Russian mafioso

Chapitre 2

J'attendais dans l'entrée de la maison blanche que le mafieux vienne me chercher. Quand il est arrivé, il a fait signe à un de ses homme de prendre mes valises et il venu à la hauteur de mon père. Le temps passait au ralenti mais trop vite à la fois. J'étais totalement déconnecté de ma réalité. Ils se disaient des choses que je n'arrivais pas à entendre d'où j'étais ce qui m'énervais au plus haut point. J'avais l'impression d'être une future esclave. Une voix me fit revenir à la réalité.

- Lexy ramène toi. Me dit ce dernier.

Avant que je ne m'avance vers lui, ma mère me retient par le bras et m'offre un câlin. Du même moment, elle nous tourne pour cacher nos lèvres de la porter des hommes. Pour qu'ils ne sachent pas qu'on s'échange quelques mots.

- N'hésite pas à m'appeler en cas de besoin et si tu te sens en danger dit le moi je vais convaincre ton père de te faire revenir. Je t'aime.

- Moi aussi je t'aime.

Je n'ai pas osé lui dire que j'étais morte de peur et que je n'avais aucune envie de me retrouver chez lui. Son air froid me fait des frissons dans le dos. Mais je me dirige quand même vers lui tout en gardant une distance raisonnable entre nous deux. Cet homme m'effrayait et me dégoutait au plus haut point. Sans même me laisser parler avec mon père. Il m'agrippa le poignet et m'entraina à grande enjamber en dehors de la maison pour me jeter comme un vulgaire sac dans sa voiture. Il démarra et parti en trombe. Il roulait tellement vite que ça ne faisait qu'augmenter ma peur. Je finis par craquer par peur qu'un accident ne survienne.

- Bon sang mais ralenti!

Il se mit à rire sans détourner le regard de la route. Au moins il regardait en avant.

- Ralentir?

- Tu dois rouler plus de 120 dans une zone de 90. C'est super dangereux et si ça continue on va juste crever par ta faute.

- Tout en moi est dangereux, tu l'apprendras assez vite maintenant ferme là un peu. Je ne veux pas t'entendre chialer pendant les deux prochaines heures. En plus 120 ce n'est rien. Ça se voit que tu as été conduit par un vieux chauffeur toute ta vie.

- Tu habites à deux heures de chez moi? Lui demandais-je

- En réalité j'habite à 8 886 kilomètres de chez tes parents ce qui veut dire en Russie et je ne t'ai pas demandé de la fermer? Je n'ai pas le goût de parler avec une enfant.

Le reste du trajet se passa en silence excepter les nombreux appels qu'il a reçu. Nous tournons dans une entrée et j'y vois une maison immense qui a dû lui coûter une fortune. J'ai été élevée dans le luxe mais à en voir sa maison il avait beaucoup plus de fortune que mes parents. Il s'arrêta devant l'entrée et me regarda.

- Je sais qu'elle est magnifique mais arrête de baver c'est dégoutant. Mes chiens font moins de bave que toi.

- Je ne bavais pas. Dis-je en m'essuyant la bouche par réflexe et pour m'en assurer.

- C'est ça j'y crois.

Il sorti de la voiture et je n'osais pas bouger jusqu'à ce qu'il frappe dans la vôtre me faisant sursauter. Je compris qu'il fallait que je sorte à mon tour. Il a l'air encore plus cinglé que je ne le pensais.

- Suis-moi. Me dit-il tout simplement

Il devrait apprendre les bonnes manières. J'ai passé deux heures avec lui et j'ai déjà découvert qu'il était pourri dans cette matière. Je n'ai jamais vue quelqu'un d'aussi irrespectueux. Jamais de merci, s'il te plaît ou même de bonjour. Je plains déjà les gens qui le côtoient Je le suivi et entra dans cette énorme maison.

- C'est la résidence secondaire après le mariage nous allons retourner en Russie. Le mariage à lieu dans une semaine. Il faut que ça se fasse au plus vite et ton père s'est mis d'accord avec ça. Je vais te montrer la chambre. Tu veux que je demande à un employé de défaire tes valises et de les rangers ou tu as appris à le faire toi-même fille à papa?

- Je ne partagerais pas de chambre avec toi. C'est hors de question.

- Ce qui est hors de question c'est que tu dormes dans une autre chambre que la mienne.

- Ehh non.

- Ehh oui. Dit-il en m'imitant.

- Et pourquoi tu tiens tant à ce que je sois dans ta chambre?

- Pour pouvoir t'étouffer dans ton sommeil. J'en rêve déjà. Et grouille ton petit cul.

Il monta les marches qui mènent à l'étage, il me laissa passer en premier. Ce que je n'aurais jamais dû accepter. Dès que je mis un pied dans la chambre, il referma la porte avec moi à l'intérieur. Il m'avait enfermé!

- Laisse-moi sortir!

- Hum je vais y réfléchir deux petites secondes... non et en passant essaye de ne pas trop faire la maligne avec moi. Le deuxième contrat avec ton père se termine dès que nous sommes mariés ce qui veut dire que je pourrais faire absolument tout ce que je voudrais de toi. Par exemple te foutre une voler bien mériter. Ah oui et n'essaye même pas de t'échapper par la fenêtre j'y ai poster des gardes et si tu as la stupidité de sauter d'un étage, tu pers ta cheville.

- Liam laisse-moi sortir!

- Mais que c'est minion elle utilise mon prénom pour me faire craquer. C'est non.