Retour Au District

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Je rentre dans le train et va vers ma chambre.
J'enlève ma robe, me démaquille et défait ma coiffure. Ensuite je vais sous la douche.
Après la douche, je m'habille d'un pull à carreaux et un jean. Ensuite je prends le paquet que m'as donné Zurich, et le pose sur le lit. Je l'ouvre et découvre... Oh Zurich.
Il y a plein de tenue de la taille de Nold, Octavia, et moi.
Un petit mot y ai glissé.
-Avant de partir dans l'arène, Aristot m'a demander en privé de te confectionner ses tenues pour toi et ta famille. Il savait que tu gagnerait.
Je plaque ma main sur la bouche et commence à pleurer.
Aristot. Tu as vraiment penser à tout.
Tu me manques.
J'enlève ma main de sur la bouche et prend un coussin pour étouffer mes cris et mes pleurs.
Aristot ! Oh Aristot ! Pourquoi ?! Pourquoi ?!
Je continue à pleurer jusqu'à que je n'ai plus de larmes dans tous mon corps. Je lâche le coussin et va dans la salle de bain et me passe de l'eau fraîche sur le visage.
-Il y a des jours,
Où je ville loin du monde
Où tous les jours
Où mon cœur est trop lourd
Tant de souvenirs qui me lasses
Il y a des nuits
Pour retrouver la paix
J'entends sa voix qui me disait
Tout doucement, cette phrase

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Traversé, traversé
Eviter tous ses orages

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Avancer,
Pour trouver en moi,
Tous les courages

Il y a des jours où la vie en demande beaucoup
Des jours où je ne comprends pas tout
Je suis perdu entre sourires et larmes
Il y a des nuits où je voudrais oublier
Où mon cœur est prisonnier
D'ancienne images qui m'essayes
Suite à voir,
Sans détour, aller simple sans retour Réveille-toi
Le futur te tens les bras

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Traversé, traversé
Eviter tous ses orages

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Avancer,
Pour trouver en moi,
Tous les courages

J'ai fini par refermer
Les blessures de mon passé
Appris à tourner,
Appris à tourner la page

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Traversé, traversé
Eviter tous ses orages

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Avancer,
Pour trouver en moi,
Tous les courages

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Traversé, traversé
Eviter tous ses orages

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Avancer,
Pour trouver en moi,
Tous les courages

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Traversé, traversé
Eviter tous ses orages

Et le passé, le passé
Envolé le passé
Avancer,
Pour trouver en moi,
Tous les courages
Ça fait du bien de chanter.
Je sors de la salle de bains et me place devant la fenêtre et regarde le paysage jusqu'à que Cita m'appele pour le dîner.
Je sors de la chambre et m'assoie à la table.
-Je sais que ça va être dur c'est prochain mois, mais pense au présent, l'instant quand tu vis, me dit Daenerys.
Elle a raison. Mais je suis encore triste.
On mange et quand on finit, Cita me dit.
-Vas dormir, se n'ai pas grave si tu ne regardes pas ton interview.
-Merci.
Je vais à ma chambre et ferme la porte.
Je me met en robe de chambre, enlève le paquet de sur mon lit et m'allonge.
Je ne ferme pas beaucoup les yeux pendant la nuit.
Pourquoi ? Pourquoi Aristot est tu si gentil et si affectueux même en étant mort ? Pourquoi tant d'attention à mon égard alors qu'il y a plein d'autres filles au district 10 ?
Étais-tu as amoureux de moi ?
Moi, la solitaire, avec une amie et pas de parents. Moi, la fille qui s'occupe de son frère et sa sœur toute seule. Moi qui ne ressemble pas au autres filles.
Je ne veux plus penser à sa.
Je ferme les yeux et attends le sommeil.
-Aaah !
Je me réveille en sursaut.
Aristot arrive en courant dans ma chambre, inquiet.
-Est ce que ça va Nigella ? Tu as fait un cauchemar ?
-Oui, mais ne t'inquiètes pas Aristot. Ça va.
-Ok.
Il se retourne et ferme la porte.
Soudain, je me retrouve dans l'arène, devant Aristot, menacé par Victoire, un couteau à la main.
Non !
-Oeil pour oeil, dent pour dent.
Elle lui coupe la gorge.
-ARISTOT ! NOOON ! PAS ENCORE ! ARISTOT !
Et elle balance le corps dans le vide.
-NOOON ! ARISTOT !
Je m'écroule de pleure par terre.
Je me réveille, en panique dans ma chambre du train.
Oh mon dieu, c'était horrible.
Je me lève et sors de ma chambre.
5h50 du matin.
Je devrais aller me recoucher. Mais je veux pas revoir la mort de Aristot.
Je décide de prendre un peu l'air à l'arrière du train.
L'air me ferra du bien.
Arrivée à l'arrière du train, j'ouvre la porte et découvre un beau lever de soleil.
On dirait celui du district. Comme celui qu'on avait vu avec Aristot.
Aristot.
Non. C'est du passé. Daenerys la dit, ça va être dur les prochains mois.
Je reste comme même là, à regarder le lever de soleil.
Magnifique.
Je referme la porte et va prendre mon petit déjeuner.
Céréales, jus d'orange, pain au chocolat, fraises, bref c'est très bon.
Je finis de manger et va dans ma chambre.
Personne n'ai encore réveillé.
Je me lave, met la même tenue qu'hier, m'attache les cheveux en deux tresses.
Ensuite je met la robe de la Moisson, que j'ai récupéré, dans le paquet que m'a donné Zurich, avec les livres de mon district. Puis je referme le paquet.
Aristot ! Je peux pas m'empêcher de penser à toi. Tu m'obsède. Pourquoi tant d'attention à mon égard ? Pourquoi ? Pourquoi ? POURQUOI ?!
Bon, faut que je me calme, sinon je vais devenir folle.
-Je pense à toi quand tu es loin;
Nos deux âmes se sont perdues
Et de moi tu n'as plus besoin
Mais au fond je l'ai toujours su.

Je pense à toi ! Y pensais-tu,
A nous deux, loin, le cœur en deux...?
J'ai beau marcher seul dans la rue,
Je te sens, là, enfin...un peu.

Je pense à toi mais ne le dis...
Juste pour te faire un peu mal.
Tu es si loin mais c'est la vie,
Tu n'es pas là et j'en suis pâle.

Je pense à toi quand tu m'évites;
On prend du temps à s'ignorer,
On use de mots qui irritent...
Sais-tu qu'au fond je t'ai aimée ?

Je pense à toi ! Y pensais-tu
A nous deux, loin, le cœur en miettes ?
J'ai beau marcher, qui l'aurait cru...?
Je te sens, là, bien dans ma tête !
Quand je suis triste ou en colère, je chanterai.
Par la fenêtre, j'aperçois le district 10.
-Nigella, viens vite à la porte, tu es de retour chez toi, dit Cita.
Je prends le paquet en main et sors de ma chambre.
Je me place devant la porte.
Le train s'arrête et la porte s'ouvre.
Tous les habitants du district sont ici.
De loin, j'arrive à voir Nold sur les épaules de Airelle, et Octavia qui tient sa main.
Je souris et salut tout le monde.
Puis, je me dirige vers ma famille et mon amie et leur fait un gros câlin.
-Nigella je te laisse avec ta famille, on se voit demain.
-D'accord. Venez.
Je tiens par la main Nold, qui tient aussi Octavia et nous nous dirigeons vers le village des vainqueurs.
Arrivée devant le village des vainqueurs, je leurs dit.
-Notre nouveau chez nous.

Les 62ème Hunger Games (Terminé)Where stories live. Discover now