Chapitre 1

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Je vais vous raconter une histoire fantastique non pas de moi, mais de mes amis. Brive La-Gaillarde, une petite ville de campagne dans le sud-ouest de la Corrèze et l'hôpital est où commence notre aventure. La chambre 304 est une petite chambre aux murs bleus, un sol verdâtre à vomir, une grande fenêtre entrouverte et un grand lit d'hôpital au centre de la chambre située au 3 --ème étage qui était l'étage des « accidents » appelé ainsi du fait que tous les occupants étaient présents dans cet étage à cause d'accidents de voiture, chantier . . . Sur le lit de la 304, se trouvait un jeune homme de 15 ans avec une cicatrice traversant le visage à peine cicatrisée, la jambe droite et le bras gauche dans le plâtre, il était plutôt musclé et grand. Il avait les yeux d'un bleu ciel tel que tu te demandais s' il y avait vu vraiment quelque chose, ses cheveux débraillaient étaient bruns avec un dégrader de blond vers l'avant, il n'était pas beau garçon, mais ce n'était pas sa qualité à retenir, toujours premier de la classe dans les matières scientifiques et technologique. Il regardait le soleil traversant les volets semi-fermés d'un regard vide à en pleurer, mais change vite son intérêt visuel pour se tourner vers la porte qui venait de s'ouvrir et une infirmière vêtue d'une petite blouse blanche dit : " Tu as de la visite Maël", avec un sourire soulagé, "mais pas plus de 5 min les enfants, car je dois l'anesthésier pour l'opération d'après." Et il entendait les personnes à sa porte prononçais un signe d'accord avec l'infirmière qui venait de partir. Cinq de ses amis étaient venues lui rendre visite : -Joe, petit très mat, fan de basket et de déo, les yeux verts comme la forêt et une touffe de cheveux brun avec une coloration verte sur le dessus. Joueur et impulsif. - Ben, plutôt costaux et ce n'étaient pas entièrement des muscles, sa peau couleur sable, ses yeux couleur terre et ces cheveux ressemblais à une éponge qu'on aurait posé sur la tête. -Aléxis, un peu joufflu, avait les yeux aussi bleus que la couleur de l'océan et ces cheveux court, blond aussi raide que des stalagmites. Il était intelligent et réfléchi à toutes les options, mais préféré à la nourriture. - Arnaud, très maigre, musclé, une coupe de cheveux rouges à l'allure des années 1980, les yeux noirs comme la nuit et sa peau aussi blanche que la pleine lune, des dents de requins terrifiants, un peu bête, barbare et impulsif, mais sympa. - Et Iris, petite, maigre, blanche, les yeux châtaignent, des cheveux bruns, assez long, elle était mignonne, mais personne n'irai lui chercher des bruits, car le dernier avait fini dans ce même hôpital avec le nez cassé. Voilà le groupe d'ami qu'il avait et dont il était fier. Une fois rentré, Joe alla s'asseoir sur la chaise à côté du lit au niveau de l'entrée et regarde Maël avec colère. Aléxis de l'autre côté du lit observe la chambre délicatement. Ben se mit contre le mur à côté de la fenêtre les bras croisés en soupirant de relaxation. Arnaud se jeta comme une bête enragée sur Maël pour l'étrangler, tandis qu'Iris rentré en fermant la porte et fut surprise de l'action d'Arnaud. Joe et Ben réagissaient vite avant qu'Arnaud n'atteigne le blesser. Et l' animal se débâter dans les bras de Ben en criant : "Mais lâche moi, il le mérite, il nous a tous fait peur non ?!" "Oui, mais ce n'est pas une raison pour aggraver son cas pour le moment." Répondit Ben en reculant avec Arnaud tandis que Joe s'approcha du lit.

"Sur a que 5 minutes, tachons de ne pas perdre du temps plus qu'il n'en a surtout si c'est pour le frapper, n'est-ce pas Arnaud !!!" Dit Aléxis avec un regard noir tourné vers le principal concerné. Sans un mot Arnaud s'arrête de se débattre, Ben le lâcha et il reste tranquille à bouder dans son coin. Maël qui n'avait pas encore réussi à en placer une, regarda Joe pour le saluer et reçu sans un mot un crochet du droit de sa part à la surprise générale. "Mais qu'est-ce que j'ai fait bordel, je n'ai pas assez sou..." Maël s'arrête net de parler à la vue de son ami qui pleurait et qui rétorqua : "Mais tu es complètement con de t'être blessé aussi stupidement en venant chez moi en plus, je me disais que c'était bizarre que tu tardes autant, mais je m'en veux de ne pas m' être inquiété plus que ça !!!" Iris s'approcha de Joe et lui mit un coup sur la tête qui le calma et dit : "Alors, si tu t'en veux pourquoi c'est lui que tu frappes, crétin ! Bon pour commencés, bonjour Maël, que s'est-il passé, car a part Joe on n'en sait pas plus nous sur ton accident." Maël prit la parole avec un sourire forcé à cause de la douleur de ses blessures et du coup porté par Joe : "Bonjour, à tous les amis, moi aussi, je suis content de vous voir et merci pour ces douces attentions que vous m'avez médiocre." Aléxis attrapa la tête d'Arnaud et de Joe et les forçats a baissé la tête et leur dirent cœur « Pardon, Maël. ». Maël gêné répondit : "Ce n'était pas nécessaire d'aller si loin Aléxis, mais merci, bon voilà j'étais à moto ..." Maël a commencé le récit de son accident, il a expliqué que sur la route lors d'un passage étroit un camion venant d'en face et qui avait perdu le contrôle, l'avait percuté et qu'il s'était réveillé à l'hôpital . Il expliqua aussi que les médecins disaient que c'était un miracle qu'il est survécu. Quand qu'il avait fini Aléxis posa une question qui le démangeait depuis le début du récit : "Dit Maël, pourquoi as-tu encore ta montre au poignet, je sais que tu l'aimes bien, mais ils ne doivent pas te l' supprimée pour les opérations ?" "Si, mais..." Maël se fessa couper la parole par l'infirmière qui rentrait souriant : "C'est l'heure les enfants, je dois l'anesthésier", elle prit une aiguille et mit le contenu dans l' une des poches d'eau qui servait à l' s'approvisionner en nutriments, "Je vous laisse encore 5 min dans la chambre, mais il sera endormi avant." "Merci madame" dit Ben, quand l'infirmière est sortie de la pièce en fermant la porte derrière elle. Maël lutta contre le sommeil pour leur demander de récupérer la montre et d'utiliser le papier sur sa table de chevet et il s'endormit s'en avoir terminé ces explications. Arnaud se jette à son chevet pour décrocher la montre avec un sourire narquois tandis qu'Iris récupère le morceau de papier et le lus sans rien comprendre. "De toute façon, je comptai lui piquer pour lui faire une..." , dit Arnaud n'arrivant pas à enlever la montre, "Mais ce n'est pas possible, il a mis un code à sa montre pour la décrocher. " "Combien il y a de cases pour le code, car sur le papier, il y en a 4. «9-18-9-19»" Dit Aléxis en faisant sursauter Iris qui était en fait observé par-dessus son épaule depuis le début. "Il y en a 4 aussi, mais ce sont des lettres". Répondit Arnaud. Joe, toujours en pleure dans son coin n'avait pas vu que la situation avait changé et Ben prit la parole : "Bah, les chiffres correspondant à des lettres ses simples, non ? Le 9, c'est un I, le 18, c'est le..., attend A, B, C..." "Laissez tomber, je sais ce que sait le code, c'est "Iris", c 'est évident Maël est en Crush sur toi depuis qu'il te connaît." Dit Joe que venait de se réveiller de sa phase de chagrins. "Vas-y teste Arnaud." Il s'exécuta sous les yeux troublés d'Iris face à quelqu'un qu'il l'aimait encore malgré le fait que cet amour ne soit pas réciproque. Lorsque le code fut tapé, un costume rouge et bleu apparut sur Maël comme un hologramme. "Mais c'est le costume de Staine Less, le super-héros français..." Dit Ben avec joie. L'hologramme disparu et la montre se transforma, ce qui servait de bracelet se séparait en 6 petites pattes mécaniques et du bracelet s'ouvre une petite trappe au bord de la montre dans laquelle apparais une lumière rouge tel un œil, cela ressemblait à une sorte d'araignée mécanique.

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