« Regarde Shoto et prend exemple sur lui »
« Ton frère est si fort! Dommage que ce n'est pas ton cas »
Ces phrases, elle les entend pratiquement tout les jours. Mais personne ne réalise que ça fait mal de les entendre.
Aiko Todoroki fais son entrée...
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Moi: Dabi...
Dabi: Lâche là et lève toi. Un mouvement brusque, et je te tire dessus.
L'objet dans mon dos était donc un flingue. Je me lève doucement et « Kaminari » se lève aussi. Son visage commence a fondre et laisse une fille de mon âge apparaître.
Ce n'était donc pas Kaminari... Sûrement une vilaine de l'alliance.
Dabi: C'est bien. Tu vas maintenant m'obéir. Tu nous a fais tourner en rond trop de fois.
Moi: Que veut-tu?! Me faire du chantage ce n'était pas assez? Il a fallu que tu t'attaque à Izuku?
Dabi: Il t'a tout avoué à ce que je vois. J'aurais du m'en douter, tu es bien trop intelligente.
Moi: Que veut-tu?!
Dabi: Tu le sais très bien. Des documents sur ta famille.
Moi: Que-ce qu'on a fais pour t'intéresser autant?! Tu peux pas nous laisser tranquille?
Dabi: Tu saura très vite pourquoi si tu me les fournis.
Moi: Non.
Dabi: Non?
Moi: Je ne te donnerai rien.
Il appuie sur la détente et me tire sur l'épaule.
Je tombe a cause de la douleur et met ma main sur la plaie.
Putain...
La fille: Oh! Du sang! Dis moi, Aiko, tu veux bien m'en donner?
Dabi: On a pas le temps pour ça, Himiko. Bon, petite, puisque tu ne veux pas coopérer, on vas faire simple. Dis moi où il les ranges.
Je tente de dire quelque chose, mais la douleur me rendait la tâche difficile. Seul un murmure sortait de mes lèvres, et de sa position, Dabi ne pouvait rien entendre.
Il s'approche de moi pour mieux entendre. Il s'accroupit a ma hauteur et met son oreille près de ma bouche.
Moi: Vas te faire foutre...
Avec ma main libre, je lance un jet d'eau puissant pour lui faire baisser sa garde et attrape son pistolet.
Avec ma blessure, je reste difficilement debout.
Moi: Ne bougez pas, sinon je tire.
Himiko: Aaah.. Tu es trop mignonne quand tu es énervé Aiko...
Dabi: Tu es au courant que je pourrais te tuer?
Moi: Ferme là..
Pdv omniscient.
La jeune fille compose difficilement le numéro de son père, mais son bras lui faisait souffrir.
Même avec son alter de guérison, elle ne pouvait rien faire tant que la balle était toujours logé dans son épaule. Même si elle refermait la plaie, la balle rouvrirais la blessure en quelques minutes.
