Chapitre 12

347 9 4
                                    

Iris
Barcelone.

Je me réveillais sans Pablo ce matin tout était encore flou dans ma tête mais je me rappelais peu à peu la soirée magnifique que j'avais vécu la nuit dernière.

Je pris le temps de me réveiller et alla dans la cuisine où je trouvais un petit post-it.

"Salut, je suis désolé j'ai dû partir en urgence une amie à moi a un problème. Et encore merci pour hier c'était super !
Pablo."

Bon... ce n'est rien, je ne vais pas me plaindre quand même j'ai passé la soirée d'hier et la nuit avec lui ! Ce qui était déjà pas mal.

La journée semblait interminable donc je décida d'inviter Maëlys à passer l'après-midi chez moi ce qu'elle accepta évidemment.

Je lui racontais ma soirée d'hier, elle était très contente pour moi et m'écoutait attentivement ce qu'il me fesait extrêmement plaisir.

Car pour être honnête Maëlys était ma seule amie, avant nous étions un groupe mais celui-ci c'est dégradé au fur et à mesure du temps, nous avions toutes un point de vue différent sur les choses et pas la même définition du mot "amie" apparemment, ce qui engendrer souvent à des disputes. Donc avec Maëlys nous avions décidées de rester ensemble et depuis nous nous sommes jamais quittés. J'avais une sœur de cœur nommé Myrtille mais elle est partie de Barcelone pour aller en France faire ses études étant donné qu'elle a un an de plus que moi. Je ne l'ai pas revu depuis maintenant 2ans et elle me manque énormément. Maëlys est donc la seule amie qui me reste ici. C'est la seule personne qui m'écoute réellement ce qu'il me suffit amplement.

A son tour elle me parla de son crush si je puis l'appeler comme ça car cela fait quand même trois ans qu'elle l'aime, mais bon je ne peux rien y faire malheureusement.

Je regarder un peu les info du jours sur mon téléphone quand d'un coup mon cœur se serra et mon visage se décomposa.

- Qesqu'il y'a Iris ? me question a-t-elle.

- Rien ne t'inquiète pas. affirmais-je presque les larmes aux yeux.

- Je reviens je vais au toilettes. l'informait je avant de m'éclipser furtivement dans la salle de bain.

- T'es sur que ça va. me cria t-elle depuis le salon.

- Oui oui t'inquiète, j'ai une envie de vomir c'est tout. m'exclamais je.

- D'accord. répondit-elle.

Mon corps tremblait je ne me sentais terriblement mal, déjà d'y avoir pensée, pensée qu'il pouvait s'intéressait à moi. Je pensais réellement avoir ne serait-ce qu'une petite place dans son cœur ou même son esprit mais apparemment je me trompais sur toute la ligne.

Sur mon téléphone se trouvait un article, avec des photos, des photos de Pablo avec une fille magnifique.

Sur un photo Pablo lui tenait la main fermement, puis sur une autre il lui chuchotait quelque chose à l'oreille qui semblait la faire rire et enfin sur la dernière il l'a tenait par les hanches. En dessous un article était écrit :

News :

Ce matin, le jeune footballeur Pablo Gavira à était vu avec une fille qui semblerait être une "amie" à lui. Est-ce plus ? Nous le pensons, les photos prisent par les paparazzis dans la matinée parlent d'elles même. Nous y voyions Pablo Gavi tenir les hanches de la fameuse Isabel Bolivár. Est-ce une officialisation de la part du jeune footballeur nous ne le savons pas encore mais se qui est sur c'est qu'il ne sont pas juste "amis".

Cela me brisais le cœur car je croyais que Pablo m'aimais bien, mais apparemment je me trompais. J'essuya mes larmes me rinca le visage et partie dans le salon rejoindre ma meilleure amie qui m'attendait depuis cinq bonnes minutes.

- Iris, dit moi ce qu'il ce passe. m'interroge a-t-elle.

- Rien, j'ai lu un article sur Pablo et ça "copine". répondis-je blessée.

- Quoi ? Il est sérieux. Alors il te demande de venir à ses entraînements, il te dédicace son but, il vient dormir chez toi et la meilleure chose qu'il trouve à faire c'est d'aller voir ailleurs. Non je refuse. s'exclama t-elle furieuse de l'annonce que je venais de lui faire.

- Écoute c'est pas grave je vais bien trouver quelqu'un d'autre. lui répondis-je les larmes aux yeux.

- Je t'interdis catégoriquement de pleurer est-ce clair. m'ordonna t-elle.

- Oui oui.

Je passa le reste de l'après-midi à l'écouter me parler de son crush.
Et le soir elle répartie chez elle. Me laissant un vide. J'aurais bien inviter Pablo mais la je ne voulais pas, et puis il devait être avec ça fameuse copine.

Juste une danse / Terminée Where stories live. Discover now