chapitre 48 : Otage

2.4K 90 7
                                    


Pdv : Jessica
Centre commercial

___

Cet homme me tien par le bras et il me pousse dans un magasin.

Dès que je rentre je remarque des enfants, des mères et quelque groupes de filles, assis par terre, les mains attacher derrière le dos certaines coucher, d'autre assis contre le mur terrifiée.

Il me pousse par terre et je tombe. Il m'attache les mains entre elles derrière mon dos et il me redresse. Il attrape mon menton.

Il me sourit et il me lâche. Il se lève et rejoin un autre homme qui est aussi cagoulé.

Il nous pointe leurs armes sur nous.

- Faites un mouvement brusque, crier, parler et ont vous butent.

J'avale ma salive et je me colle au mur. L'homme qui m'a ramener ici me regarde de temps en temps et alors que j'allais parler, il mets son doigt devant sa bouche.

Des femmes hurlent, pleure.

- Je vous en supplient. Laissez mes enfants partir... Dit une femme à côté de moi.

L'autre homme se rapproche d'elle, il s'accroupie à son niveau et il enlève sa capuche, qui cacher ses cheveux blond.

- Je vous avez prévenues n'est-ce pas ? Il lève son arme sur le haut de sa tête.

- Ne fait pas un acte que tu regretteras, tue cette femme et je t'assure que la police ne te laissera pas. Je lui dit.

L'homme qui ma ramener ici croise ces bras et il sourit, tandis que ce blond me dévisage.

- Tu veux dire quoi comme ça ?

Je sourit et je regarde ce petit objet noir sur le plafond filmant la scène.

- Ce que je veux dire ? Une caméra vous filment, tue la et tu le regretteras. Je lui dit.

Il tourne alors sa tête, il se lève, avance et de son arme il tire sur la caméra et elle atterrit sur le sol.

Il me vise de son arme et je rigole.

- Si j'était toi, je ne le ferait pas. Si tu ne veux pas qu'une personne du nom de Matteo te pourchasse jusqu'à ta mort.

J'espère que ça va marcher, je ne veux pas mourir

Il écarquille les yeux et il baisse son arme. Et il me regarde de nouveaux dans les yeux en souriant.

- Si on parle du même Matteo Giordano, il est mort.

Merde j'avais oublier ce détail.

Il prend alors un tournevis et il me le lance d'un coup sec. Je ferme les yeux et je me sent alors tirer en arrière.

- Fait gaffe. Me dit une voix grave près de mon oreille.

J'ouvre à nouveau les yeux et je voit cet homme me tenir par les hanches et avec son autre main, tenir le tournevis qui est très proche de mon oeil.

- Frangin, tu fais quoi la ? Dit le blond.

Alors ils sont frères ?

J'essaye de le repousser en lui donnant des coups d'épaules et je finis par tomber par terre.

Ne m'abandonne pas .Where stories live. Discover now