Mon esprit divague,
Vague à l'âme,
Vague à l'air.
Il s'en va dans la nuit,
Tel un soupir, un murmure.
Il s'éprend pour la folie,
Mais là est le mur ;
« infranchissable » dirait-on !
Pas pour l'amour, la passion.
Avec un grand A, toujours,
Comme au premier jour.
Un toucher, une onde ;
C'est ainsi que tourne le monde.
L'eau coule au rythme du temps,
Doucement comme le sang.
Une larme rouge, comme la rose,
Rose provenant du rosier,
Rosier qu'il faut encore planter.
Rose pourtant délicate, nonobstant je n'ose
La toucher et provoquer,
Un battement d'ailes de papillon,
Qui deviendrait tourbillon,
Tourbillon d'amour,
Comme au premier jour.
L'amour tue le temps,
Dans l'incroyable néant.
Mais quand le temps tue l'amour,
Alors les anges s'excusent.
Ce qui n'est jamais, et depuis toujours,
Arrivé auparavant, c'est qu'on abuse
De la volonté de ne jamais choir.
Quand les nuages deviennent sauvage,
Quand le nuit est noir,
On ne voit plus le rivage.
Pour faire basculer la réalité,
Dans un monde sans bonté,
Je ne sais où commencer.
Je crois que je vais t'aimer,
T'aimer d'amour,
Comme au premier jour
YOU ARE READING
Pensées envolées
PoetryJ'écris ma vie, mes idées et mes pensées en poésie Attention, certains ne sont pas très joyeux