KEN KANEKI X READER

ENLÈVEMENT

Il est bientôt 20 heures, je viens de manger et Ken a essayé de manger un doigt, il l'a avalé mais ça l'a comme même dégouté. Je me demande ce que ça serait si c'était un bras tout entier.

Je regarde par la fenêtre de ma chambre les passants qui ne savent pas le risque qu'ils prennent en pleine nuit à côté des ruelles sombres. Demain, j'ai un jour de repos. Qu'est-ce que je vais bien faire ? Oh, je vais accompagner Ken voir son ami. Il n'a pas le droit de sortir seul avant qu'il ne sache déployé son kagune.

J'en ai un peu marre d'être lié à cette petite nature parfois mais je me sens bien avec lui, j'apprécie nos discussions. Putain ! Qu'est-ce que je raconte ?! Il n'est pas désagréable avec moi comme la plupart des gens qui me rencontrent pour la première fois. Qui sait peut-être que son ami va m'apprécié lui aussi.

Et de un ! J'espère que cette personne ne va pas trop souffrir en même temps elle était bourré. Je rigole face à la mort de quelqu'un, je suis bizarre.
Je me mets sous la couette et me tourne face au mur. Je ferme les yeux pour m'endormir plus facilement.

Je commence à m'endormir quand la porte s'ouvre et Ken rentre, je ne suis plus dans le mood de dormir là.
Je le regarde comme pour dire : je te hais de tout mon âme. Il semble avoir compris car il s'en veut à mort.

-Ken : Désolé de t'avoir réveiller.

-Toi : T'inquiètes je dormais pas encore.

-Ken : Si tu veux je peux dormir avec toi.

-Toi : C'est ça te gêne pas maintenant éteint la lumière.

Il éteint la lumière et je sens quelque chose de chaud se frotter à moi.
Putain, il est pas sérieux ! C'est agréable mais chiant. Je le pousse avec mon pied pour qu'il tombe du lit. J'entends un léger "Aie" qui me fait sourire. Il grogne et part se coucher dans son lit.

Je me fait réveiller par la lumière du soleil qui éclaire mon visage, je me lève et descends prendre un petit café.
Il n'y a pratiquement personne, je me pose tranquillement derrière le contoir et me fait un petit café.

Je commence à le boire et on m'appelle, je décroche c'est Toka.

-Toi : Oui Toka ?

-Toka : Vient vite au ****

-Toi : Laisse moi boire mon café.

-Toka : Kaneki s'est fait enlever !

Je m'empresse de décrocher et laisse le café sur le contoir. Je vais à l'adresse que Toka m'a donné de toit en toit. J'y arrive enfin, il n'y avait personne mais une seule chose était dans ma tête : Il fallait que je le sauve.

Je réussie à entrer à l'intérieur du bâtiment et commence à le parcourir. Quelques temps après, j'entends des cris. Pas des cris de joie bien au contraire des cris de peur et de douleur. Et ce qui était sûr, c'était les cris de Ken.

Je me rapproche de plus en plus des cris et le vois, il était assis sur une chaise, une ghoul que je n'avais jamais vue auparavant était en train de le faire souffrir. Ni une ni deux, je me précipite vers lui et sors mon kagune pour l'attaquer. Il me repère et arrête de maltraiter Ken, il se lève puis, le fait face. Il sort à son tour son kagune et m'attaque, je l'esquive facilement. On commence à se battre et je n'ai plus trop l'habitude.

Après quelques minutes de bataille, les autres rentrent enfin dans la pièce et attaquent la ghoul en face de moi. Elles est se trouve à terre en à peine 2 minutes. Je cours vers Ken pour défaire les cordes. Dès qu'il est libre, il me sert dans ses bras.

Mais !? Il se croit tout permis ce mec ?!! J'en ai en ras-le-bol, déjà qu'il veut dormir dans mon lit puis ensuite, il me fait un câlin. Comme si j'avais besoin d'attention.
Il doit être encore en train d'agoniser dans sa tête, on oublie tout de même pas la souffrance aussi rapidement.

Il se détache enfin, c'est pas trop tôt.
Les autres me regarde surpris, ça doit pas être tout les jours de me voir si calme quand quelqu'un me touche.
Je n'ai jamais été tactile avec quiconque. Mais qu'est-ce que je pouvais y faire ? Il m'a littéralement sauté dessus.

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En ce moment même, je suis avec Ken sur un toit. Il fait nuit, je suis fatiguée et je voulais prendre l'air mais, l'autre voulait à tout prix me suivre. Il peut être agaçant parfois.

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