision est un peu rapide. Prendre l'avion et déménager dans un autre pays seule peut être compliqué.
    Et je lui réponds toujours la même chose, que je suis assez grande pour me débrouiller toute seule et que c'est ma décision et mes choix et que j'en ai besoin.
    Je ne reparle pas de la soirée même quand je rentre à la maison. Ma chambre ne contient plus rien dans ses placards, mes cartons sont déjà partis pour l'Amérique. Ils ont pas intérêt à abîmer mes cartons surtout ceux avec mes livres. Ils ont ma vie entre leur main.
     Cette pièce vide me rend mal à l'aise, je me sans pas à ma place. Donc je desside d'aller courir. L'air frais de la nuit me fouette le visage, j'ai mal au jambes mais  je continue à courir j'en ai besoin. Je me défoule. Et je rejoins mes seules amies, a notre salle de sport habituelle. C'est une grande salle avec des machines pour se faire les muscles un peu partout. Mais mon endroit préféré c'est le rings de boxe. Ce sport est mon passe temps favoris après la lecture. Je me sens toujours mieux après une bonne séance.
     Je vois les gars entrain de faire un concours de pompes. Ils passent leur temps à faire se jeux. Je place à côté d'eux et les regarde très concentré. Un d'eux commence enfin à me parler.
     "Salut Melyne, tu es venue nous dire au revoir.
     -Salut Will, je me sentais pas très bien dans ma chambre vide, et pour ça quoi de mieux que la boxe."
     Il s'écroule par terre de fatigue, en criant un " put@in!! ". Après quelques secondes il se relève pour me prendre dans ses bras musclés, et pause son menton sur ma tête. Les quatres autres sont toujours aussi concentré sur leurs pompes.
     "Tu veux qu'on s'entraîne? me demande Will.
     -Je veux bien, à moins que tu es peur de moi.
     -C'est ça, moi peur de toi on va bien voir ça."
     J'enlève mon sweat et monte sur le rings, prépare mes bandes sur mes mains et met plus d'épaisseur sur les falange. Will me rejoint et se met en position. On commence à taper. On fait quand même attention à ne pas se faire très mal, mais on tape quand même. Jusqu'à l'épuisement. Je m'allonge par terre et les gars se rapproche de Will et moi.
     "Tu sais que tu vas nous manquer, me dit Brayan .
     -Vous allez aussi me manquer."
     Je me lève et les regarde il vont vraiment me manquer ils ont toujours été là depuis maintenant quatre ans, c'est quatre ans de conneries et de bonheur en leurs compagnie.
     Je les prends dans mes bras un par un et leur promet d'aller les voirs régulièrement.
     Il est presque minuit quand je rentre chez moi toujours en courant.

when you least expect itTempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang