le dernier dragon

chapitre 9 : renaître de ses cendres

Les minutes se sont écoulée, la nuit est déjà tomber. Je me réveille en sursaut. Je peux voir les silhouettes lumineuses danser sur le lac. Je les admire, Elle valse formant des petits rond à la surface de l'eau. Je ne peux détourner mon regard de ce spectacle aussi triste, que magnifique. Robin me salut de la main, j'en fait de même. Son sourire est toujours aussi vif. Je m'adosse complètement sur la rambarde. Mes larmes s'effondre dans le lac, j'aimerais tout laisser tomber. Qu'est ce que ça me fait ? Au final je m'en fiche de tout ça ! Je ne peux pas tenir de tel propos parce que ce n'est pas vraie. Mon père m'attend de l'autre côté, je souffle. C'est moi qui est causer son coma, il serait mieux pour lui que je ne rentre  jamais, sans lui, je n'ai plus de but, je ne parviens plus à voir le positif. Pourtant, contre toute attentes, j'ai réussi à m'attacher à ces gens, qui a la décision de vie ou de mort ? Personne ne devrait l'avoir, jamais ! Nous avons tous le droit d'exister qu'on soit bon au mauvais. Parce que sont que les point de vue qui diverge sur le gentil est le méchant de l'histoire. Rien n'est écrit, rien est encrée dans le papier. Ce n'est pas indélébile ça peut être effacer, réécrit, recommencer, corriger. Il n'y a rien de figer dans ce bas monde. Je pose une nouvelle fois mon regard sur le vide. Mes ailes ont réussi à sortir malgré le sceau qui scelle mes capacités. Je dois en être capable, me laisser abattre ne changera pas la situation ! C'est décider je vais m'envoler ! Je dois réussir ! J'escalade la rambarde, je manque de valser en arrière à plusieurs reprise. Je saisis une des poutres en bois, je suis au dessus du lac. Je peux y arriver ! Je perd pas espoir ! Le vertige me prend de court et je tombe la tête la première. Je n'ai même pas le temps de réagir que je coule déjà au fond du lac. Je remonte à la surface et reprend mon souffle. Et merde ! Je recommence encore et encore mais rien ne change. Je tombe toujours dans l'eau froide. Je dois y arriver pourtant, il compte tous sur moi. Je dois au moins réussir une fois. J'escalade une nouvelle fois la rambarde, aller Artémis vas'y ! Je me jette, fermant les yeux. Je l'es ouvre enfin, je me tient au dessus du lac, les reflets de la lune éclaire les rare poissons nageant en dessous de moi. Mes ailes sont déployé elle sont petite, mais présente. Je bas de toute mes forces, je m'élève dans le ciel. Je peux voir l'école, elle me semble minuscule d'ici. Je regarde tout autour de moi, des lumières vive indique la vie au alentour. J'essaye d'avancer, je bas des bras et des pieds comme si je nageait. J'avance un peu, c'est léger mais j'y arrive. Ce n'est pas miraculeux mais pour moi ça l'est. Je me pensais incapable d'un tel prodige. Je regarde le lac en dessous de moi, ma vision se trouble, mon souffle devient saccadée. Je perds rapidement mes moyens, mes ailes disparaissent. Je tombe complètement à la renverse, je ferme les yeux, incapable de faire autre chose. Je m'écroule dans l'eau, je touche le fond. Je suis sonner, incapable de remonter à la surface. La vase se soulève, je peux voir la lueur de la lune. Je tend ma main vers la surface, comme si quelqu'un aller me sauver. Des bulles d'oxygène remonte à la surface, ma vision devient de plus en plus noir. Les battement de mon cœur ralentie, mon corps devient à présent si lourd. Je ne me débats pas, d'une certaine manière j'en est pas envie. Mon corps lui même a cesser de se battre, comme si inconsciemment je voulais en finir avec tout ça. La seule échappatoire que j'ai trouver est la mort. la réalité est la, je me chie dessus à l'idée de vivre parce que mourir c'est plus facile, tout disparait, il n'y a plus de valeur, plus de peine, plus rien, ce n'est qu'un infinie voile noir. Je reste de longue minute sous l'eau, je peux sentir la pression, mes poumons manquer d'air. Pourtant je ne meurs pas, je suppose que c'est impossible ! L'immortalité est un si vilain défaut. Tout le monde la désirais pourtant ce n'est qu'une malédiction. Tout le monde meurt sans que jamais nous trouvions le repos éternel. On les vois s'éteindre un à un, à chaque fois. Je serre ma mâchoire sous cette eau sombre. Les étoiles me font enfin face, c'est milliers de petite de lumière m'observe en silence. Je veux pas de cette vie, ni demain ni jamais. Je veux que ça soit aussi simple que les autres. Je ne respire plus, mon cœur a arrêter de battre et pourtant je suis en vie. Cela est impossible ! Pourquoi ? J'ai arrêter tout mouvement, mon corps remonte. La surface est proche, je reprend mon souffle, tousse, crache de l'eau. Les silhouettes valsent sous mes yeux ébahis. Pourquoi ça a si peut de sens à cette instant précis ? Pourquoi tout n'a plus de valeur ? Comme si tout avait été balayer par une force invisible. Je prend une profonde inspiration. Je sors du lac, je pose mon regard sur ses silhouette. Je devrais rentrer à l'école. J'en est pas envie mais je n'ai pas vraiment le choix. Mes pas humide résonnent, les gouttes d'eau tombe sur le sol de terre. Je traîne mon corps sans vraiment de but, de projet. J'atteins finalement la cours, les gens sont attrouper la. Qu'est ce qui se passe ? Il semble tenir des lanternes entre les mains. Je les regarde faire en silence, l'eau dégouline toujours de mon corps. Youri court vers moi, il me salue. Il s'arrête et me fixe :