Chapitre 18

198 12 6
                                    


Ambrosius repris connaissance. Il se frotta la tête et les larmes lui monta au yeux.

A: pourquoi... Pourquoi je veux tuer sa fille alors que je l'aime fort... Comme si c'était ma nièce...

Il regarda le village.

A: Isabella.... Vie.... Vie comme il te plaît. Pardonne moi de t'avoir tant blesser...

Il se releva et alla au village. En arrivant il eu des cris et Laguerra arriva avec les enfants, les marins et Mendoza avec Gaspard.

T: Zarès. Comme ose tu venir !

A: attend Tao. Je viens parler à Laguerra.

Elle fronça les sourcils et Mendoza lui pris la mains suivis des enfants.

L: Si tu veux me parler sa serra avec eux.

A: pas de problème. Je vous laisse tranquille. J'ai eu se que je voulais j'ai la vie éternel. J'ai plus besoin du savoir de mûe.

Tout le monde le regarderent choquer

A: tout se que je demande c'est la position de ma nef.

L: la plus haute montagne. A 3jours d'ici en condor. A pieds 6jours.

A: merci.

Ambrosius regarda une dernière fois sa nièce et parti.

T: qu'est ce qui viens de se passer ?

P: bonne question...

Z: Laguerra...

Laguerra était étonné.

L:il.... Il se recomporte à nouveau comme avant la mort de mon père....

Mendoza posa une main sur son épaule.

L: Il faut restée prudent. On est jamais sur de se qu'il prépare.

P: Attendez ! Il est pas censé être mort ?

Tout le monde se stoppa et se dévisagerent.

G: Le bute final de celui là est de devenir immortel. Avec la pierre il a du réussir.

M: Pour une fois que tu dit quelque chose d'intelligent.

Gaspard foudroya Mendoza. Alors qu'ils allaient en venir au main Zia les écarta.

L: Il y a plus qu'à espérer qu'il vas disparaître.

Elle croisa les bras en réfléchissant. Mendoza fronça les sourcils tandis que Tao bouleversé hésita à dire quelque chose.

Z: Tao ? Que t'arrive t'il ? Tout vas bien ?

E: dit nous Tao...

Tao baissa la tête.

T: Je... Crois que... Ambrosius me manque...

Les marins et Gaspard roulerent des yeux.

S: Ne t'inquiète pa-pas tu-tu va l'ou-oublier.

T: J'espère... Je vais retourner au travail...

Il parti sous le regard triste des autres.

Pauvre Tao... Malgré tout il c'était attacher à Ambrosius... C'était comme un père pour lui... Sur cette triste note je vous laisse !

Bisous bisous

les mystérieuses cités d'or fanfiction Où les histoires vivent. Découvrez maintenant