CHAPITRE 54

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DAVINA

Sarah : non !

Je tourne la tête et je vois Lord McIntyre brûler les papiers. Elle court vers les papiers qui continue de prendre feu.

Lord McIntyre : allons. C'est fini.

Sarah : comment pouvez-vous ?

Lord McIntyre : j'ai accidentellement brûlé ma propriété. Que voulez-vous ?

Tewkesbury : vous êtes un être corrompu, monsieur.

Sarah : et complice de la mort d'une centaine d'ouvrières.

Lord McIntyre : où est votre preuve ? Bien. Je retourne à mes affaires.

Il commence à partir.

Tewkesbury : monsieur vous ne pouvez....

Sherlock : Tewkesbury.

J'arrête Tewkesbury et j'enlace ma main avec la sienne et il me regarde, je lui souris légèrement.

Sherlock : patience.

Lestrade : dieu merci.

...

Enola, Sarah, Bessie et moi nous sommes près de la Tamise.

Sarah : tous ces noms, toutes ces vies. Je l'ai ai abandonnée.

Moi : non ne dies pas ça.

Sarah : Mae est mort...William est mort. Et lui il demeurera impuni. Vous l'avez entendu. ''Où est votre preuve ?''. Qu'est-ce qu'il nous reste ?

Enola : ce qui nous reste c'est nous...et nous nous avons la vérité.

...

Le lendemain on se rend toutes à la fabrique d'allumettes.

Monsieur Crouch : tu es en retard Bessie Chapman, un penny un moins.

Il remarque Sarah.

Monsieur Crouch : toi ! Tu n'as plus ta place ici.

Sarah ne l'écoute pas et elle monte sur un des postes de travail.

Monsieur Crouch : qu'est-ce que tu fais ? Demande-t-il alors que Sarah renverse des trucs par terre. Hé ! Descends.

Il frappe sa canne sur le poste.

Monsieur Crouch : descend !

Enola arrive et elle attrape sa canne avant de le faire reculer.

Enola : laissez-la parler.

Sarah : il y a quelques semaines, Mae Izley, William Lyon et moi nous avons entrepris de prouver quelque chose. Prouvez que cette usine tuait des gens, et que c'est dirigeant le savait. Mais pour eux le profit comptait bien plus que nos vies.

Monsieur Crouch : tu vas venir avec moi.

Enola : chut.

Sarah : ce n'est pas le typhus qui nous tue. C'est le phosphore.

Bessie : avec le quel on travail tous les jours.

Monsieur Crouch : menteuse ravale ta langue de vipère.

Enola : un penny de moins ! Dit-elle en frappant violemment la canne à côté de lui.

Sarah : c'était nos amies...nos sœurs...

Je regarde Doris.

Sarah : ...et vos enfants. Mais c'est fini maintenant. Il est temps d'avoir recourt à ce qui est notre force, notre cohésion. Il est temps de refuser de travailler. Il est temps de leur dire non.

Monsieur Crouch : ça suffit, remettez-vous au travail ! Si vous partez, je vous préviens je vous reprendrez pas. Il n'y aura plus de travail pour vous ici.

Sarah : eh bien, voulez-vous me rejoindre ?

Personne ne lui répond.

Monsieur Crouch : pensez à vos familles. Ne faite pas ça. Le risque n'en vaut pas la peine.

Sarah : alors ? Vous venez ?

Monsieur Crouch : réfléchissez bien.

Sarah : je vous en prie. Je comprends vos craintes, j'ai peur moi aussi, mais c'est le seul pouvoir que nous avons.

Aucune ne réagit et je commence à voir que Sarah pleure.

Monsieur Crouch : bien, retourner à vos postes et remettez-vous au travail.

Ce qu'elles font.

Sarah : je vois.

Elle descend et commence à partir. Je regarde Enola et Bessie, ça ne peut pas se terminer comme ça. Quelqu'un tape du pied et je tourne la tête pour voir que c'est Bessie, je regarde Enola et on commence à faire de même. Sarah nous regarde et toutes les ouvrières commence à taper du pied.

Monsieur Crouch : ça suffit !

Sarah : allons nous en d'ici.

Je prends la main de ma sœur et on s'en va toutes. C'est ça le pouvoir des femmes !

...

J'arrive dans le bureau où se trouve Enola et Sherlock, légèrement paniquée parce que Tewkesbury va bientôt arriver.

Moi : est-ce que mes cheveux ça va ?

Enola : bien sûr Davina, tu es magnifique.

Moi : merci.

Sherlock : je crois que quelqu'un est là pour toi Davina.

Je tourne la tête et je vois Tewkesbury avec un bouquet de fleur, il ouvre la porte et je prends mon manteau.

Tewkesbury : Sherlock. Enola.

Sherlock : Tewkesbury.

On va tous les deux dehors et Tewkesbury m'offre son bras, je souris avant de passer le mien autour du sien et il me donne un bouquet d'iris et de lys.

Moi : je vois que vous avez pas oublier mes fleurs préféré.

Tewkesbury : comment pourrais-je l'oublier.

Je me mets à sourire.

Tewkesbury : oh j'allais oublier.

Il s'arrête et moi aussi avant qu'il ne sort une carte de son manteau pour me la donner.

Tewkesbury : c'est une invitation à un bal qui est donné par...

On commence à remarcher.

Moi : Tewkesbury je n'irais pas au bal avec vous. Au dernier on ma arrêter.

Tewkesbury : ma fois une raison de plus pour retourner dansez, ne croyez-vous pas ?

Moi : vous êtes un nigaud.

Tewkesbury : mais c'est ce qui vous plaît chez moi.

Je souris avant de l'arrêter et je viens l'embrasser pendant plusieurs secondes.

Tewkesbury : je vous aime.

Moi : moi aussi.

On se sourit ensuite tous les deux avant de marcher encore une fois.

Fin.

Voilà c'est la fin j'espère que cette histoire vous a plus. Maintenant il fait attendre le trois.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 07, 2023 ⏰

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Davina HolmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant