CHAPITRE 21

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DAVINA

Je suis dans une calèche avec Mycroft en direction du pensionnat de madame Harrison, je suis bien contente d'y aller seule. Je préférée qu'Enola s'enfuit que subir ça.

Mycroft : sûrement me déteste-tu.

Vous ne pouvez pas vous imaginez à quel point je vous déteste.

Mycroft : tu penses que j'ai tord d'agir ainsi. Même notre maudite mère à pris un mari. Même notre maudite mère s'est mariée. Tu ne dois pas gâcher ta vie.

Moi : c'est faux. Je ne dois surtout pas gâcher la vôtre. Vous voulez nous contrôler parce que sinon vous craignez que notre habitude affecte votre position.

Mycroft : vous avez déjà commis de gros dégâts. Tous comme notre misérable frère.

Moi : laissez-moi descendre de cette voiture. Je nierai être votre sœur, à qui compte me le demandera, et je le nierai avec un immense plaisir. Lui dis-je en le regardant.

Mycroft : tu me dois entière obéissance ! Me dit-il en me criant dessus. Je suis ton tuteur Davina !

Je commence à pleurer.

Mycroft : maintenant donne le moi. Me dit-il en me tendant sa main. C'est mon argent après tout.

Je sors l'argent de mon corset et je lui donne. Heureusement qu'Enola à le reste.

Mycroft : très bien.

On arrive devant le pensionnat et la calèche s'arrête. On descend et on rentre à l'intérieur pour aller voir madame Harrison.

Madame Harrison : il y en a qu'une ?

Mycroft : pour l'instant.

Il salut madame Harrison avant de s'en aller me laissant seule avec elle et une autre femme.

Madame Harrison : elle à raté l'heure du diner mais qu'un porte, perdre une ligne ou deux, ne vous fera pas de mal.

L'autre femme s'approche de nous et elle me donne des vêtements.

Madame Harrison : le nom de Holmes et un nom qui force le respect dans notre pays. Ce pensionnat vous permettra de faire honneur à ce nom.

Moi : mais...

Madame Harrison : en commençant par tenir votre langue. La prochaine fois que vous reverrez vos frères, ils devront être fière de vous. Bienvenue.

La femme qui ma donner mes vêtements me montre ma chambre, et je me change avec leurs vêtements avant de m'allonger dans le lit, je regarde la rose que Tewkesbury ma offert, je l'ai coupé pour pouvoir la garder avec moi. Je me mets à pleurer et je la serre contre moi en évitant de l'écraser. 

Davina HolmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant