VII

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               Tout demeurait morne et presque consterné, et cet informe calme n'était saccadé que par les tapotements farouches d'ongles d'un certain Itaaru contre le bureau de bois. Ce dernier prit quelques brèves secondes avant de finalement tarir ses mouvements parasitiques aux oreilles de sa cadette qui lui avait éventuellement envoyé ce coup d'œil irrité au même instant.

     Enfermée dans sa chambre depuis déjà quelques longues journées, Meï s'avérait hermétique à tout type de conversations avec quiconque habitait cette demeure. Si le patriarche se révélait tout autant infatué qu'indélicat. Condamner la cadette de la famille entre les quatre coins de cette pièce n'avait pas été bien compliqué, et ceci uniquement par cause de ses dites cachotteries qui ne s'accommodaient nullement aux mœurs familiales et formelles. Si la bleutée les considérait elle plutôt comme une simple vie privée dont elle maintenait le droit de dissimuler, le vieil homme percevait plus ceci comme un comportement désinvolte, et très certainement honteux envers ce bercail que les mentalités de génération en génération maintenaient scellées.

     Or peut-être que Meï était née avec cet neurone dépravé en moins, et si elle représentait au grand jour un unique déshonneur à tout ce qui la reliait — éventuellement par le biais du sang — elle n'en avait strictement plus rien à faire. La jeune femme portait bien le nom d'Imoarai, mais elle n'en avait finalement rien d'une. Absolument rien de ce qu'ils voulaient constamment concevoir sans la laisser fleurir de l'unique source de sa propre volonté. Elle était uniquement destinée à déplorablement être une rose arrachée trop vite pour être par la suite installée de force dans ce vase d'eau poisseuse, et de consumer avant même que ses racines ne l'aient menée au plus haut sommet de ses propres et uniques facultés.

HALCYON DAYS ; reo mikageOnde as histórias ganham vida. Descobre agora