Ezio-Isabella

Les prophètes 2ème partie

Pov Isabella.

Ezio m'a regardé et j'ai senti le choc qu'il ressentait même s'il avait le casque du garde. Nous avons commencé à marcher et il s'est penché de plus près pour qu'il puisse me chuchoter.

Ezio : L'espagnol est là ?! Cela change les choses. Si nous pouvons infiltrer ce groupe... Prendre la place du courrier... Ils nous mèneront directement au Figlio di puttana (fils de pute.)

Isabella : Nous sommes venus ici pour le colis, pas Rodrigo. Êtes vous sûr que c'est une bonne idée ?

Garde : Vous deux ! Poussez-vous la bouche où je livrerai des corps avec le colis.

Après un certain temps de marche, nous sommes arrivés dans une cour et il était bel et bien là. Rodrigo nous a regardés autour de lui, toujours vêtu du manteau noir avec une capuche qu'il portait lorsqu'il a donné l'ordre d'exécuter la moitié de la famille d'Ezio. Il nous a vus et j'ai remarqué que ses épaules se détendaient. Il s'inquiète de quelque chose... J'ai souri sous mon casque. Le garde devant nous s'est mis à genoux pour montrer son respect et j'ai fait de même que lui. je n'ai même pas pris la peine d'essayer de cacher mon dégoût parce que ma tête était baissée et que j'avais un casque de toute façon.

Rodrigo : L'avez-vous vraiment ? Vous n'avez pas été suivi ?

Garde : Absolument. Tout s'est parfaitement passé. Nous avons suivi vos commandes exactement comme spécifie. La mission à Chypre a été plus difficile que prévu. Il y a eu des complications, mais nous sommes revenus avec l'artefact. Nous sommes impatients d'être généreusement indemnisés, car je suis sûr que vous avez déjà envisagé... AHEM... Qu'attendez-vous, coursier ?

Il a regardé en arrière, mais avant de pouvoir dire quoi que ce soit à Ezio. Il a étendu sa lame cachée et l'a enterrée profondément dans son dos. J'ai terminé les deux autres gardes qui étaient à nos côtés et j'ai enlevé mon casque pour qu'il puisse voir le sourire sur mon visage. Il avait l'air choqué, mais il l'a rapidement balayé, essayant de paraître calme.

Rodrigo : Ezio. Isabella. Cela fait un certain temps.

Isabella : Oui... 10 ans pour être exact. Vous souvenez vous encore ? La nuit où vous avez essayé de me tuer ?

Rodrigo : Comment pourrais-je oublier ? C'était la meilleure décision que j'ai jamais prise et cela aurait fonctionné si votre bastardo (bâtard) de mari ne vous avait pas sauvé.

Isabella : Vous savez, cela me rappelle... Merci de m'avoir donné une nouvelle vie. Sans vous, je n'aurais pas trouvé l'amour et le bonheur. Vous essayez – et échouez - de me tuer m'avez sorti de ma misère d'être un Templier. Encore une fois, merci. Merci de votre considération.

Ezio : Alors, où sont-ils ?

Rodrigo : Hmmm ? Qui ?

Ezio : Vos prophètes ! Il ne semble pas que quelqu'un se soit présenté, Rodrigo ! Combien de personne sont mortes pour cela ? Pour ce qu'il y a dans cette boîte ?! Et regardez il n'y a PERSONNE ici !

Rodrigo : Vous prétendez ne pas être croyant. Et pourtant vous voilà... Ne les voyez vous pas ? Les prophètes sont déjà là... JE SUIS le prophète. Maintenant, donnez moi la pomme.