les mystérieuses cités d'or fanfiction

Chapitre 20

Gaspard les regarda. Il avait vue l'échange des petits mots entra Laguerra et Mendoza. Sa l'enervai au plus haut point mais que pouvait il faire. Rien. Absolument rien.

Il soupira et se leva.

G: Je vais aller aider les gosses.

Le couple le regarda partir.

M: Il a entendus ?

L: Je crois pas... Sinon il t'aurai déjà frapper.

M: Hé ! C'est toi qui en a parler la première pas moi.

Elle rit et l'embrassa

L: Je le dirai tout les jours...

M: Tu peut le redire aussi... Sa me plairait de l'entendre fort.

L:mmh... Pourquoi pas...

Mendoza la pris sur ses genoux et plongea son regard dans le siens.

M: redit le moi...

L: Je t'aime Juan Carlos Mendoza.

Mendoza lui embrassa le cou.

M: encore...

L: je t'aime...

Il continua de lui embrasser le cou. Il l'a pris par la taille et la mis au sol en se mettant sur elle.

M: et après que m'a tu dit ?

L: Est ce que tu m'aime?

M: oui. Et je te réponds maintenant. Oui je t'aime Isabella Laguerra. Je t'aime comme un fou.

Elle passa ses main autour de son cou et l'embrassa passionnément. Il caressa sa taille puis ses hanche.

L: dit le moi.

M: je t'aime Isabella.

Elle l'embrassa.

M: si a chaque fois que je dit je t'aime tu m'embrasse je deviendrai fou de toi.

L: tu ne l'est pas déjà ?

M: Si.

Il enfoui sa tête dans son cou, il lui dit un suçon. Puis embrassa son épaule ou elle avait été blesser avant de la revoir chez les Kaldis. Il baissa la manche et embrassa la cicatrice.

L: Tu me rend folle... Totalement folle...

M: c'est négatif ? Je peut arrêter si tu veux.

L: non... Continue je te dirai si on va trop loin.

Il repris ses caresses et baisers. Elle mis ses mains dans ses cheveux en soupirant de biens être. Mendoza s'approcha de la poitrine de la jeune femme. Il déposa un baiser sur chaque début de seins avant de l'embrasser à nouveau.

M: Je t'aime tellement... Les enfants pourront confirmer...

L: je t'aime aussi...

M: quand a tu commencer à m'aimer ?

L: Je dirai après notre rencontre à Ormuz. Je n'était pas totalement sur mais quand tu a demander à Wakafayat (sorry pour l'orthographe) de ne pas me faire du mal j'ai vraiment su que j'étais amoureuse. Et toi ?

M: Début le début j'ai été impressionner. Après quand tu n'a rien dit pour les enfants quand on était dans les arbes et que tu m'a sourit mon cœur sauté. Et lors de notre duel lors de la prise du palais du radja quand on a été presque coller et que nos souffle se son entremêlés... J'ai compris que j'étais amoureux. Quand ils nous on séparer j'ai été en colère.

Elle rigola et se blottit contre lui. Il se mis au sol pour être tranquille.

Je coupe ici parceque ça va être long du coup voilà. Prochain encore du Mendoguerra et le suivant je pense du Estzia