L'excellence

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La culture de l'excellence, c'est au delà d'en vouloir plus, c'est surtout en vouloir mieux !
Ce qui revient à se demander si ce qui a été fait est efficace et non le mesurer au critère quantitatif.
Quand la qualité prime sur la quantité c'est dans ce cas là qu'on parle d'excellence.
Attention, nous ne parlerons pas d'excellence si rien n'est fait. L'analyse qualitative n'est possible qu'avec un minimum quantitatif. Il n'y a pas de mesures sans matière.
Alors avant tout, celui qui désir la qualité se doit de poser l'action car agir est le seul moyen de devenir. Dans notre cas, il s'agit de devenir excellent.
Ce n'est que la qualité des actions posée que nous déterminerons si oui ou non elles reflètent notre volonté à s'inscrire dans la culture d'excellence.

Comment prioriser la qualité au quotidien afin d'en faire une culture de vie ?
Quoi faire ? Pourquoi le faire ? Quand le faire ? Combien de temps le faire ?

Concrètement cela reviendrait à mieux concevoir ses projets, mieux gérer son temps... et surtout optimiser ses choix d'action avec pour maître mot : donner le meilleur.
La démarche est exiger de soi-même une meilleure discipline de vie qui nous inscrit dans une logique quotidienne de repousser des limites.

Se permettre de rêver pour mieux créer le pouvoir d'agir :
« Il n'y a point de génie sans un grain de folie » affirmait Aristote.
On peut se demander par là comment un dit «génie » peut-il être fou ?
Il faut définir le grain de folie comme étant le manque volontaire de rationalité qui nous permet de surpasser le danger et donc d'être courageux.
De ce courage naît la capacité à repousser les limites logiques afin de rêver plus haut, plus grand.
C'est dans la réalisation des rêves les plus fous que l'on retrouve leurs auteurs sous la qualification de génie.

Ils ne sont pas toujours les plus rationnels, mais certainement parmi les plus courageux d'avoir choisi de donner vie à leur imagination.
Il convient de retenir que chaque réalisation, chaque réussite a une genèse dans l'imaginaire de son auteur.

Mieux concevoir ses projets :
Une construction projetée dans la durée commence sans doute par la réalisation d'une fondation solide. Sachant que plus le projet est grand, plus la fondation doit être solide afin de supporter les futurs développements de ce dernier.

Un projet n'est réel que si le concepteur est capable de visualiser la finalité et de définir de façon précise comment l'atteindre. Car avancer c'est bien, mais le plus important est d'avoir une idée de notre destination.
Pour cela, il est impératif de segmenter son projet par étape, définir la nécessité et les besoins de chaque étape avant de les étaler dans le temps. C'est au moment de la conception que le projet connaît quelques modifications et réajustements afin qu'il soit le plus réalisable.
Le plus important n'est donc pas de mener plusieurs projets, mais d'être sûr de mener à terme un projet ficelé de façon excellent.

Mieux gérer son temps :
Le temps, quel ami-ennemi !
Quand il est absent, il annonce souvent l'échec.
Quand il n'est pas assez, il est facteur de stress. Quand il n'est pas présent, il menace de disparaître.
Quand il est trop présent, il exige l'action.

Le secret de la gestion de temps s'appelle gestion des priorités.
Entre urgence et nécessité, il faut savoir et pouvoir décider de manière stratégique :
- Ce qu'on doit faire ;
- Ce qu'on peut déléguer ;
- Ce qu'on peut reposer...
Quelle action effectuer en premier ? En dernier ?
Mais aussi quelles actions ne pas effectuer ?

De ces trois va découler notre capacité à être organisé, à respecter les délais et bien entendu nous amener à faire un travail de qualité.

Optimiser ses choix d'action :
L'enthousiasme fais de nous des travailleurs acharnés.
Tellement motivés qu'on passerait des heures et des heures à travailler sans jamais regarder sa montre.
Quel est le rendement de nos actions ? Sommes-nous réellement productifs ?
Ce n'est qu'en se questionnant là-dessus, en mettant en avant les facteurs tels que le temps et l'énergie dépensés, qu'on peut juger sa rentabilité Reelle.
L'homme averti serait celui qui sait choisir intelligemment de dépenser son temps et son énergie en jugeant si le gain lui est favorable.

Tous les combats ne sont pas à mener !
On ne va pas sur tous les fronts,
On ne réponds pas à toutes les provocations,
On ne s'investit pas sur tout les projets.
Mais on sélectionne ce pour quoi on souhaite dépenser en termes de :

- Finance : cela vous fait-il gagner de l'argent ? Le calcul est simple, vous démarrer avec combien et finissez avec combien ?

- Opportunités : est-ce une possible ouverture à ses projets ? Ce qui est fait contribue-t-il maintenant ou plus tard à une avancée quelconque par rapport à ma feuille de route ?

- Savoir : qui des êtres censés doute encore que le temps investi dans l'apprentissage est toujours bénéfique ?

- Temps : utiliser intelligemment son temps présent pour mieux le rentabiliser dans le futur. Si exécuter une tâche dans l'immédiat nous prend moins de temps que si l'on procrastine... alors nous avons gagné du temps par le temps.

Si l'action menée ne réponds a aucun de ces gains, cela revient à faire l'inutile et donc une mauvaise gestion de ses choix d'action.
La parfaite maîtrise de ces attributs fera de nous des partisans de la culture de l'excellence.
La culture de l'excellence, c'est finalement d'abord choisir d'agir et ensuite faire.
Challengez-vous et exigez le meilleur de vous-même. Car l'à-peu-près n'a jamais sorti quelqu'un de l'ordinaire, c'est le plus qui fait l'excellence !

« la connaissance est l'art suprême que doit posséder l'homme»

Précieux - Serge
BAVOUKIDI

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