Chapitre 1

10 1 1
                                    

Je me réveille, j'ai mal, dans mon bas-ventre, une douleur physique qui me rappelle les choix que j'ai fait et pourquoi je suis toujours ici. J'ai cette douleur plus psychologique dans ma poitrine qui grandi au fur et à mesure que je me réveille. Elle part du cœur, je la sent, elle vient m'étouffer mes poumons comme un joint roulé à la marijuana mais en pire.

Mes émotions se mettent à se bousculer dans ma tête, le désir, la passion, un peu, beaucoup, d'amour, de la peur et de la terreur. Ses yeux me reviennent à l'esprit, à chaque fois c'est pareils.

Il arrive dans cette pièce immonde où il m'a enchaîné. Il me regarde avec ses yeux d'ivrogne et quand il s'approche, sa démarche ne montre que de la colère. C'est quand il commence à poser ses mains sur moi que les émotions dans ses yeux se reflètent.

Il commence toujours par mon cou, il sent mon odeur qui, je le sait et je le sent, lui rappelle des choses auxquelles il ne veut pas y repenser, sinon il ne me prendrai pas avec une telle colère pour s'enfoncer comme si la seule chose qui le motivait c'est de me déchirer de l'intérieur. Mais comme je le dis à chaque fois c'est pareils, il commence tout doucement mais brutalement, plus il s'enfonce plus ses émotions changent, la colère laisse la place à la tristesse et aux regrées. Le pire c'est qu'il a un impact sur moi, quand il y a se désir qui grandi en moi, je ne peut le retenir alors je cède et nos émotions s'entremêlent. Je le rejoins dans se désir qui nous est propre.

Quand il se retire, c'est comme si il me poignardé au cœur, il emporte avec lui la moindre molécule de désir que je ressent, il créée un énorme vide que seul lui est capable de combler puis il part. Il me laisse comme ça dans cette pièce qui était une chambre, il y a ce lit sur lequel parfois il m'y attache pour me prouver que j'ai fait le mauvais choix, pour me faire regretter d'avoir cru en lui.

En me réveillant il y avais cette odeur de mort qui hante cette pièce. J'ouvre mes yeux et aperçoit mes bleus sur mes jambes. J'essaye d'articuler doucement mes poignets qui sont enchaînés. Au début ça fait mal puis après la douleur passe. Ils sont rouges et il y a plein de bleus et de suçons qui recouvrent mes bras.

Hier, il est venu me voir avec une bouteille à la main, où l'on pouvait deviné un liquide brun, autrement dit du Whisky, son alcool préféré. Au début, il était sobre, il me parlait. Je l'ai écouter me dire comme à son habitude, qu'il regrettait de s'être ranger dans l'ombre. Il a commencé à boire une gorgé puis deux jusqu'à arriver à la moitié de la bouteille. Il a sortie une cigarette, la fumant devant moi, à ce moment là l'odeur me dégoutté plus qu'autre chose, pourtant avant je faisais que ça de fumer, espérant un jour partir avec la fumée qui s'efface doucement dans l'atmosphère pour disparaître complètement laissant derrière elle des poumons avec une sensation de brûlure, qui nous fait revenir à la réalité.

Lui en a tiré une devant moi, toujours plus ivrogne qu'à son arriver. Il a finit la bouteille d'une traite puis il est allé en chercher une autre et l'a finit avec tant de colère dans son regard que j'ai eu de plus en plus de frissons me montant du bas de ma colonne vertébrale jusqu'à ma nuque. Il me regardait et c'est là que j'ai compris, me remémorant toutes les fois où il est venu sobre puis repartir avec plus de colère, d'alcool dans le sans, de drogue dans le corps et surtout mon sang sur ses chemise noir Prada qu'il porte tout le temps ainsi me rappelant qu'il ne me prête plus d' attention.

Chaque fois c'est pareils, il commence par me giflé, voir me mettre des droites au visage, comme si il me confondait avec un sac de frappe. Puis il prend ce bâton qui est toujours contre le mur et commence à me frapper aux jambes pour remonter sur mes hanches jusqu'à mes bras. Parfois il abandonne le bâton et sort de sa poche un couteau, avec lequel il s'amuse à me faire des cicatrices, toujours plus profondes, qui vont resté sur mon corps jusqu'à ma mort. Avant de partir, il prend le bâton et m'assomme avec, me laissant à mon réveil une ouverture sur le crâne et du sang qui en sort (découle).


Merci d'avoir lu et n'hésitez pas à mettre des commentaires, à vous abonnez (même si je serai pas actif tout le temps) ou autres.

Encore merci 😉

Laissez-moi l'aimerWhere stories live. Discover now