Elle : Et toi, tu vas rester seule dans cette maison ?
En fait, c'est ce qui me dérange. Je veux que tu viennes vivre avec moi. La grossesse n'est pas facile à endosser en étant seul. Je veux que tu sois prêt de moi et de ma fille. Nous pourrions t'aider dans tout et je forcerais même mon fils à venir vivre à la maison juste pour ça que tu ne sois pas seul.

Elle : Mais, dis moi pourquoi tu ne veux pas épouser mon fils ? Ta pas vue, comment il est beau ? Kay ma maylako way ma fille

Lance-t-elle sûrement pour détendre l'ambiance ?

Je baisse la tête et ne peux m'empêcher de rire. Comment elle peut passer de la sérieuse au rigolote en deux battements ?

Elle : alors t'en pense quoi ?

Moi : je vais y réfléchir. Laissez-moi votre numéro, je vous appelle.

Elle n'y pense même pas. Je ne sortirais pas de cette maison sans toi. Moi : Mais ?

Elle : mais rien, au cas contraire, je viens m'installer ici. Avec toi

Moi : QUOI ?

Elle : Oh oui.

Moi : mais madame.

Elle : y a pas de madame, accepte. S'il te plaît , tu veux que je rampe à tes pieds. Je peux le faire.

Moi : QUOI ? Non jamais, je n'accepterai.

Elle : heureusement, Dame. sax meunoul souk samay tank baxoul (je rends grâce alors, vu que je ne peux même pas ramper avec mes mauvais pieds).

Moi : Mdr, vous êtes drôle.

Elle est alors presque homonyme. Tu acceptes ?

Moi, c'est que...

Elle : lâche-moi avec tes mots la , vas-y, accepte juste. Et dis-moi, tu veux vraiment que ton fils grandisse dans un petit studio ?

Moi : je suis très fière de mon studio, Madame, et sachez que même avec cette petite chose, mon fils sera aimé et recevra tout de moi.

Elle : Non, ne le prends pas comme ça et j'en doute pas, mais je veux juste dire : n'aimerais-tu pas qu'il grandisse dans un plus grand foyer entouré de son père et de sa mère et de sa grand-mère aussi ? Bonheur dakoul, lolou ma chérie.

En entendant cela, j'eus un petit pincement au cœur. C'est tout ce que je veux que mon fils soit aimé et qu'il n'ait jamais à ressentir ce que j'ai ressenti depuis petit et avec l'absence de mon père qui n'a augmenté que la douleur.

Moi : d'accord. J'accepte.

Répondis-je comme si on me forçait à sortir des mots de ma bouche.

Elle : yiiii, d'où deugeu répète ?

Moi ; lol, j'accepte.

Elle : C'est super, viens, on y va de suite. Lance-t-elle, me tirant dehors ?

Moi : amis, attendez, je n'ai même pas pris mes affaires.

Elle : tieuy contane Rk Allez, vas y prends le minimum, juste les choses nécessaires , et après, j'appellerai mon chauffeur pour qu'il vienne prendre le reste et l'apporter à la maison.

Moi : Heu, d'accord, je reviens .

Elle : euh, dis-moi,, où sont tes parents ? Sont-ils au courant ?

____ AMSA____

J'étais dans la maison de mon homme couché sur son torse tout en jouant avec ses doigts.

Lui : Baby ! Aujourd'hui, tu m'as trop essoufflé, tu as bu quoi avant de venir ?

Je souris et me retourne vers lui.

Moi : je n'ai rien bu du tout, je suis juste féroce. Amoul lenene (y'a pas autre chose)

Lui : Ah, ma femme devrait vraiment être comme toi Xawma. LTX mou yambar Rk mane ki

Elle : Ah, mais quitte-la. Et Marie, moi, c'est simple.

Lui : Arrête, tu sais bien que je ne pourrais jamais faire ça.

Moi : Et pourquoi ? Parce qu'elle est riche Et parce que son père t'a nommé à la tête de sa maudite entreprise ?

Lances je me en même dégageant de lui

Lui : sheu Amsa recommence pas ..

Moi : je ne vais pas m'arrêter, car je commence en à avoir marre yaw fallou. Si c'est une question d'argent, tu sais très bien que ce n'est pas ce qui me manque : je peux te nourrir jusqu'à la fin de ta vie, ça ne me pose aucun problème.

Lui : Ce n'est pas juste une question d'argent, ourson. Combien de fois vais-je te le répéter, Amsa ?

Moi : MDR, c'est quoi alors ?

Lui : tu peux arrêter de jouer à l'idiote une seconde ? Tu sais très bien que cet homme m'a beaucoup aidé dans mes études depuis la mort de ma mère et l'emprisonnement de mon père. Il m'a accueilli dans sa famille et m'a donné son entreprise pour que je la dirige. Je ne pouvais que lui rendre le pareil en me mariant à sa fille ?

Moi : toujours cette phrase de merde.

Lui : Amsa Tu sais que je t'aime, je t'adore plus que tout, mais je ne peux pas tout risquer pour toi. Même si tu as de l'argent, n'oublie pas que cette fortune, c'est ta mère qui est assise dessus, c'est elle qui dirige. Et tu sais pertinemment qu'elle ne me porte pas dans son cœur. Ton frère de même et mon propre père qui est en prison ne t'aiment pas. Donc voilà.

Moi : mais on s'en fou d'eux Je t'en supplie, épouse, même si c'est un mariage caché, je veux juste être ta femme, je veux être légale. J'en ai marre d'être la maîtresse d'un homme marié. En plus, un homme que j'ai connu avant sa propre femme.

Lui : Shi arrête, je t'en supplie , pourquoi tu veux toujours rendre les choses compliquées ? Pourquoi on ne continue juste pas notre petite amourette secrète ? Faisons l'amour et amusons-nous ! Lolou dara dakouko baby, allez maintenant, viens dans mes bras.

Je le repousse et me lève directement.

Moi: j'en plus Je ne peux plus continuer cette relation, j'en ai vraiment ma claque. Au revoir.

Hurlais-je tout en portant mes vêtements, les larmes aux bord de l'écoulement ?

Lui : Tu me quittes ? Lance-t-il de manière ironique ?

Attend, tu pars ? Non, mais t'es sérieuse ?

Je répond pas prenant mon sac .
Je porte mes chaussettes et dégage sans me retourner en marchant à pas de lapine. Je l'entends au loin crier.

Lui : T'es gua bagna, dem, on sait tous les deux que tu vas me rappeler pour me supplier de te reprendre et de te baiser, donc reste.

La mère porteuse du millionnaire Where stories live. Discover now